Qui me sauvera si ce n'est moi ?

Chapitre 6 : La bataille

2194 mots, Catégorie: M

Dernière mise à jour 08/11/2016 17:46

Quand les autres me voient, ils se turent puis parle à voix basse.

-Tiens la petite Fraternel est finalement rester! dit Eric. Heureux de voir que tu n'es pas une lâche!

Je ne réplique pas. Que pouvais-je répondre de toute façon ? Quatre est à coter de lui et ne me regarde pas. Tant mieux. Je ne voulais plus jamais avoir affaire à lui. Eric lui demande quand le train arriverai et Quatre lui répond qu'il arriverai d'une minute à l'autre. Eric nous dit de monter dans le premier wagon. Le train arrive et il monte le premier, Quatre attend que tout les novices monte pour monter à son tours. Je suis la dernière a monter et il me suis de près.

-Quatre et moi seront chef d'équipe. Le but est de récupérer le drapeau de l'autre équipe. Se sont des fusils de paintball. Si on est toucher on est éliminer. C'est claire ?

Personne ne répond. On se contente de hocher la tête. Eric propose à Quatre de commencer à choisir mais se dernier refuse poliment.

-Carl, dit Eric d'une voix forte.

Un natif de la faction des Audacieux s'avance calmement vers lui et prend un fusil.

-La fraternel, dit Quatre sur un ton détacher.

J'exulte. Pourquoi moi ? Je sert les poings mais me dirige quand même vers lui.

-Tu veux avoir une bonne excuse pour perdre ? Demande Eric hilare. Où tu cherches a ce que mon équipe ai pitiez de la tiennes ?

Quatre hausse les épaules et me tend un fusil. Je le prend rageusement et retourne à ma place sans oublier de l'incendier du regard. Les équipes se font rapidement. Nous n'étions plus que dix. Quatre transférer et six natif. Chaque équipes est techniquement équilibré, deux transfert et trois natif chacune mais tout le monde semblais pensé que l'équipe de Quatre allait perdre. Pas seulement parce que j’étais dedans mais parce que nous étions tous d'une corpulence plutôt chétive. Cependant je voyais bien nôtre avantage et la logique implacable de Quatre. Nous étions plus souple, moins lourd et donc plus discret. Dans se genre de jeu, nous avions un grand avantage face aux gorilles d'Eric. Nous sommes les premiers à sauter du train et nous nous dirigeâmes vers les manèges. Quatre nous demande qu'elle plan nous avions et tout le monde commence à parler.

-On devrai se séparer en deux, dis-je.

-Pardon ? demande un natif du nom d'Huria. Le nombre fait la force!

-Tu as vue comme nous sommes léger par à port à eux ? Tu tiens à te faire exploser ?

-Tu propose quoi ? demande Quatre calmement.

-L'un d'entre nous montra en haut de la grande roue pour avoir une vue d'ensemble. Comme sa il reperd le drapeau de l'autre équipe. Quand c'est fait il reviens avertir les autres et on se sépare en deux groupe. Un qui partira vers la droite pendant que l'autre prendra la gauche. Quand l'un des deux groupes se fera repérer, il attaquera directement pendant que l'autre se faufilera discrètement jusqu'au drapeau de l'autre équipe.

-Et qui gardera le drapeau ? Demande une fille native.

-Un soldat expérimenter, dis-je en regardant Quatre.

-Je n'en ai pas le droit, ri se dernier.

-Moi je le ferai, dit la fille.

-Ok, sa me va! dit Huria. Mais qui va monter la haut ?

Tout le monde regarde ces pieds et je soupire. Je met mon fusil en bandoulière et cours vers la grande roue. Je commence à grimper sur les barreau rouiller quand je sent un souffle sur mon coup. Je me retourne et arme. Quel ne fut pas ma surprise quand je vois Quatre lever les mains en l'aire. J’étouffe un rire et commence à gripper. Lorsque j'arrive à la moitiez de la grande roue Quatre me demande si je compte monter encore.

