After the end

Chapitre 3 : Les doutes de la reine des fées

1099 mots, Catégorie: T

Dernière mise à jour 03/12/2016 16:31


Maitre : Bien sur... À propos d'Erza ?

Jellal eu un mouvement de recule. Pour le maître, s'était tellement évident qu'il allait lui parler d'elle...

Jellal : Oui.... Elle va bien ?

Maitre : Je la connais comme ma propre fille. Alors je vais te dire ce qu'elle voudrait que je te dise : elle va bien. Mais la vérité est tout autre. Tu lui manque. Et tu le sais.

Jellal : *pensée* Le maitre a son aucun doute raison. Mais c'est pour son bien que je ne reste pas. Il baissa la tête. Mais si ça nous fait du mal à tout les deux... à quoi bon ?

Maitre : Jellal, ne dis jamais "non" à l'amour. "Le fou se croit sage" et elle - sage qu'elle est - se croit folle. Ne la laisse pas seule. Pas encore un fois. Elle ne s'en remettra pas.

Jellal : L'amour rends aveugle. Aveugle du mal que je lui ferais en restant.

Maitre : L'amour doit rendre aveugle. Sinon, comment oserions-nous aimer ? La plus grande force - juste après l'amour - c'est de le confesser.

Jellal : Alors, je suis faible et je le resterais.



Plus loin dans la chambre d'Erza :

Erza : *pensée* Jellal... Que fais-tu ici ? Chaque fois, j'espère. Chaque fois que tu me vois, j'aimerais que tu viennes vers moi et que tu me dises trois petits mots. Qui ne sortiront jamais de ta bouche. Avant je pensais que tu ne voulais pas de moi, parce que tu pense que tu ne me mérite pas. Mais je me fourvoie peut-être ? Si c'est simplement parce-que tu me déteste ? Je suis perdue. Perdue ! Pourtant, demain je devrais remettre mon masque de fer et paraitre forte devant toi. Je devrais paraitre forte. Alors que je ne le suis pas. Je suis toujours vraiment heureuse quand tu es devant moi. Mais à chaque fois, j'ai peur. je ne sais toujours pas si tu voir me blesse ou me soigne.

Quel surnom idiot on m'a gratifié ! Titania, la reine des fées, mage de rang S ... Alors que j'ai juste peur ! Alors que je suis juste faible ! Je ne suis rien ! Et toi tu es tout pour moi. Tu as parlé avec Luxus, avec Natsu, avec le maître, tu es à ce moment même avec la mage évanouis. Mais tu n'es toujours pas venu vers moi. La peur n'es pas un mot. La faiblesse non plus. Ils font parti de moi. Ils sont moi.

Un hurlement résonne dans la nuit. Un hurlement au désespoir. Erza ramena ses genou vers elle et enfouit son visage dedans. Elle se transforma pour mettre sa robe blanche. Elle voulait enlever son armure, qui n'est que le fourreau d'un lame qu'elle pensait émoussé.


À la guilde :


Jellal : Je dois y aller maitre

Maitre : Vas-y... mais si tes soupçons sont juste...

Jellal : Oui... alors dans ce cas, je dois empêcher ce futur.

Maitre : L'avenir, tu n'as pas à le créer mais à l'accepter.

Il ne lui répondit pas et tourna la tête vers le maitre, puis vers Luxus et Mirajane. Il souris. C'était tellement évident qu'il finirait ensemble c'est deux là. Si seulement....

Jellal : *pensée* Erza... après t'avoir laissé si souvent comme je l'ai fais, tu dois me détester.... C'est presque mieux comme ça. Non, c'est certainement mieux comme ça. Ahahah... Je suis cruel n'est-ce pas ? Je suis perdu. Perdu ! Pourtant, demain je devrais me présenter devant toi fort. je dois être fort. Pour toi. Malgré tout, j'ai peur. Insaisissable, cruelle, elle est là. En moi. La peur.

Il n'a plus le temps de tergiverser, il est arrivé devant la porte. Il s'apprête à frapper, mais il entend des voix de l'intérieur. Il s'éloigne, pour laisser les trois voyageurs discuter en toute intimité.

Haru : Mais tu ne vas pas leur dire ton prénom ?

........: Je ne sais pas... Si je leur dis, ils devineront plus facilement.

Fuyuki : Ils ont peut-être d'ailleurs déjà deviné.

........: Ton optimiste, c'est ça que j'ai chez toi ironisa-t-elle

Haru : Arrêter de flirter devant moi

.........: Haru ! C'est pas ce que tu crois ! Rougi-t-elle

Haru : Toute la guilde est au courant !

Fuyuki : Oui, toute la guide était au courant....

.........: Optimiste à toute épreuve.... Tu tiens de ton père...

Fuyuki : Je tiens de feu mon père.

.........: Tu n'as plus à dire "feu" maintenant.

Fuyuki : Sans doute ....

Haru : Et toi ? Comment tu le vie ? Après tout, tu les a vu mourir... Ça doit être bizarre de les voir en vie ....

Fuyuki : Cette question méritait plus de tact Haru ....

..........: Et bien Haru, comme ton père n'est-ce pas ?

Haru : Ahahah !

..........: Pour répondre à ta question, je suis heureuse... et c'est bizarre aussi ! Mais je crois que dans cette époque, je ne vais pas naitre.

Fuyuki : Pourquoi ?

.........: Papa et maman m'avaient dis qu'ils s'étaient toujours aimé. Et là, d'après ce que vous m'avez dis, ils ne se sont pas parler. Même pas une fois. À croire que mes parents se détestent.

Fuyuki : N'oublie pas que tu es comme eux, et que tu n'as aucun talent pour repérer c'est chose là !

.........: Sans doute. Mais quand même.

Haru : Y'a quelqu'un...

..........: Qui ?

Haru : C'est ...

.........: Ah... D'accord.

Fuyuki : Tu veux qu'on reste ou pas ?

.........: Je pense qu'il veut me parler seul.

Haru : Entre, Jellal !

Jellal : Vous m'aviez repéré ?

.........: Haru a un odorat et une ouïe surdéveloppé. Enfin, tu n'ai pas venu parler de ça, venons-en au fait : Tu sais n'est-ce pas ?

Jellal : Je pense oui. Pourrions-nous en parler juste tout les deux ?

........: Bien sur. Oh, j'ai failli oublier ! Vu que vous savez, je peux vous dire mon prénom. Vous-voulez savoir ?

Jellal : Oui, plutôt.

........: Aimi. Qui signifie "bel amour", en hommage à l'amour que se portait mes parents.

Jellal : Alors j'ai raison.

Aimi : Je.... je préfèrerais que vous ne dites pas sa signification aux autres. Et surtout pas à ....

Jellal : Bien sur la coupa-t-il

Aimi : Je voudrais te dire.... elle retenait avec peine ses larmes, Je suis désolée, elle éclate en sanglot Désolée de ne pas avoir protégé ton fils, de ne pas avoir protégé ta femme, et de ne pas t'avoir protégé ! De ne pas avoir empêché votre mort et de... et de ... et de....

Il l'a fit taire en la prenant des ses bras.

Jellal : Calme-toi... Je suis heureux que tu es survécu. Et si elle est morte ce n'ai pas de ta faute mais de la mienne. Et de toute façon, ici elle est en vie !

Aimi : Je n'aurais jamais cru te revoir.... Sensei...


À suivre....









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