une chaude journée d'été
Chapitre 1 : une chaude journée d'été
3011 mots, Catégorie: M
Dernière mise à jour 20/05/2020 00:37
C'était une chaude après-midi d'été. Le soleil brillait haut dans un ciel dépourvu de nuage, au-dessus de la ville de Satan City. Dans une chambre d'une immense maison en forme de demi-sphère, une femme se regardait dans un miroir sur pied. Elle avait visage rond, harmonieux et d'une grande beauté. Il était entouré de cheveux bleus, coupé court. Deux grand yeux, bleu également, surmontait un petit nez fin et une bouche aux lèvres pulpeuses et bien dessiner. Elle était de taille moyenne avec son corps ferme et muscler pour son âge. Une poitrine et des fesses généreuses le mettait particulièrement en valeur et attirait souvent le regard des gens, qu'il soit homme ou femme...
Elle portait un bikini rouge, qui moulait parfaitement ces formes. Le haut se nouant dans le coup et dans le dos, tandis que le bas s’attachait de chaque côté, au niveau de ses hanches.
La femme se regarda une dernière fois dans le miroir puis sourit. Ce nouveau maillot de bain lui allait à merveille. En même temps, vu le prix qu'elle avait payé, il avait plutôt intérêt...
Elle se détourna, prit ses lunettess de soleil, qu'elle posa sur sa tête, et sortit de sa chambre. Elle longea le long couloir de l'étage où se trouvaient les chambres de sa famille et de ses amis, puis descendit l'escalier qui l'amena au rez-de-chaussée. Elle se retrouva alors dans un vaste espace circulaire, d'où partaient plusieurs portes en verre, chacune menant à un espace différent de la maison.
Elle tourna à gauche, passa sous une arche et arriva dans une grande cuisine aménagée. Quatre grandes fenêtres, et une baie vitrée, laissait entrer la lumière du jour et illuminaient la pièce. À ça droite un grand plan de travail en marbre gris occupait une bonne partie de l'espace. Un petit robot humanoïde le nettoyait tranquillement.
- Bonjour Madame, dit-il en voyant la femme entré.
- Bonjour Rodney. Lui répondit-elle en passant devant lui avec un sourire.
Elle se dirigea vers la baie vitrée et sortit sur une grande terrasse en pierre blanche. Elle plissa les yeux, le soleil se reflétant sur les pierres l'aveuglait. Elle tâtonna sur sa tête à la recherche des ses lunettes, et, une fois qu'elle est eu en main, les posa sur ses yeux. Elle pouvait de nouveau voir ce qu'il l'entourait. Devant-elle se trouvaient trois petites tables de jardin en bois circulaire avec deux chaises chacune et un parasol en leur centre. Un peut plus loin deux bains de soleil était posée côte à côte. Une petite table, en bois également, était installer entre les deux. La femme se dirigea vers le plus proche et s'allongea dessus. Le soleil réchauffait agréablement chaque parcelle de son corps et elle soupira d'aise en fermant les yeux. Cela faisait tellement du bien. Un peut plus loin, dans le jardin, des oiseaux chantaient, installer tranquillement sur des branches d'un palmier. Tout était calme et serein. Même les bruits de la ville étaient atténués.
Une ombre se forma alors au-dessus d'elle, et elle entendit une voix d'homme prononcer :
qu'est-ce que tu fait ?
Elle ouvrit un œil et grogna intérieurement. Un visage très familier était penché juste au-dessus du sien. De forme triangulaire, avec une bouche et un nez fin, de petits yeux noirs surmonter sourcil épais, continuellement froncer, ce qui donnait l’impression que l'homme était énervé en permanence. Ça plus grande caractéristique venait de ces cheveux noirs dressés sur sa tête en pique, comme une flamme.
Bulma Brief soupira et enleva ces lunettes
- Je prends le soleil, Végéta, cela ne se voit pas .
- Dans cette tenue ? Grimaça-t-il en jetant un regard noir à son maillot de bain
- Oui, c'est plus pratique si je veux bronzer
- Pfff, pesta l'homme en croisant les bras sur sa poitrine. Et bien rhabilles-toi, la salle de gravité à problème. Il faut que tu le répares
- Ah bon ? Quoi ? Demanda Bulma en se redressant sur ces coudes. Végéta ne répondit rien et regarda ailleurs. Bon, Ba, c'est que ça doit pas être si grave que ça. Je verrais ça demain, ou dans la soirée. Continua-t-elle en se rallongeant.
