Le réveil de Jenny Calendar

Chapitre 1 : Message d'outre-tombe

3482 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 31/03/2020 22:45

Jenny a toujours été mon personnage préféré de la série et lorsqu'elle est morte je n'ai cessé d'imaginer comment est-ce qu'elle pourrait revenir donc voilà ma version de comment Jenny Calendar aurait pu revenir après ce tragique événement. Sachez que c'est ma toute première fanfiction alors soyez indulgents, n'hésitez surtout pas à donner votre avis pour que je puisse m'améliorer.

L'univers de Buffy contre les vampires ainsi que les personnages appartiennent à Joss Whedon.


Chapitre 1:

Message d'outre-tombe



Jenny Calendar se tenait devant ses yeux, ici, marchant, elle n’avait ni l’air heureuse ni triste, son expression était dénuée d’émotions. Buffy ne pouvait pas la quitter des yeux, elle essayait mais c’était impossible. Elle distinguait cependant une pelouse et des arbres, sûrement se trouvait-elle dans un parc. " Madame Calendar ! " appela Buffy sans succès. Elle la suivit. " Que faisons-nous là ? ", réessaya-t-elle. Sans prévenir Jenny s’arrêta le regard fixé en direction du sol. Buffy remarqua qu’elle tenait quelque chose dans ses mains, l’objet était flou mais elle pouvait voir qu’il était de couleur jaune. La bohémienne croisa son regard puis laissa tomber l’objet. Soudain, Angel attrapa violemment Jenny et alors qu’il s’apprêtait à lui tordre le cou il dit : " Buffy, veux-tu des gaufres pour ton petit-déjeuner chérie ? "

La tueuse se réveilla dans sa chambre en sueur. Elle regarda autour d’elle, aucune trace du vampire.

- Chérie ? l’interpella sa mère de la cuisine.

- Oui ? répondit Buffy se remettant de la peur qu’elle venait de lui faire.

- Je t’ai demandé si tu voulais des gaufres.

- Oh ! Euh… Oui, bien sûr, bégaya-t-elle. 

 

Plus tard dans la matinée, Buffy avait retrouvé Alex et Willow pendant l'intercours. Ils s'étaient installés sur un banc devant l'entrée du lycée à proximité d'un arbre qui leur faisait un peu d'ombre.

- Et c’est la troisième fois que tu fais ce rêve ? demanda Willow.

- Oui… acquiesça Buffy.

- Que crois-tu que cela signifie ? l'interrogea Alex.

- Je… Je ne sais pas, j’ai une étrange sensation, j’ai l’impression qu’elle cherche à communiquer mais c’est presque comme si quelque chose l’en empêchait. Je pense qu’elle veut que je voix quelque chose.

- Une sorte de message ?

- C’est ça.

- Et qu’en pense Giles ? questionna Willow.

- Je ne lui en ai pas parlé et je ne préfère pas, je ne veux pas l’embêter avec ça il souffre déjà assez de la perte de madame Calendar pas besoin de lui enfoncer le couteau dans la plaie.

- Oui, tu as raison, répondit-elle tristement.

- Et toi Will ? demanda Alex.

- Quoi moi ?

- Tu n’aurais pas un truc de sorcières qui pourrait nous aider ?

Elle réfléchit.

- Oh ! Je crois avoir vu quelque chose à la bibliothèque concernant un guide avec qui on pourrait entre en contact grâce à l’invocation de Morphée et …

- Peux-tu nous épargner tout ça s’il te plaît, oui ou non ? la coupa Alex.

- Oui, dit Willow avec un sourire amusé puis se tourna vers Buffy. Si tu veux je peux passer chez toi ce soir pour essayer.

- Merci Willow.

La sonnerie retentit et les trois lycéens se séparèrent.

 

Buffy s’était maintenant endormie et Willow avait pu effectuer le rituel permettant à son amie d’entrer en contact avec l’oneiroi (divinité personnifiant son rêve) responsable de son rêve. La tueuse refit le même rêve habituel mais cette fois-ci elle était guidée par les yeux de l’oneiroi.

