Mariage arrangé
J'arrive près du bureau, la porte est entre ouverte.
Le capitaine est en pleine conversation avec son oncle :
« votre épouse n' a en effet pas été choisie dans le haut du panier » sympa pense -je.
Vu les rumeurs et votre ex épouse venant du rukongaie et votre « sœur » adoptive ....également....beaucoup de familles ne voulaient pas donner leur fille.
Nous pensions néanmoins que vu son éducation ou plutôt son dressage elle conviendrait.
Biyakuya :
« que voulez-vous dire ?
Oncle:
« elle était régulièrement battue... éduquée à la dure si vous voulez.
Et je pense que vu son comportement d'hier, vous devriez la dresser à votre tour ». Il lui tendit un objet... je m'avançais pour voir ... ohhhhh .... un fouet. Mon sang se glaça dans mes veines.
L'oncle se dirigea vers la sortie. « De mieux en mieux » dit il ! En me regardant. Elle espionne maintenant.
Le capitaine me gratifia d'un regard glacial. Entre dit il.
Et à ce moment, je ne sais pourquoi, je me met à courir vers le jardin. Il me rattrape évidemment très rapidement et me traîne avec fermeté vers son bureau. Je me jette au sol, me pend littéralement à lui. Je hurle, pleure, Non non non , pardon, pitié. Je m'accroche aux branches des buissons.
Le personnel de maison est sorti pour regarder. Je les supplie d'intervenir. Mais aucun ne bouge.
Personne ne va oser s'interposer face au maître des lieux.
Il me jette littéralement dans son bureau et ferme la porte. Il est debout face à moi. Il me surplombe de toute sa hauteur. Je suis au sol, il avance et je recule les fesses sur le sol. Bientôt, j'ai le mur dans le dos.
Je me recroqueville sur moi même, les bras sur le visage afin de me protéger. Je pleure et gémit.
Le capitaine saisi le fouet , il me regarde, je le regarde à travers mes bras. Je le supplie du regard , il avance. Je me met alors à demander pardon:
« pardon maître, je vous supplie de me pardonner. Je vais être sage, je ferais tous ce que vous voulez... pitié. Ne me faites pas de mal ».
À ma grande surprise, il dépose son fouet et s'accroupît à ma hauteur. Il me saisit le menton et plonge son regard glacial dans les miens.
Ecoute moi bien « je ne saurais tolérer un tel comportement. Je veux bien laisser passer pour une fois. Mais si tu recommence un tel cirque, sache que je n'aurais aucune pitié. Réponds :
J'étais tétanisée et incapable d'articuler.
J'attends ! ( il ne rigole pas ).
Toujours aucun son ne sort de ma bouche.
Bon, je peux te donner un avant goût de la raclée ...
Électrochoc « nonnn nonnn j'i compris Maître. Je vais obéir. Je vous remercie de votre clémence dis je en m'inclinant.
Il se leva et parti. Moi je resta de longues minutes sans bouger.
Le capitaine se dirige vers le jardin. Son oncle va le rejoindre : vous l'avez punie, faut il demander à la division 4 de venir l'examiner.?
Non. Laissez moi dit le capitaine.
Biyakuya :
« Rukia, sort de derrière l'arbre. Que veux-tu ?
Rukia :
« je je voulais savoir si vous l'aviez frappé ? J'ai entendu pleuré et ...
nee sama , elle n'est pas méchante, elle a peur de vous , elle est en détresse. Montrez vous patient et calme et
Byakuya :
« assez, cela ne te regarde en rien »
Rukia:
« pardon nee sama. »
Biykuya : Rukia, ne t inquiète pas elle va bien. Je voulais la fouetté mais j'avoue avoir été touché par sa détresse. Va là voir et explique lui que la prochaine fois, touché ou pas elle dérouillera .
Rukia:
Oui et merci pour elle.