- Non ! Cria-t-il alors. Ça peut pas attendre. J'ai besoin de m’entraîner maintenant !
- Et bien entraînes-toi dehors, ou avec ton fils. Proposa la femme, bien décider à ne pas bouger de son transat Il ne va pas tarder à rentrer de l'école.
- Ce n'est pas pareil, grommela-t-il. J'ai besoin de la salle de gravité maintenant !
- Et moi j'ai besoin de prendre le soleil. Rétorqua-t-elle sur un ton dur, en tournant la tête vers lui
Ils se fusillèrent un moment du regard, puis Végéta se retourna en grommelant. Bulma le regarda s'éloigner, le regard noir. Quand il eut disparu à l'intérieur de la maison, elle souffla et retourna sa tête vers le soleil en fermant les yeux. Cet homme avait le don l’énervé au plus au point ! Il était si arrogant et ne supportait qu'on lui dise non. « Mais bon, pensa-t-elle, c'est aussi ça que j'apprécie chez lui. Au moins je m'ennuie jamais ».
Plusieurs minutes plus tard une explosion fit trembler toute la maison et le jardin. Bulma se redressa en sursautant. Elle tourna la tête vers l'origine du bruit.
- Qu'est-ce que... ? Se demanda-t-elle en voyant à la fumer sortir d'une des fenêtres ouvertes du rez se chausser. C'était celle qui se trouvait en face de la salle de gravité...
Elle se leva alors d'un bond et se précipita dans la maison. Elle traversa la cuisine en courant, puis tourna à gauche dans le long couloir qui passait juste à côté des escaliers et qui menait à la salle en question. Elle ne s’arrêta que lorsqu’elle fit arriver devant la pièce, la respiration haletante et le coeur battant à tout rompre. Ce qu'elle vit fit accélérer encore plus ses battements.
La porte, qui avait été désencastrée par l'explosion, pendait sur ses gonds et laissait échapper de la fumée noire, qui s’élevait vers le plafond, avant de se faire aspirer par la fenêtre ouverte.
- Végéta ! Cria Bulma inquiète en passant sa tête à travers la porte et regardant dans la pièce.
Il se trouvait un peu plus loin sur sa gauche, debout, vêtu uniquement d'un short assez moulant, les bars croisés sur sa poitrine. Il n'avait pas l'est blessé. A côté de lui une console mécanique fumait et produisait des grésillements, un énorme trou en son centre. Elle soupira de soulagement
- Mais qu'est-ce que tu fais ? Demanda-t-elle en se dirigeant vers lui
- Rien. Grommela Végéta. Je t'avais dit qu'il y avait un problème
- Et moi, je t'avais dit que je m'en occuperais après. Protesta-t-elle en le fusillant du regard. Tu ne pouvais pas attende que je jette un coup d'oeil avant de la démarrer .
Elle poussa un soupiré agacé et se pencha pour examiner la machine. La tôle du milieu était enfoncée jusqu'au sol en ligne droite, et des câbles avaient été arrachés avec elle. Les boutons de commande, qui se trouvaient à cet endroit-là, gisaient sur le sol devant. On aurait dit que l'engin avait été frapper par un roquet ou un missile pile en son centre. Bulma se redressa. « Ou bien par quelqu'un d'assez fort pour enfoncer de la tôle sans problème... pensa-t-elle en se retournant ».
Mais avant qu'elle est pue prononcer un mot, elle sentit des mains lui attraper les bras et la plaquer brusquement contre le mur derrière elle. Des lèvres chaudes vinrent s'écraser sans ménagement sur les siennes. Surprise par le geste, elle ne bougeât pendant quelques secondes, puis rendit son baiser à l'homme qui la tenait toujours fermement .Voyant qu'elle ne le repoussait pas Végéta se colla à elle. Bulma hoqueta de surprise en sentant quelque chose de dur venir cogner contre son bas-ventre et il en profita pour prendre possession de sa bouche. Son baiser était fougueux, passionné, désordonné. Sa langue ravageait sa bouche, et ses dents mordillaient ses lèvres sans ménagement.
Il lâcha les bras de la femme, qui en profita pour les passer autour de son cou, et fit glisser ses mains jusqu'à ses hanches, traçant un chemin de frisson sur sa peau nue. Il l'agrippa et la souleva dans ses bras. Bulma enroula ses jambes autour de ça taille, pressant encore plus son intimité contre la sienne. Végéta laissa échapper un grognement de plaisir.