Buffy suivit Jenny Calendar jusqu’au même endroit où elle s’arrêtait chaque nuit. Cependant, elle pouvait maintenant voir ce que la bohémienne regardait, c’était une tombe, la tombe de Mme. Calendar or il y avait un immense trou, le cercueil n’était pas recouvert. Puis elle croisa les yeux de Jenny et la vit jeté ce fameux objet jaune à l’intérieur.

 

Le lendemain était un vendredi, Buffy étant persuadée qu’il y avait quelque chose à voir dans le cercueil de Mme. Calendar (à part un corps en pleine décomposition) attendit la fin des cours pour se rendre au cimetière accompagnée d’Alex. Pendant ce temps Oz et Willow restaient aider Giles à faire des recherches pour que celui-ci ne soit pas sur le dos de sa tueuse.

Munis de pelles ils creusèrent jusqu’à que le cercueil soit découvert. Buffy s’agenouilla devant tandis qu’Alex s’éloignait de plus en plus préférant regarder ailleurs.

- Pourquoi est-ce à moi de me coller ça ? Oh Alex tu m’accompagnes, on va aller au cimetière comme ça on rendra une petite visite à madame Calendar. Oh, bien sûr Buffy ça sonne bien pour un vendredi soir ! Très bonne idée Alex ! se plaignait-t-il plus à lui-même qu’à son amie.

Buffy prit une grande bouffée d’air frais.

- L’heure de vérité, annonça-t-elle.

Elle ouvrit doucement le cercueil n’osant pas vraiment regarder puis ouvrit les yeux.

- Oh, oh ! dit-elle comme si elle avait fait une bêtise.

- Oh, oh !? imita Alex. Qu’est-ce que ça veut dire Buffy ? Que se passe-t-il ? ajouta-t-il en panique. 

- Alex, viens voir…

- Oh, non merci ça ira, je suis très bien ici tu sais.

- Je t’en prie ne sois pas un bébé !

- Mais toi dis-moi ce qu’il y a ! rétorqua Alex énervé. Ce que tu cherches n’est pas ici ?

- Non, en effet. Puis elle ajouta dans un murmure juste assez audible pour qu’il l’entende, c’est le cas de le dire…

Ne comprenant pas Alex s’approcha du cercueil pour découvrir qu’il était vide, le corps de Jenny Calendar avait disparu. 


Alex et Buffy déboulèrent désorientés dans la bibliothèque. Willow se précipita vers eux suivie de près par Oz avant que Giles ne remarque leur arrivée. La rouquine à la fois pleine d’espoir et de peur les interrogea :

- Alors ?

- Rien, répondit Alex toujours sur le choc.

- Rien ? répéta-t-elle. Alors, vous pensez qu’on s’est fait des idées pour rien, que ton rêve ne voulait rien dire.

- Non, on veut dire qu’il n’y a rien, pas de corps, chuchota la tueuse.

- Pas de corps ! lâcha Willow un peu plus fort que ce qu’elle ne voulait ce qui informa Giles de leur présence.

Ses amis la fusillèrent du regard.

- Désolée.

- Buffy ? Alex ? Que faîtes-vous ici ? questionna Giles surpris.

- Comment-ça qu’est-ce qu’on fait ici ? Giles, vous semblez oublier que les tordus de littérature que nous sommes passons tout notre temps ici, se défendit Alex en essayant d’avoir l’air le plus naturel possible ce qui fut un échec.

- C’est bon Alex, intervint Buffy. Je crois que nous devons tout lui dire maintenant.


Giles était étendu sur son lit et comme ces dernières nuits, il avait du mal à trouver le sommeil. Comment le pouvait-il ? Cela faisait presque trois semaines qu'elle était morte. La journée il arrivait à garder la tête haute, mais la nuit c’était le plus douloureux. Il avait peur de s’endormir car il savait pertinemment qu’il allait rêver d’elle. Que ce soit des cauchemars où Jenny se faisait torturer ou au contraire de beaux rêves où la femme qu’il aimait riait aux éclats car s’en réveiller n’est que plus grande souffrance encore.

