Demain nous appartient, la LOVING FICTION

Chapitre 40 : Chapitre 40 de la Loving Fiction

1034 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 06/02/2020 12:45

Chapitre 40 :

¡ PREMIÈRE PARTIE ¡

[Dans la tête de Madame Delcourt.]

*Noor se sentait mal après la prise de cette drogue. Elle était désormais en cours de sciences mais n'arrêtait pas de tousser et ne se sentait plus "elle même". À la fin du cours, Madame Delcourt qui avait observé Noor tout le long du cours avait vu qu'elle ne se sentait pas bien. Elle se décida à aller lui parler.*

Madame Delcourt : Noor, reste là je dois te parler !

Noor : Quoi ? De... quoi ?

Madame Delcourt : Noor, je vois bien que tu n'étais pas du tout avec moi là...

Noor : Comment ça ? Si si, je... je suis avec vous !

Madame Delcourt : Tu es sûre ? Je ne veux pas m'imicer dans ta vie privée mais j'ai l'impression que tu as fumé quelque chose, Noor tu me le dirais ?

Noor : Non, justement vous avez rien à dire sur ce que je dois faire...

Madame Delcourt : Noor, tu ne peux pas fumer comme ça, tu ne peux pas te faire du mal que ce soit sur le plan moral ou sur le plan santé, si tu as des problèmes parles-en aux personnes autour de toi mais ne reste pas seule, ce n'est pas bien !

Noor : Vous savez quoi ? C'est les personnes autour de moi qui me laisse seule, ce qui me fait mal ce n'est pas ce que je prend ou même ce que je fais c'est ce qu'on peut me faire. De toute façon tout le monde s'en fou de moi.

(Noor qui était sur le départ)

Madame Delcourt : Qu'est ce qui ne va pas Noor ?

Noor : J'ai pas envie de vous parlez.

Madame Delcourt : Ce n'est pas grave, mais ça à l'air de te faire du mal donc il faudrait que tu parles à quelqu'un d'autre comme ta mère ou ta soeur ?

Noor : C'est ma mère qui me fait du mal, elle s'en fou de moi, elle n'en à rien à faire de ma vie. Et ma soeur elle est trop préoccuper par son mec et son travail donc effectivement ça me fait du mal et je suis seule mais je suis bien comme ça donc maintenant laissez moi !

[Je n'y croyais pas, Noor, une très bonne élève, aussi gentille qu'elle est, mais comment avait-elle pu tomber dans la drogue ? Je ne savais plus quoi faire, devrais-je parler à quelqu'un de ce fameux problème ? J'étais perdue, seule, autant qu'elle dans ses problèmes, chacune les siens.]

¡ DEUXIEME PARTIE ¡

[Dans la tête de Leïla.]

(Leïla venait voir Samuel comme à son habitude, tous les soirs après son service, elle alla lui parler, même si tout n'était pas rose entre-eux.)

Leïla : Coucou ! Je te dérange pas ?

Samuel : Jamais tu me dérangera.

(Leïla sourria)

Leïla : Ça va mieu ?

Samuel : Oui, William est venu me voir ce matin et il m'a dit que je pouvais sortir demain matin.

[La nouvelle que je venais d'apprendre m'avait fait beaucoup de bien, l'homme que j'aimais allait clairement mieu et il était enfin apte à sortir. Mais cette sortit aller accélérer l'arrivée de notre discution pour nous y retrouvee, ce qui est sûr c'est que je lui en veux encore beaucoup. Comment avait-il pu ne serait-ce que penser à nous laisser, moi et son enfant. C'est vrai que j'avais était très dure avec lui mais je ne le comprenais pas. Toute fois je pensais qu'il était l'heure de s'expliquer, car il fallait organiser sa sortie. Va-t-il revenir à la maison ? Ou devra-t-il prendre une chambre d'hôtel ? Ces questions tournait dans ma tête, mais j'étais la seule maître de la réponse. Il fallait qu'on parle, qu'on arrête de faire comme si tout allait bien et que l'on entre dans le vive du sujet.]

Leïla : C'est... c'est génial pour toi...

Samuel : Mais pas pour nous c'est ça ?

Leïla : C'est pas ça, c'est que j'ai du mal à te pardonner malgrès que tu fais tout pour... Mais je t'aime, ça changera pas ça.

Samuel : Je suis encore désolé chérie. Je me rend compte que je ne peux pas penser qu'à moi car en faisant ça j'ai était égoïste. Pourtant je t'aime, je t'aime tellement, je n'aurais jamais pu te laisser, toi et notre enfant....

Leïla : Pourtant si William n'aurait pas était là pour toi, tu y serais passé.

Samuel : Je sais, je sais je te le redit encore une fois mais je suis désolé mon amour.

Leïla : (se mettant à pleurer, submergée par ses émotions.) Tu te rend compte Samuel ! Je n'aurais pas pu tenir sans toi, j'aurais était amener à faire apreil que toi parce que sans toi je ne peux pas, et le bébé, tu as pensé au bébé !

Samuel : Leïla calme toi ! Viens là chérie, vient calme toi.

(Leïla prit donc la décision de s'asseoir sur le bord du lit d'hôpital de Samuel, elle était en sanglo, ce qui n'était vraiment pas bien pour leur enfant. Samuel la prit dans ses bras pour la consoler et fini par lui dire des mots doux.)

Samuel : Je vous aime tellement mes amours. Plus jamais, plus jamais on sera séparé comme ça !

Leïla : On a était trop loins mais je te promet de penser aux conséquences de mes actes. Parce que je me suis rendu compte que...

Samuel : Que quoi chérie ? Tu me fais peur.

Leïla : Que je peux pas faire sans toi en plus il y a quelque chose qui nous lie.

Samuel (mettant sa main sur le ventre de sa femme) : (D'un air coquin) C'est vrai ça ! Je vais prendre soins de toi maintenant, pendant 9 mois tu seras chouchoutée.

Leïla : Et après j'éspère.

Samuel : Bien sur je prendrais le plus grand soins de vous chouchouter parce que je vous aimes beaucoup trop.

[J'étais rassuré, j'avais enfin pris le dessus de la colère. J'étais certaine, je ne pouvais vraiment plus faire sans lui, j'avais besoin de lui, comme mon bébé, il avait besoin de son papa...]

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