Death Note ; Suite , Light Shinigami renaissance. Retour au mondes des humains.

Chapitre 2 : Commencement.

949 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 04/10/2017 11:52

Sabrine , jeune fille venant de France , était arrivée au Japon quelques semaines auparavant seulement. Quelques semaines avant que le cauchemar ne commence , pour certains.



Elle vient de se lever , regardant l'écran de son téléphone , qui indiquait " cinq heures " du matin. C'est l'heure , plus le temps de roupiller. Elle part alors en direction de la salle de bain , ou elle prit le temps de se doucher et de se préparer soigneusement. Quelques minutes plus tard , elle se trouve déjà dehors , fermant sa porte à clé. Elle était une grande avocate , reconnue en France , ce qui lui a valu son transfère , ici , en Corée. Sabrine avait perdu ses parents étant jeune. Ils avaient étaient empoisonnée. Depuis ce jour , elle jura de défendre ceux qui en avaient besoin. Ce qu'elle fit à la lettre. Seulement , les jours ou elle n'arrivait pas à mettre les meurtriers en" cage " , comme elle disait si souvent , mieux valait ne pas croiser sa route.


Une vingtaines de minutes plus tard , elle est arrivée au cabinet. On la salut , comme d'habitude , durant son parcours jusque son bureau , ou elle s'installe directement sur son siège. Réfléchissant à comment mettre en cellule , le vrai auteur du crime.


  • Madame Yakoubi ?


Une assistante venait d'entrée dans la pièce.


  • Oh ? Oui ,que ce passe-t-il Asuka ?
  • Eh bien... Tenez , ce sera plus simple je pense.


L’assistante venait de poser sur son bureau un dossier , ou était inscrit en gros " affaire Miyuri." La jeune femme laisse son assistante sortir , avant de ce précipiter vers le document. Elle le lit , attentivement , avant de le balancer au sol , sortant en direction du bureau procureur général. Elle ne prit pas la peine de frapper , ouvrant la porte comme une furie.


  • Tu m'explique ? Lui crit-elle.
  • Ah... Je vois que tu as était mise au courant.


Le jeune homme était fort charmant , jeune lui aussi. Les cheveux relevé , noir. Grand de taille , yeux aussi noir que son cœur , musculature de dieu. Elle avait , d'ailleurs , vécu une histoire passionnelle dans le passé avec ce dernier. Qui n'avais pas abouti , ils étaient trop préoccupées par le travail.


  • Explique moi , explique moi juste , comment on a fait pour arriver sur un non-lieu ?! Ce type est coupable et on le sait tout les deux !
  • Calme toi tu veux. Tu sais bien qu'on a pas assez de preuve pour le faire entrer. La seule qui pourrait nous aider , c'est son ex-femme en témoignant. Et ça , croit moi , c'est impossible. Elle refuse , rien à faire , elle a trop peur des représailles.
  • Je vais aller la voir , maintenant , et on verra si il s’agira encore d'un non-lieu.


La jeune femme part en direction de la sortie du bureau , mais l'homme l’interpelle.


  • Arrête de toujours forcer , ça ne ramènera pas tes parents.
  • Je , t'interdis , de parler d'eux.


Et elle sort de la pièce , claquant la porte derrière elle. Quelques heures après cet incident , elle se trouvait chez l'ex-femme en question , assise autour d'une table , une tasse de café à la main.


  • Vous savez , Mia , vous ne craindrez rien en témoignant , on sera là pour vous défendre et vous protéger.
  • Jusque quand ? Vous ne serez pas là toute ma vie ! Un jour ou l'autre il se vengera ! Vous ne le connaissez pas.
  • Mia ... Je vous assure que-


Elle fut coupée par cette dernière , qui c'était levée de sa chaise.


  • Sortez. Partez de chez moi. Je ne vous ai jamais rien demandée , je vis bien à présent avec mes enfants , depuis qu'il nous a quitté pour elle.
  • Mais elle , elle est aussi victime de coups et de viole ! Comme il le faisait avec vous ! Un cœur , avez-vous encore un cœur ?
  • Il me l'a retiré , à cette époque. Maintenant , sortez de chez moi.



Elle était assise là , sur sa balançoire. Comment expliquer à sa cliente que son violeur et l'homme qui l'a battée allait- être acuité d'un non-lieu ?Elle se mit alors à hurler , comme à chaque fois qu'elle se retrouvait impuissante , et affaiblie de ses histoires. Elle reste , au moins , deux heures dans son jardin. Deux paquets de cigarette déjà consumées. Quant-elle décide d'enfin rentrer. Il commençait à pleuvoir. Elle déteste la pluie. Seulement , en essayant d'ouvrir la porte , elle comprends qu'elle est coincée dehors.


  • Ouvre toi bordel ! Pas sérieux.... Comment j'ai fais ? Y a quelqu'un à l'intérieur ! Si vous voulez me cambrioler allez-y mais laissez moi entrer ensuite s'il vous plaît ! J'suis vraiment pas d'humeur là !



A ces mots , la porte s'ouvre. Sans explication , c'est à ce moment là que Sabrine commence réellement à avoir peur. Elle entre tout de même , doucement et en silence. Et reste surprise à ce qui se trouvait face à elle. Sa maison était dans un état pitoyable.


  • Ah , bah finalement c'était vraiment un cambriolage...


En y regardant de plus près , elle comprends qu'en réalité il ne s'agissait pas d'un cambriolage. Son coffre avait , oui , était ouvert , mais , l'argent était toujours dedans. Ces bijoux aussi , de très grande valeur ,se retrouvait être au sol. Mais un seul truc la chiffonnait. Seul la cuisine était éteinte. Avec peur , parce que oui elle commence à flipper , elle y entre , remarquant que sur la table qui se trouvait au centre ; était posée un cahier noir.


  • Death Note ?...


Elle ne comprends pas trop mais en l'ouvrant tout s'éclaircit peu à peu. Surtout à la lecture des règles qui y était inscrite.


  • Règle un : La personne dont le nom est écrit dans ce cahier meurt inéluctablement. Mais qu'est-ce que... Ça me rappelle une histoire...



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