Giles s’en voulait, il regrettait tellement de ne pas s’être réconcilié avec elle plus tôt. Oh Dieu, s’il avait su ! Il se maudissait de l’avoir laissée seul cette nuit-là. Peut-être que s’il avait agi autrement Jenny serait là dans ses bras. Il éclata en sanglots.

Ce que lui avaient raconté les enfants ne l’aidait pas, loin de là. Déterrer un corps était un acte horrible, une véritable offense envers la personne. Il avait immédiatement pensé à Angel ou plutôt Angelus. Étrangement il n’était pas un de ses plus grands fans ces derniers temps. Mais Willow avait raison, comme toujours d’ailleurs, quel aurait été l’intérêt de rendre le corps à Giles avec une telle mise en scène pour ensuite le récupérer sans même les en informer pour qu'ils en souffrent. Il en avait de la chance d’avoir des amis comme elle et la bande dans sa vie, c’était important d’en profiter on ne sait pas combien de temps cela durera et ça il s’en rendait bien compte. Oh ! Sa famille… La famille de Jenny. Ils méritaient de savoir ce qu’il se passait, c'est vrai que parfois il oubliait ses autres proches, eux aussi devaient avoir la vie dure et ce serait mieux pour eux tous s'ils s'entraidaient. Giles décida qu'il leur rendrait visite pendant le week-end. 


Il savait qu’il y avait une partie du clan de Jenny qui habitait en petite communauté non loin de Sunnydale. A son arrivée il fut accueilli par un homme qui se présenta sous le nom d’Henry, il était brun, âgé d’une soixantaine d’années et n’avait pas l’air d’être l’homme le plus sympathique au monde certes mais n’avait pas l’air non plus d’être un démon.

Le bibliothécaire se présenta et lui expliqua les faits. Son hôte le remercia quand ils furent interrompus par l’intrusion de quelqu’un.

- Mon oncle, j’ai besoin de vous parler !

Cette voix fit le tour de la tête de Giles, ce ne pouvait être… Ce n’était pas possible… Il se retourna et ses yeux se posèrent sur une femme avec de magnifiques cheveux bruns qui tombaient sur ses épaules et un regard... Waouh! Il n’en croyait pas ses yeux, une larme coula sur sa joue, c’était…

- Jenny ! Jenny ! cria-t-il emplit de bonheur. Oh non je ne peux pas le croire, ce ne peux être vrai ! " ajouta-t-il les larmes aux yeux tout en se précipitant pour la prendre dans ses bras.

Cependant, elle ne lui rendit pas son étreinte, elle s’éloigna en le regardant bizarrement, comme si elle ne l’avait jamais vu auparavant. L’expression de Giles se figea, que se passait-il ? Était-ce une autre hallucination ?

- Excusez-moi, vous devez faire erreur mais…

- Janna ce n’est vraiment pas le moment, je suis en plein rendez-vous ! l’interrompit Henry plus par un rugissement qu’avec des mots.

Il l’attira vers la sortie rapidement. On aurait dit que la veine de son front allait exploser. La porte se referma derrière elle mais la bohémienne à la fois désorientée et intriguée par la conversation resta écouter à la porte.

Giles demeurait figé, il ne pouvait plus bouger, il ne comprenait rien à ce qui venait de se produire. Ses yeux passèrent de la porte à l’homme qui se tenait devant lui. Ce dernier semblait vouloir s’arracher les cheveux de la tête tant il était énervé. L’observateur reprenant possession de son corps paniqué et en colère parla :

- Est-ce que quelqu’un peut m’expliquer ce qu’il se passe ici ?!