-On est pas assez haut, dis-je. Mais tu peux rester ici, si tu veux. Je peux me débrouiller toute seule!

-Je sais, dit-il simplement.

Je grogne et continue mon assertion, Quatre sur les talons. Je l'entend soufflet comme un bœuf puis me met a rire. Il avait le vertige.

-Qu'es-ce qui te fait rire ? demande Quatre, curieux.

-Ta peur des hauteurs. Tu as le vertiges mais tu continues à monter.

Il se contente de hausser les épaules et lorsque nous fîmes tout en haut je le regarde dans les yeux. Il ne détourne pas le regard et je me sent gêné.

-Quoi ? demande t-il sur un ton brute.

-Je ne sais pas vraiment, dis-je. Je ne sais jamais comment tu va réagir, ni jamais à qui j'aurai à faire. Au Quatre gentil ou au Quatre autoritaire ou bien au Quatre soldat.

-Et alors ?

-Alors sa m'agace! Parce que même si je ne le veux pas, je t’apprécie.

-Merci, dit-il sarcastique.

Je ne le regarde plus mais scrute le paysage. Le drapeau est sur la grande tour de l’horloge et l'équipe d'Eric était comme un bloc compacte et campais devant la grande tour. Je fais mon rapport à Quatre qui semble plus content de descendre que de savoir où était l'ennemie. Il me devance mais une barre de fer trop rouiller cède sous mon poids. Je me rattrape de justesse. Alarmer par le bruit Quatre se retours et me regarde comme s'il venait de voir la mort. Une vague de panique traverse ses yeux puis il décent encore un peu puis se place trois mètre sous moi.

-Lâche, dit-il.

-Quoi ? m'écriai-je.

-Fait moi confiance et lâche! Je te rattraperai.

Je grogne. J'inspire et lâche. Ma chute me semble interminable puis je sens ses bras dure me soutenir. La grande roue grince et le bruit résonne dans la nuit noire. Si jamais l'équipe d'Eric ne savais où nous étions maintenant c'est chose faite. Nous redescendîmes rapidement et courûmes vers notre équipe. La fille, gardienne du drapeau nous gronde car nous venions de signaler notre positon.

-Liberty était monter au sommet de la grande roue et un barreau à lâcher, explique calmement Quatre.

Tout le monde se tait et me regarde comme si j’étais une extraterrestre. Je gronde et demande si tout le monde était prêt. Ils hochent la tête et je leur indique le lieux de leur drapeau. Comme convenue nous nous séparâmes. Christina, Quatre et moi d'un coté et les autres de l'autre. Les tires, fusent. Nous nous sommes fait repérer. Christina part avec moi pendant que Quatre nous couvre. Nous montâmes les marches et Christina s’arrête au milieu et me dit qu'elle monte la garde. J'opine et monte sur le toi. Je suis accueilli par une droite de Peter. Je me sent sonner mais brandit ma crosse contre sa tempe. Il tombe sur le sol et je me précipite sur le drapeau en hurlant victoire. Je brandit le drapeau suivie pas Christina. Nous redescendîmes et Quatre viens nous félicité pour la victoire. Eric qui se trouvais derrière me lance un regard meurtrier mais je n'arrive pas à me retenir de rire quand je le voie couvert de peinture rose. Il fronce les sourcilles et s'avance vers moi. Quatre se raidit et se place légèrement devant moi. Avant qu'Eric n'ouvre la bouche je lui dit que Peter est inconscient sur le toi.

-Et tu ne l'as pas emmener avec toi ? Me demande Eric.

-Je ne peux pas, dis-je sincère. Je ne peux pas soulever Peter alors qu'il est un pois mort.

Eric crache à mes pieds et me bouscule pour aller chercher son soldat inconscient.

-Sa va ? demande Christina choquer.

