The Butterfly Shinigami

Chapitre 1 : Prologue : Origine

876 mots, Catégorie: M

Dernière mise à jour 14/04/2019 22:19

Aussi loin qu'elle se souvenais, Ayoka était née en Europe. Peut-être sur cette terre qu'on nommera bien plus tard la France ? Honnêtement, elle ne le sais plus. Et de le savoir ou non l'importait peu. Elle n'a aucun souvenir de ses parents, étant vendue très jeune à l'Égypte en tant que servante, en échange d'une terre fertile. Ou bien esclave, les deux se tiennent la main à cette époque-là.

Elle n'a pas pleuré se jour-ci, ne faisant que de regarder l'étendue de cette étrange eau si salé, ses cheveux sale tenue pitoyablement par un bout de tissus. Ses yeux bleus de jeune fille était cerné et ternit par la fatigue du voyage. Son corps était épuisé, meurtri par la violence des hommes qui la trouvaient si belle, un ange venu les satisfaire, et de la jalousie des femmes. Elle n'avait pourtant que dix ans, mais elle avait réussit à protéger son innocence en dépit de coup, d'insulte et de punitions.


Sa misérable robe se trouva bientôt sali de sable et de soleil. Ils étaient arrivé à destination, alors qu'un somptueux palais s'offrait devant eux. Pharaons, servante, Reine Néfertiti. Tant de mots qu'elle ne connaissais pas, qu'elle ne voulais pas connaître. Elle n'écoute pas, elle ne réponds pas, elles s'avançaient en gardant le dos courbé. Si une fille osait lever ne serait-ce qu'un regard, elle était puni et fouettée. Pourtant la tentation est si grande d'observer la splendeur au dessus de leur tête quand elles rencontres visuellement un sol d'or et si richement décoré de milles couleurs. Des symbole, des fleurs, des animaux... Un cri retenti. Elle vit du coin de l'œil une jeune fille se faire emmener. Cette malheureuse avait lever la tête, maintenant elle allait se faire punir.

Une main douce et parfumé d'un irrésistible parfum se posa sur sa joue, l'autorisant d'un geste à lever les yeux. Devant elle se trouvait sûrement la plus belle femme, la plus resplendissante Reine qu'est connu le monde. Affichant un sourire qui se veux rassurant, Ayoka a été choisi comme sa servante personnelle.


Néfertiti prenez soin de sa servante, elle s'occuper d'elle comme Ayoka la servit. Ayoka était maladroite, un peu tête en l'air, mais ceci n'a jamais contrarié la Reine et elle en riait même. Elle l'amusait. Et Ayoka admirait sa force. Ses dévotions, ses convictions qu'elle défendait avec sa ardeur. Ayoka était sa favorite, Ayoka était son admiratrice. Elle était même aimée de ses filles.

Un jour, la belle tomba amoureuse d'un garde du Pharaons. Beau, fort, de longs cheveux noirs et une forte carrure. Hélas il ne pouvait fondé une famille, sa position de garde rapproché du Pharaons l'en empêcher. Ayoka du faire une croix sur ses sentiments jusqu'à rencontré un simple soldat. Gentille et adorable envers elle, il prenait soin de sa bien-aimée et la protéger de toutes injures. La Reine l'autorisa à se marier à mes dix-huit ans, et ce fut l'un des plus merveilleux souvenirs d'Ayoka.


Mais... Car il a toujours un mais. Peu après ses dix-neuf ans, alors que la jeune femme sentais qu'elle allait avoir un enfant, la Reine fut sauvagement assassinée. Par qui, elle ne le sait pas. Elle a courut à travers le jardin, le bassin des poissons, les couloirs d'or et de lumière. L'odeur métallique du sang lui frappa de plein fouet et elle retient un haut-le-cœur devant son cadavre. Une peine immense et une tristesse indescriptible avait prit place dans son cœur. Sa respiration s'était accéléré, son cœur battait à cent à l'heure, tout son corps tremblait face aux chaos qui semblait venir. Une angoisse lui tourna la tête et elle dû se tenir au mur pour ne pas flancher. Elle refuse de mourir, d'être sauvagement tué comme Néfertiti le fut. D'être violée. Ayoka finit par écouter son instinct qui lui hurlait de s'enfuir, loin d'ici, du palais. Un carnage s'était déclenché, et elle devina avec peine que son mari à déjà était tué.


Ayoka réussi à éviter de croiser l'ennemi, courant sur le sable brûlant du désert, un sanglot étouffant sa gorge et ses larmes brouillés sa vue. Elle avait réussi à atteindre un fleuve. Nil ou non, à se moment là ce n'était pas le plus important. Ayoka a tout perdu, une maison, un homme qui l'aimait, son enfant, sa Reine. Si elle ne fait rien, ils vont la retrouver, la torturer, la tuer. Et elle refuse. Prenant son courage à deux mains, le tenant aussi fort qu'elle le pouvais en cet instant, elle sort lentement une dague de son fourreau, et se tourne vers les ravisseurs. Sa robe blanche se souleva sous le souffle du vent. Ses yeux noirci de Khôl les fixait avec colère alors qu'elle planta la lame dans son ventre. Une seule larme coula sur sa joue, alors que son corps se senti aspiré en arrière. Fermant les yeux, elle ne sentit pas le choc contre l'eau et son corps, et elle coula dans les eaux trouble du fleuve.


Elle s'était suicidée.

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