- Oh, c’est la merde ! railla Henry. Giles le regarda dubitatif, le bohémien essaya de reprendre ses esprits. Bien, je vais tout vous expliquer… Depuis des siècles le clan Kalderash a toujours fait le meilleur pour ses membres mais cette fois-ci… Nous sommes coupables. Nous n’avions pas réaliser que le danger de sa mission augmentait. Il le fallait… Il fallait que nous réparions notre erreur. Notre histoire avec vous savez qui remonte à longtemps, il a fait tellement de mal à notre peuple, il ne pouvait gagner, pas cette fois. Quelques jours après son enterrement nous avons déterré son corps et avons effectué pour la première fois un rite très ancien. Ramener quelqu’un à la vie est très dangereux monsieur Giles…

Giles n’écoutait plus, Jenny, sa Jenny était vivante. Il ne savait plus quoi penser, il était à la fois emplit de bonheur et de joie mais aussi de colère. En effet, s’il était venu ici c’était pour les prévenir de l’offense faite à l’une des membres de leur tribu. Il avait pensé que c’était la bonne chose à faire : s’entraider. Mais là il apprenait que pendant qu’il souffrait de sa perte, ils lui avaient caché qu’elle était en fait vivante quelque part et ça depuis des semaines ! Et s’il n’était pas venu aujourd’hui, quand l’aurait-il su ? Soudain sa colère laissa place à un sentiment d’amour. Oh Dieu, il voulait la prendre dans ses bras maintenant, il voulait sentir son odeur qui lui avait tant manqué, il voulait la voir, la toucher. Tout à coup, il fut sorti de ses pensées par les paroles d’Henry :

- Nous ne voulons plus que vous la voyez.

- Pardon ?! lâcha Giles.

- Ecoutez, c’est entièrement pour son bien. Ce temps passé avec vous lui a fait courir de grands dangers, expliqua le bohémien.

- Vous croyez vraiment que Jenny sera d’accord avec ça ! C’est à elle de faire ses propres choix ! rétorqua le bibliothécaire. Et si Jenny a quelque chose en tête, croyez-moi ce n’est pas vous qui l’arrêterez !

- Jenny ?! Mais Jenny Calendar n’existe plus mon pauvre Giles ! " hurla-t-il

L’observateur ne savait plus quoi penser, il était perdu. On lui annonçait que la femme qu’il aimait et qu’il pensait morte était en vie et dans la minute suivante qu’elle n’existait plus. Que ne savait-il pas encore ?

Henry se calma et reprit :

- Nous avons réparé notre erreur monsieur Giles. Nous avons supprimé toute cette mission de sa mémoire. Par conséquent elle ne vous connait pas, ce n’est plus Jenny Calendar mais Janna Kalderash.

Giles avait l’impression d’avoir reçu un des pieux de Buffy au cœur. Il se rappela de l’expression que Jenny avait eu lorsqu’il l’avait serrée dans ses bras. Non, ce ne pouvait pas se terminer comme ça. Il pointa un doigt en direction de son interlocuteur et dit plus qu’hors de lui : " Effacer deux ans de la vie d’une personne, mais vous êtes horrible ! Qui êtes-vous pour décider de cela !

- Monsieur Giles, nous avons fait ça pour son bien. Janna sera bien plus en sécurité ici avec nous qu’avec vous à Sunnydale High. Tout cela n’était qu’une mission de toute façon, vous allez reprendre votre vie de bibliothécaire comme avant. "

Jenny qui se tenait près de la porte et avait réussi à entendre la plupart de la conversation se sentait trahie. Qui était-elle vraiment ? Deux ans de sa vie lui avaient été retirés, comment pouvait-elle faire confiance à quelqu’un maintenant ? Elle partit se réfugier dans son appartement, elle avait vraiment besoin d’être seule.

- Je veux la voir, je dois lui parler ! ordonna Giles

Tout à coup, quatre autres hommes plutôt musclés entrèrent dans la pièce.

- Je ne crois pas que cela va être possible. Je vais vous demandez de vous en allez, vous n’êtes plus le bienvenu ici, déclara Henry.

