Demain nous appartient, la LOVING FICTION

Chapitre 38 :

[Dans la tête Leïla]

[William était ressortit de la chambre mais il m'avait dit que Samuel devait dormir, chose que je comprennais. Autrement, il ne voulait absolument pas que je rentre lui dire au revoir, ce que je ne fis pas, car je devais allez voir ma fille. Peut être qu'il m'avait dis ça pour ne pas qu'on se parle et que je lui dise que j'essaye de lui pardonner mais je veux quand même que l'on garde nos distances.

Je pris tout mon courrage et suivi mon cerveau, il ne fallait pas que je retourne le voir, pour son bien. Pourtant mon coeur me disait de le prendre dans mes bras, mais il ne fallait pas, même si il avait déjà assez compris comme ça. Je sais au plus profond de moi que William avait raison, je lui avait fait trop de mal, le mal qu'il m'avait fait avait était rendu, mais trop, beaucoup trop... Quoi qu'il en soit je devais allez voir Noor, je ne l'avais pas revu depuis que je l'avais laisser seule pour aller voir l'homme que j'aimais par dessu tout.]

(Leïla était arrivé à la maison, elle y trouva Noor qui faisait ses devoirs.)

Leïla : Noor, chérie, ça va ?

Noor : Tiens tu n'as pas oublié t'avais une fille ?

Leïla : Noor, prend le pas comme ça...

Noor : Ah parce que tu veux que je le prenne comment, on passe presque plus de moment à 2 et pour le peux de moment qu'on passe tu me laisses toute seule pour aller le rejoindre parce que monsieur est un toxico !

Leïla (qui commença à se mettre en colère contre sa fille) : Noor ça suffit ! Samuel n'est plus toxico et puis tu n'as pas à parler de lui comme ça.

Noor : Parce que tu veux que je parle de lui comment ? A part un drogué pour qui tu sacrifies ta vie et qui n'est pas capable de te rendre heureuse.

Leïla : Noor, ne dépasse pas les limites ça suffit ! Tu sais très bien qu'il me rend heureuse, il a sa place dans ma vie comme toi, comme ta soeur...

Noor : Il te rendra heureuse aussi quand tu passeras tes journées et tes nuits à l'hopital parce qu'il fait toujours des tentatives de suicide sous-pretexte qu'il a peur de te perdre !

Leïla : Écoute Noor, mes histoire avec Samuel ne te regarde pas, tout ce que tu as a savoir c'est que je t'aime et que ça ne changera jamais, qu'il soit dans ma vie ou non. Et puis pour ne pas que tu t'inventes des âneries dans ta tête, il avait une bonne raison de faire ça...

Noor : À oue, que tu vas avorter, qu'il n'aura pas d'enfant avec toi mais avec celle avec qui il baisera dans deux semaines c'est assez. Mais c'est bon... Il sera père, et 2 semaine après il se barrera !

Leïla : Noor, tu vas trop loin ! Tu arrêtes ça tout de suite !

Noor : À oue sinon quoi ? Tu vas me virer de la maison !

(A ce moment Leïla devenait rouge, elle allait exploser de rage sans réfléchir, sa main partit vite et se posa très brusquement sur la joue de sa fille.)

Noor : Attend, tu viens de me gifler là !

Leïla : Je suis désolé chérie, désolé je ne voulais pas faire ça ! Je suis tellement sur les nerfs en ce moment !

Noor : Tu es sur les nerfs mais ce n'est pas sur moi que tu devrais te défouler.

(Rassembla ses affaires qu'elle avait en quantité minime car les autres etaut chez son père.) Et puis tu sais quoi, tu n'as pas besoin de me virer de la maison, je me casse par moi même !

(Leïla était rester bouche bée, elle était à bouts de nerf et c'était certainement à cause de l'hospitalisation de Samuel. Mais là, il lui fallait quelqu'un avec qui parlait, une personne à qui elle avait entièrement confiance, peut être une personne au coeur brisé, qui sait !

Leïla pris sa voiture et se dirigea donc vers l'hôpital...)

▪Toc,Toc,toc▪

Samuel : (Avec une faible voix) Entré !

Leïla : Coucou...

Samuel : Chérie... Tu m'avais tellement manqué... Et mon bisous ?

Leïla : Oui... Je... enfin... je veux pas te faire mal.

Samuel : Au contraire ça me fera du bien...

(Après s'être embrassé sous la retenu de Leïla.)

Leïla : Ça va mieu ?

Samuel : Oui, toujours quand je suis avec toi. D'ailleur tu n'es pas passée me dire au revoir tout à l'heure.

Leïla : Comment ça ? Ba, William m'a dit que tu dormais.

Samuel : Ba non je lui ai demandé de t'appeller.

Leïla : Il a dit le contraire, pour nous éloigner certainement, il le veut de toute facon...

Samuel : Mais il n'y arrivera pas de toute façon, n'est ce pas ?

[J'étais coincé devais-je tout lui avouer ? Ou lui mentir une fois de plus au risque qu'il replonge ? J'avais peur j'étais tétanisée, incapable de répondre quoi que ce soit. Il fallait que je parle à Samuel de la raison qui l'avait emmené dans ce lit.]

Chéri ça va ?

Leïla : Je ... Je pense qu'il faut que l'on parle non ?