Demain nous appartient, la LOVING FICTION

Chapitre 42 :

[Dans la tête de Leïla.]

[Ça y est, le jour j était enfin arriver, j'allais retrouver l'homme que j'aime. Il me manquait tellement, je ne pouvais pas être séparée de lui plus longtemps. Je pris mes affaires et vêtue de ma longue robe fleurie je partis en direction de l'hôpital.]

J'ouvrit la porte :

Leïla : (sauta dans ses bras.) Coucou mon amour !

Samuel : (L'embrassa de vive allure) Mon Amour... Tu m'as tellement manqué.

Leïla : Ça va ? Tu es un peu pal !

Samuel : Un peu fatigué mais ca va chérie, et toi ? Tu as bien dormis?

Leïla : Ça va, j'ai eu du mal à m'endormir parce que je n'étais pas dans te bras ...

Samuel : Ça va aller maintenant je pourrai enfin vous prendre dans mes bras ce soir...

Leïla : Papa gaga va !

Samuel : Sans plaisanter ça va ta grossesse ?

Leïla : Ça va ... Il faudra qu'on prenne rendez vous avec monsieur Combes.

Samuel : Tu n'as pas l'air convaincu chérie... et oui, ba on va le faire en sortant non ?

Leïla : C'est juste que je m'inquiète, d'abord parce que tu n'étais plus avec moi et que je me rend compte que sans toi je ne pourrai rien faire. Et aussi parce que ça tire beaucoup...

Samuel : C'est vrai que tu as déjà un bon gros bidou chérie, t'es tellement belle mon coeur.

Leïla : Samuel je rigole pas je m'inquiète vraiment.

Samuel : C'est normal chérie, c'est ta 4ème grossesses. Mais tu sais quoi on va aller prendre directement un rendez vous, on y va ?

(Passage à l'acceuil fait, ils avaient obtenu un rendez-vous pour le lendemain. Ils étaient maintenant chez eux, Leïla assise dans le canapé était sur sa tablette, Samuel revenait de la chambre il avait rangé ses affaires.)

Samuel : Qu'est ce que ça fait du bien de pouvoir vous serrez dans mes bras.

Leïla : Tu m'avais manqué chéri.

(A ce moment là, ils s'embrassèrent, mais Soraya en avait décidé autrement, elle poussa alors la porte d'entrée, ce qui obligea les deux amants à décoler leur bouche et à Leïla de se retourner vers la porte, ce qui ne les empêcha de rester coller l'un contre l'autre. Samuel était assis contre l'accoudoire du fauteuil. Leïla quand à elle était entre les jambes de Samuel, à moitié allongée, posant ses mains sur celles du futur papa qui recouvrait partiellement son bébé.)

Soraya : (Qui sentait bien qu'elle avait interrompu le début des calins très intenses.) Oh excusait moi. Je ne savais pas que Samuel était rentré !

Leïla : (se levant pour embrasser son ainé.) Ce n'est pas grave chérie, ça me fait plaisir de te voir. Ça va ?

Soraya : Moi ça va mais c'est plutôt à toi que je devrais te demander ça !

Leïla : Comme tu peux le voir ça va mieux.

Soraya : Et vous Samuel ? Vous avez fait très peur à ma mère vous savez !

Samuel : Ça va, oui je m'en suis rendu compte, je le regrette, vraiment.

Leïla : Tu venais me voir pour quelque chose en particulier ?

Soraya : Non juste pour venir te voir ma maman chérie. Mais je vais y aller.

Leïla : Te sens pas obligé de partir chérie, ça me fait plaisir de te voir.

Soraya : Non mais je suis un peu précée à vrai dire.

Leïla : Ah bon ? Pourquoi ?

Soraya : (Toute excitée) Rémy m'a invité au resto alors je dois me préparer.

Leïla : Oh c'est super ! File alors ! Et bon resto, tu fera un bonjour de ma part à Rémy !

Soraya : Bisous et bonne soirée à vous aussi, je vous laisse à vos tendres occupations.

Leïla : (Qui avait le sourrir qui s'illumait d'autant plus son visage.) Bisous ma puce.

(Une fois que Soraya avait passé le seuil de la porte de l'autre sens qu'auparavant, Samuel prit la parole.)

Samuel : (D'un air coquin.) Elle a pas tort ta fille.

Leïla : (revenant s'allonger cette fois-ci face à son homme en copiant l'air coquin de celui-ci.) Mais je ne reçois pas bien le message ?

Samuel : (toujours en jouant avec sa femme.) Ah bon ? Mais pourtant il est très clair !

(Leïla ria et commença à taquiner son amour. Samuel se contenta de la contempler les yeux pleins d'envie. Ils commencèrent à se regarder dans les yeux et virent en eux la même choses, l'amour...

Leïla commença alors à glisser ses mains le long des hanches de Samuel faisant frissoner le jeune homme. Samuel la regarda, pris son visage en l'embrassant langoureusement, Leïla suivit tout en fermant les yeux, par pure plaisir. Mais soudains Samuel s'arrêta et brisé le silence.)

Samuel : Chérie tu es sûr de vouloir faire ça ?

Leïla : Depuis quand tu me demandes si je veux faire l'amour avec toi ?

Samuel : J'ai peur, tu es enceinte de 2 mois quand même.

Leïla : Chérie stresse pas, je te dis que peux d'accord, tout va bien.

(Samuel reprena alors, il glissa ses mains le long du corps de sa belle profitant pour enlever son maillot. Tout ce fit vite désormais, ils se déshabillèrent. La moitié de leurs habits et des coussins finissent à terre. Ils se caressent, profitent, enfin ils peuvent se retrouver après des semaines à se chercher....)