Ne voulant pas créer de scandale, l’observateur sortit en claquant la porte. Il devait parler à Jenny et il le ferait, il reviendrait la semaine prochaine le temps de se calmer un peu. Il ne voulait pas faire quelque chose qu’il pourrait finir par regretter. Cependant, il y avait de l’espoir, un espoir pour eux d’être réunis.


Jenny courrait à travers les couloirs. Elle était terrifiée, elle fuyait quelque chose, quelqu’un, mais elle ne voyait pas son visage. Il y avait une porte sur son passage qui refusait de s’ouvrir. Son cœur battait de plus en plus vite, elle ne pouvait pas rester là. Elle réessaya de l’ouvrir avec toutes ses forces, elle réussit et la referma juste avant que l’autre ne la rattrape. Elle courut le plus vite possible, monta les marches d’escaliers et arriva devant une grande fenêtre. Soudain, elle sentit une main lui agripper la gorge férocement. Elle avait du mal à respirer, c’était la fin, elle le savait. Et tout à coup ce fut le néant.

           Jenny Calendar se réveilla la respiration haletante. Elle ne pouvait pas continuer comme cela, elle faisait ce rêve toutes les nuits, elle en devenait folle. Sa famille lui avait dit à son réveil il y a quelques semaines, juste avant que ce rêve ne commence à la hanter qu’elle avait eu un accident de voiture et avait été retrouvée inconsciente. Ils lui avaient demandé de rester avec eux le temps d’être sûr qu’elle allait bien. Elle n’était pas très à l’aise avec cette idée au début, Jenny aimait avoir son indépendance et avait prévu de se trouver un appartement en ville au bout d’un mois ou deux mais vu les circonstances actuelles elle décida de commencer ses recherches dès demain, elle ne pouvait plus rester ici, elle ne le voulait pas. La bohémienne se sentait trahie, elle avait perdu deux ans de sa vie, elle était perdue. Mais tout prenait sens à présent, ce rêve qui l’obsédait devait avoir un lien avec sa mort. Qu’avait-elle bien pu faire pour que quelqu’un veuille la tuer d'une façon si inhumaine. Jenny ne se sentait plus en sécurité ici. Qu’allait-elle faire maintenant ? Soudain, elle se rappela de l’homme qu’elle avait rencontré dans le bureau de son oncle et qui l’avait appelée Jenny. Elle le dit à voix haute, cela sonnait bien se dit-elle. Cet homme devait sûrement la connaître à moins qu’il ne soit médium. Il pourrait probablement l’aider à se souvenir. Elle espérait que c’était possible, elle ne se sentait pas vraiment elle-même ces derniers temps et pour cause. Mais elle devait rester prudente, son assassin courait toujours les rues et ce pouvait être n’importe qui. Cependant, il y avait quelque chose qui lui inspirait confiance chez cet homme, peut-être son accent britannique ou la façon qu’il avait de la regarder. Elle devait le retrouver, elle se remémorait avoir entendu Henry parler de Sunnydale High, probablement un lycée, l’anglais devait être professeur. Mais alors, ils avaient pu se rencontrer là-bas étant elle-même professeur d’informatique, c’était tout à fait plausible. Jenny se leva, alluma son ordinateur et se connecta sur le net. Son oncle l’avait appelé Giles, elle chercha donc un dénommé Giles parmi les archives du lycée. Bingo ! Rupert Giles, bibliothécaire à Sunnydale High. Elle irait le rencontré lundi. Elle s’apprêtait à se déconnecter lorsqu’elle se souvînt d’un nom énoncé par Henry : Jenny Calendar. Un article de journal s’afficha. Il y avait une photo d’elle à côté d’un article :

Jenny Calendar, professeur d’informatique au lycée de Sunnydale a été retrouvée décédée, la cause de la mort demeure indéterminée.

Indéterminée ? Mais elle devait savoir, il existait certainement un lien avec ses rêves, elle avait sûrement été victime d'un assassinat et cela la terrifiait. 

 






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