grandir en famille par le destin

Chapitre 2 : des hommes et des femmes

1260 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 24/04/2018 10:58

marie me demande avec inquietude si jetais blesse.elle me lanca quelle croyait que jetais un reve tombe du ciel pour elle.jeus pour reponse de lui demander si elle pensait vraiment ce quelle disait.elle poursuivit quelle etait a la recherche presente et pressante dune raison daller m ieux et de se permettre de se mettre a rever.pour la relancer je lui lancai quil fallait toujours pour le biendautrui sefforcer daller bien et de rever.(qui etes vous pour me dire cela sans me connaitre?) repondit elle.(je tiens a vous seduire car vous mavez tire de mon nihilisme absolu .votre venue en visitation est un don du ciel pour tous jimagine)poursuivant sur sa ma lancee je lui fis comprendre que la vision celeste qui metait parvenue par le biais de notre rencontre qui soffrait amoi a traverselle nous permettait de nous donner une seconde chance.effectif dans le tumulte besogneux et chahuteur de la routine metro dodo boulot quotidienne.marie guere convaincue par ce que je pouvais lui raconter me fit comprendre quelle avait ete trop decue de par le passe par les autres pour croire a la divine providence.elle me tanca gentiment en me demandant si jallais au parc uniquement pour rencontrer des belles femmes allumeuses et pas farouches.tout ce que veulent la plupart des hommes afemmes continua t elle.elle avait perce mon fantasme dans labsolu,ce qui excita ma curiosite.surpris je menquerais aupres delle pour savoir comment elle lavait su.a votre visage et vos propos par llempathie repondit elle.puisque nous sommes a lheure des confidences laissez moi vous dire marie que vous me plaisez.en matiere de femmes moi norman en avait vu de toutes les formes et de toutes les couleurs.les frondeuses sexy et douees en matiere damour mavaient appris que la liberte est lplus grand des cadeaux apres la vie.

je lui glissai sur un ton seducteur que la valeur de lamour et de la rencontre se mesure a laune du bienfait diurne quil nous apporte et le reconfort de la presence de lautre.je compris quelle etait une sorte de messagere de bon augure choisie par mes aieux au ciel pour me benir et me procurer bienfaits de reconciliation avec le sort.moi aussi a linstar de marie jetais en proie a des problemes et troubles existentiels et materiels.plus exactement mon travail me pesait a bien des egards avec des superieurs hierarchiques abusifs et psychorigides.cote coeur javais connu essentiellement des histoires sans lendemain dou mon coeur situe en jachere dartichaut.des le premier regard je crus deceler en marie un potentiel bien plus eleve au bonheur et a la raison.cela je lavais dechiffre a son aura et ses mots taraudant une voix de velours.je lui indiquai quelle me plaisait et que je voulais bien lui offrir un verre pour oublier la mauvaise surprise des premiers moments de notre rencontre.je me projettai dans lavenir songeant aux doux moments de reverie que mere nature maccorderait surement pour penser a marie.une fois les presentations faites nous echangeames balivernes de causerie et compliments.elle me fit la remarque que je semblais avoir le regard visse sur sa poitrine,penaud et pris sur le fait je men sortis en faisant valoir aupres delle que ca devait etre le choc de notre rencontre qui en etait la cause.mon attitude pendant cet echange se resumait a observer son visage.sa gueule dange avec des yeux verts marron et des pommettes legerement arrondies accompagnes de traits aquilins du haut du front jusquau menton.de temps en temps mon regard sattardait sur sa poitrine forte ample et genereuse.ses seins etaient moules en formes de cylindres aiguises.son top stretch en nylon etait en surtension de rupture face a la charge ponderale des mamelons.de fil en aiguille nous nous trouvames des points communs concernant nos gouts dans la vie notamment ;amour des bonnes choses et des bonnes intentions.jetais loin de me douter quelle serait lissue de nos premieres sessions de fusion charnelle ni tout ce que cela allait impliquer et changer dans ma vie.elle me glissait souvent que son experience avec les hommes lavait rendue amere et sceptique quant a la capacite de nos semblables a offrir chaleur et affection a ceux qui en avaient besoin.ma plus sordide histoire a lepoque setait resumee a enguelades et crises de larmes intempestives aupres dun esprit fou de narcissisme.cas reluisant de narcissisme voulait dire sessions de monologues vaseux a double sens pour mieux desservir la clientele.pour eviter de me faire duper par la gente feminine je metais resolu a valider leur comportement selon criteres dobjectivite et de logique au sens commun.cela marchait generalement mais parfois je mendormais sur mes lauriers.les drames evites a travers cette resolution de perspectives mapprirent que la femme integre est le defi ultime a lintellect de lalpha male ordinaire.ce que je ressentais en contemplant laura et la personne de marie me reconfortaient dans cette hypothese.sa maniere dallier expressions du visage et mots magiques faisaient delle assurement un exemple vivant de sensualite dans lequel tout homme sense et malheureux aurait aime se perdre.cette maniere de me reconforter tenait a lardeur quelle mettait a se faire plaisir aupres de ma personne.je nentendis plus au bout de quelques minutes quune douce melodie revee qui jouait avec et domptait mes sens.ce que jen conclus etait que le sort pouvait etre conjure de maniere specieuse cela jallais lapprendre plus tard dune toute autre facon aupres de la meme.je restai la fige assis a la terrasse du cafe ou nous avions trouve refuge. a lecouter parler tant de son travail que des raisons qui lavaient poussee a faire cette dite balade fatidique au parc je me dis finalement que parfois le ciel savait nous demarcher pour nous arracher a notre marasme.je me disais quelle prevoyait parfois de rencontrer des bels hommes tels que moi mais quelle preferait dans sa tete sen garder.au fond delle meme elle devait foncierement savoir quelle etait tombee sur le bon numero a ses appels a laide.son metier dassistante sociale me parla au nom de mon bon coeur au nom de lhumanite.elle avait participe a des programmes humanitaires un peu partout a travers le monde.pressentant mes questions a ce sujet elle me repliqua quelle sinvestissait dans ce quelle faisait au nom des autres et avait rarement du temps pour les autres.je lui laissai entendre que notre rencontre devait etre une enieme recompense pour quelquun qui se battait au nom des autres.les premieres zones dombres que je decelai en elle deja a lepoque etaient liees a sa capacite a emettre messages inconscients de peripateticienne.cette tendance survint dans ma tete et mon esprit quand je lui demandai avec prudence ce quelle avait appris au contact de menteurs de ceux qui avaient joue avec son coeur.la reponse devait me surprendre qui me laissait entendre quelle en voulait encore parcequelle sestimait gardienne dune mission de traditions que de sauver les brebis egarees daupres les dieux de lamour.je pris cela pour une puterie sado masochiste etant donne que ceux et celles qui la propagent normalement le font pour le mal que cela comporte.je me retins de lui faire part de mon observation de deduction logique de peur de la perdre.mal men prit je devais lapprendre bien plus tard lorseque le poison allait etre tire et verse

Laisser un commentaire ?