Il pencha la tête et embrassa la jugulaire de sa femme, la faisant soupirer de plaisir. Il sourit. Il avait appris, au fil des années, qu'elle était particulièrement sensible à cet endroit-là, comme à d'autres endroits d'ailleurs...
Le problème était qu'ils étaient encore dans salle de gravité, avec la porte grande ouverte. N'importe qui, qui passerait dans le couloir, pourrait les voir. Ou les entendre..
- Végéta... haleta Bulma. Arrête...ahh... Quelqu'un... Quelqu'un pourrait nous voir... Mais il ne l'écouta pas et continua de suçoter sa gorge de haut en bas. Laissant une fine marque rouge sur son passage
- Végéta, je suis sérieuse. Dit-elle d'une voix plus ferme. Allons au moins dans une pièce qui ferme à clé...
Le Sayan releva alors la tête vers elle et la fixa du regard. Ses pupilles étaient dilatées au maximum sous l’effet du désir qu'il ressentait, ce qui rendait son regard encore plus noir que d'ordinaire. Bulma se mordit la lèvre inférieure. Dieu que ce regard l’excitait ! Elle sentit une chaleur familière grandir dans son bas-ventre et dut faire appel à toute sa volonté pour ne pas se jeter sur lui, comme il venait de la faire avec elle.
Voyant qu'elle était sérieuse, Végéta grogna, mais de frustration cette fois, et la souleva au-dessus de lui. Il la fit passer sur son épaule comme un sac et entoura sa taille pour la stabiliser. Bulma protesta sous l'effet de la surprise, mais il ne l'écouta pas et sortit de la salle en courant.
Dix secondes plus elle entendit une porte claquée derrière elle, et Végéta la posa par terre en face de lui. Elle pencha légèrement la tête sur le côté, et vit qu'ils étaient dans leur chambre. Elle reporta son regard sur lui. Ici au moins il serait tranquille.
- C'est mieux là ? rotesta-t-il
Pour toute réponse la femme aux cheveux bleus planta son regard dans le sien, passa une main derrière son cou, une autre dans son dos, et défit les deux nœuds qui retenaient le haut son maillot de bain. Celui-ci tomba par terre sans faire de bruit.
Végéta la contempla quelques secondes, avant de se jeter sur elle, encore une fois. Il lui encercla la nuque d'une main, plaquant son visage aux siens et l'embrassa avec violence. Bulma en eut le souffle couper. De son autres mains il colla leurs deux corps, afin qu'elles comprennent l'urgence de son désir.
Sans se décoller il la mena jusqu'au lit et la fit basculer dessus. Il resta quelques instant debout à la contempler. Dieu qu'elle était belle et follement existante, allongée aux trois quarts nus devant lui, en se mordillant la lèvre inférieure. Elle savait ce que ce geste provoquait en lui, et il se retint à grand peiné de ne pas la prendre toute suite.
Au lieu de ça, il s’allongeât sur elle et embrassa la partie sensible se son coup. Bulma ne put retenir un gémissement de plaisir et ferma les yeux. Il descendit sur sa clavicule, son sternum, sa poitrine. Il la sentait ondulé sous lui, ses mains fourrageant dès ses cheveux.
Ses mouvements et gémissement s'intensifièrent quand il embrassa un de ses seins. Ses lèvres en effleurèrent et taquinèrent la pointe durcie par le désir. L'odeur chaude et douce de son corps l'enveloppa alors, il inhala profondément avant de prendre le mamelon dans sa bouche.
Bulma étouffa d'un cri et ses hanches se soulevèrent instinctivement. Oh mon Dieu oui, songeant-il, quand son sexe effleura le sien. Il lui mordilla les seins pendant de longues minutes, tandis qu'elle se débattait sous lui. Puis il descendit encore plus bas, son ventre plat, son nombril, jusqu’à arriver à la limite de son maillot. Il embrassait chacun partit de ce corps parfait qui lui appartenait. Sans cesser ses caresses, il défit les deux nœuds qui retenaient le mince bout de tissu et le retira. Bulma était à présent complètement nu sous lui, la respiration haletante. Le parfum de sa peau, chauffer par le soleil, et se soupire, l'enivrait.