-Oui sa va, dis-je.

Elle me saute au coup en criant que nous avions gagner et elle part vers ses amis.

-Tu devrais rejoindre tes amis, me dit Quatre, en posant une main sur mon épaule.

-J'ai pas d'ami, dis-je. J'en avais un, mais il doit me haïr maintenant.

-Il s'appelle comment ? demande Quatre sur le ton de la conversation.

-Tobias, dis-je. Mais je n'ai jamais vue son visage. Nous nous parlions derrière une cloison en bois. C'est à lui que j'ai fait cette promesse.

-Il ne te déteste pas, affirme Quatre.

-Comment tu le sais ? riais-je. Tu le connais ?

-On peu dire ça, oui.

-Quoi ? hurlais-je. Où est-il ?

Il me dépasse mais je ne compte pas le laisser partir si facilement. Je lui agrippe le bras et tire d'un coup sec. Il ne s'y attend pas et tombe en arrière, sur moi. Il se retiens juste à temps pour ne pas m’aplatir. Mon visage est à quelque centimètre du siens, je sens mon visage chauffer mais je m'enfiche. Je le regarde dans les yeux et oublie tout ce que je voulais lui demander. Plus rien n'existe à par ces yeux bleu foncé. Il ne bouge pas alors qu'il pourrai très bien partir. Une porte s’ouvre non loin de moi et c'est alors que Quatre se redresse d'un coup. Il me tend la main pour que je me relève à mon tours et je la prend. Il la garde un petit moment puis me lâche. Eric passe devant nous et me fusil du regard une dernière fois, Peter sur le dos. Nous rentrâmes par le train et pendant que les autres rentres dans le dortoir je reste près du précipice où la veille j'ai faillit être violer et où j'ai tenté de me suicider. Quatre est là, dans mon dos. Je sens sa présence je n'ai même pas besoin de me retourner pour savoir qu'il est là.

-Tu comptes une nouvelle fois sauter ? Me demande t-il, tendu.

-Non, dis-je. Demain c'est le jour des visites. Tu croix qu'il sera là ?

-Je ne sais pas, dit-il.

Il s’assied à coter de moi, les pieds dans le vide. Je lui prend la main et le regarde.

-Tu n'es pas obliger d'être là, dis-je.

-Te savoir seul, aussi près du vide, me rend nerveux. Avoue t-il.

-Je te suis reconnaissante de tout ce que tu fais pour moi, dis-je.

-Vraiment ? On aurai pas dit dans le train.

Je sourie.

-Dans le train... J'ai cru que tu avais  pitié de moi, dis-je. Mais je sais que c'est stupide. Tu es le seul qui n'as pas pitiez de moi ici. Enfin le seul avec Eric! Mais je ne croix pas que lui se soucie de moi!

-Non, en effet. Je dirai même plutôt l'inverse.

-Quatre ? Je ne sais pas si c'est une bonne chose mais j'ai confiance en toi. Tu es la seul personne ici, en qui j'ai confiance... Alors si jamais tu te joue de moi... Je t'en pris, dit le moi maintenant!

-Et Tobias ? demande calmement Quatre.

-C'est différent, dis-je en notant toute fois qu'il avait éluder ma question.

-Comment ça ?

-Tobias c'est... Mon alter ego, dis-je. Il a vécu une partie de mon histoire, c'est pourquoi je peux le comprendre et le soutenir mais c’était présomptueux de pensé que c'était mon ami. De plus je ne sais pas ce qu'il est devenu, ni même ce que je suis pour lui. Je sais juste que toi tu es là et pas lui.

-Tu devrais aller dormir, me dit-il.

-Même si je le voudrai je n'y arriverai pas, lui souris-je. Je ne peu pas dormir alors que trois d'entre eux on...

-Je ne parlais pas du dortoir, dit Quatre.

-Où alors ?

-J'ai mit un matelas dans ma chambre... Si sa te convient.

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