Solangelo

Chapitre 1 : Aïe

422 mots, Catégorie: M

Dernière mise à jour 15/05/2017 02:16

-Monsieur DiAngelo, vous êtes en reterd, remarqua la prof.

Comme si je ne le savais pas. Je boite jusqu'a son bureau et y dépose mon agenda et me rend à mon bureau. Je me laisse tomber sur la chaise et sort mes crayons. Une heure et demis plus tard, je sors du cours, toujours boitilliant et me rends dehors pour trouver un coin tranquille quand un gars me barre la route. Tout le monde le connais. Will Solace, fils du grand fondateur de Apollon énergie, une entreprise de panneaux solaires. Son père est billionaire. Je me demande ce que son fils fait dans une école comme la mienne. Y parrait que Will veux être médecin. Normal, il passe son temps à s'inquiéter des autres et de demander aux personnes blessées s'ils ont désinfectés ou bandés leurs plaies.

Bref, il se tien devant moi avec une mine inquiète sur le visage. Je le contourna tant bien que mal et continue mon chemin mais il me rattrape en posant une main sur mon épaule. En plein sur un bleu géant due à un coup de bâton. Je grimace et tente de me dégager. Il hôte sa main et me regarde m'éloigner.

La fin de journée arrive et je prend le bus pour retourner à regrèt cher moi. Dès que j'arrive, mon père adoptif me plaque contre le mur et me crie dans les oreilles:

-As-tu parlé à qui que ce soit de se que je te fait ici!!!!

Je me met à pleurer.

-Non!

-Alors on peut commencer.

Il me prend par les cheveux et me traîne dans une chambre insonoriée. Il me jete sur un mur et commence à me donner des coups de pieds au visage et au ventre. Ensuite, il se penche et remonte la jambe gauche de mon pentalon et frappe à plusieurs reprise sur ma coupure au couteau qu'il m'avait fait il y a à peu-près une semaine. Le sang gicla et je hurla. La plaie devenait de plus en plus rouge et boursouflée. Elle s'infectait. La douleur était de plus en plus pire chaque jour.

Le manège continua plusieurs minutes avant qu'il commence à se calmer.

-C'est bien, murmura il.

Je grimaça en me tenant la jambe. Il sortit de la pièce, me laissant seul. Je me trains par terre jusqu'à ma jambe ou j'écrivis encore tout ce qui c'est passé. Je me coucha, priant pour ne pas boiter le lendemain.

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