Elle poussa un petit cri et se cambra, quand elle sentit la langue de Végéta venir caresser la partie la plus intime de son anatomie. Mon Dieu que c'est bon, pensa-t-elle, se mordant la lèvre pour retenir ces gémissements. Elle n'allait pas tenir longtemps à ce rythme...
Végéta avait toujours été un amant hors du commun. Dès leur premier soir, il lui avait fait découvrir des sensations qu'aucun autre homme ne lui avait jamais fait ressentir
- Végéta... Marmonna-t-elle, tandis qu'une vague de plaisir la faisait s'arquer une nouvelle fois.
Il se redressa alors et lui écarta les jambes. Il enleva son short, son caleçon et s'allongea de nouveau sur elle en enfouissant son visage dans le coup. Il mordilla la peau tendre de sa gorge. Son sexe dur se pressa contre celui de Bulma et il sentit ses cuisses se refermer sur ses hanches. Sa respiration s'accéléra et il comprit qu'elle éprouvait un désir aussi ardent que le sien.
Il ne pouvait plus attendre. Il était lui-même au bord de l'explosion. Il fallait qu'ils la possèdent . Maintenant.
La maintenant fermement sous lui de ses deux mains, il pénétra alors en elle d'un puissant coup de rein.
Bulma poussa un cri, où se mêlaient le plaisir et la surprise et elle enfonça ces ongles dans son dos. La maintenant toujours, Végéta entama plusieurs vont et viennent en elle, cherchant à assouvir cette pulsion qui sommeillait en lui depuis qu'il l'avait vu allonger sur la terrasse, son corps magnifique à peine recouvert par le tissu. S'il n'y avait pas eu le risque de se faire voir, il l'aurait prise dehors, sur-le-champ. Il y avait d'ailleurs pensé très fortement
Le visage toujours au creux de son coup, il inspira encore et encore le parfum de sa peau
- Bulma... Murmura-t-il sans même s'en rendre compte
Le corps de Bulma était brûlant, couvert d'une fine couche de sueur, ses hanches bougeant au même rythme dès ses mouvements. Elle libéra alors ses bras de l'emprise de Végéta et prit son visage à deux mains l'attirant vers elle. Elle lui mordit les lèvres, puis insinua le bout de sa langue dans sa bouche.
Ce geste provoqua un élancement de désir chez Végéta et il n'eut plus qu'une envie : se fondre en elle, ne faire qu'un avec ce corps enflammé. Jamais il n'avait connu de femme qui réponde aussi bien à son désir. Il lui ramena les mains au-dessus de la tête et la maintint ainsi, s'enfonçant plus profondément dans la chaleur de son corps. Le rythme de ses mouvements s’accéléra encore, et les gémissements de Bulma s'intensifièrent. Elle enfonça ces ongles dans la chair de ses bras
- Oui... oui... Chuchota-t-elle dans un soupir rauque, sortit du plus profond d'elle-même
Il l'embrassa alors longuement. Ses gémissements se transformèrent en petit cri de plaisir. Un autre cri, puis un long gémissement et des mots sans suite. Elle était proche de la jouissance, tout comme lui. Il accéléra se va et vient puissant, leur faisant glisser tous les deux sur le lit.
C'est alors qu'il sentit le corps de Bulma se tendre sous lui, ses muscles se contractèrent autour de lui, et il s'abandonna dans un long cri rauque, son orgasme provoquant le sien.
Ils restèrent un moment dans cette position, chacun essayant de reprendre son souffle et ses esprits. Végéta roula ensuite sur le côté tandis que Bulma se lovait contre lui, son cerveau toujours embrumé par l'intensité de sa jouissance. Elle sentit qu'il lui caressait doucement les cheveux.
- Végéta ? Demanda-t-elle au bout de plusieurs minutes de silence. Un grognement lui répondit. Avoue que tu as faits exprès de casser le panneau de contrôle de la salle de gravité.
Il ne lui répondit pas, mais sa main s’immobilisa d'un coup. Elle sut qu'elle avait vu juste. Il avait fait exprès d’endommager l'engin afin qu'elle vienne exprès dans la salle où il se trouvait. Elle était même certaine, qu'à la base, il n'y avait aucun problème. Il avait juste se retrouver seul avec elle. Un sourit se dessinèrent sues ses lèvres.
- Tu sais, continua-t-elle, pour la prochaine fois, pas la peine d'être aussi drastique. Si tu as envie de moi, tu n'as qu'à le me dire
Et elle déposa un baiser sur son torse, tandis que les joues de son amant se teintaient de rouge.