Moi, numéro 35...Mariko

Chapitre 1 : Numéro 35

833 mots, Catégorie: T

Dernière mise à jour 01/01/2018 00:53

Je m'appelle Mariko, on m'appelle aussi "numéro 35", aussi loin que je me souvienne j'avais toujours vécue entre ces murs, j'ai apparemment 5 ans.

Selon les scientifiques je suis l’expérience 35, je suis dotée de 35 vecteurs qui ont une portés de 11 mètres,Je suis très pâle j'ai de longs cheveux rose pâle et de grands yeux rose foncée presque rouge. Mais ce que l'on remarque le plus c'est mes deux excroissances, deux cornes qui trônes sur le dessus de ma tête.je suis ce que les scientifique appelle "diclonius" mais selon les gens normaux je suis simplement...un monstre.


J'avais toujours aspirée qu'à une chose; une vie normale avec une famille aimante... n'est ce pas ridicule..? moi ?... aimée ?... et par qui ?...

A cette époque je ne voyais personne. Je portait une casque et des bandages à la tête, pourquoi ? j'ai jamais vraiment cherchée à savoir. Pour moi tout était noir et tout le resterait.

Mais tout les jours j'entendais une voix, une voix douce et calme...comme une maman que je n'aurai jamais...on discutait tout les jours. Une voix réconfortante et apaisante, je l'appelait maman mais je sais qu'elle n'était pas ma maman...

Et puis un jours on m'a fait sortir, elle était là devant moi...cette femme à la voix si douce et attachante, j'ai essayée de marcher vers elle, mais mes faibles jambes croulaient sous mon poids, je tombais sur le sol. Je l'entendais courir vers moi.


-Mariko, ma chérie. Comme tu es maigre.., tu me reconnais ?, reconnais-tu ma voix ? C'est maman.


-Tu..tu es ma maman ?


Comment osait elle se dire être ma maman, cette dame si gentille ? Comment osait elle vouloir me tromper avec sa voix de velours ? Avec cette voix si belle qui retentissais dans ma tête tel une mélodie.

Mon cœur ce serra, comment pouvait elle se présenter en tant que "maman" ? Elle avait dit ceci avec un sourire attendrit et niait et un regard ému. Mais cette preuve de mensonge ne me laissait que de l'amertume, et puis d'un coup c'est comme si je sentait une envie irréfutable de la voir se faire découper, de la voir souffrir, de juste la voir avoir mal...


-Non..tu n'es pas ma maman.


Je vis son visage déformé de douleur quand le haut de son corps se détacha et se fit projeter sur la vitre de la salle scientifique qui vola en éclat. Je me rappelle comme si c'était hier de ce jour.

Mon corps est remplis de bombes donc après cela il m'ont fait exploser le bras, de manière à ce que si je ne les écoutes pas je serait menacée d'explosée.


J'ai du me déplacer en fauteuil roulant depuis ma sortie du laboratoire, mes jambes sont trop faibles.

Si j'ai eu la permission de sortir après 5 ans de cette chambre de métal, c'était pour retrouver mes grandes sœurs et les éliminées. Elles s'appellent Lucy et Nana, mais on les nomment numéro 7 et numéro 9. J'ai rencontrée Silpelit 7, Nana, j'ai beaucoup jouée avec elle, mais c'était même pas amusant elle mourrait trop vite... Et puis j'étais en colère contre elle...elle à osée...se faire des amies.


-Tu n'as pas le droit de te faire des amis, car tu es comme moi !


Et puis j'ai rencontrée quelqu’un que je ne pensais pas rencontre un jour. Une personne que j'avais toujours rêvée de voir....Mon papa.


-Qui es-tu Kurama ? Tu es mon papa ? Oh papa, papa ! J'ai tellement espérée de pouvoir te rencontrer. J'ai toujours vécue dans une pièce sombre et je rêvais de ce jour. J'ai toujours rêvée d'un jour où toi et maman vous me tiendrez la main comme une famille. Et ma maman dirait "Mariko, nous t'aimons tellement" et maintenant que c'est enfin arrivée ? Comptes-tu me laisser encore une fois ? Tu devais prendre soin de moi !! Papa !!


Et puis il y avait cette "numéro 7" qui a osée l'appeler papa, alors qu'elle n'est même pas sa fille.


-Papa ? pourquoi a t-elle le droit de t'appeler papa ? Elle n'est pas ta fille ! Comment tu as pu abandonner ta propre fille ? Ta vrai fille qui a grandit toute seule !!!....Hey, papa, vas-tu être triste si elle meurt ? Si tu sais pas je peux essayer...tu veux bien ?


Papa m'a pris dans ses bras et puis nous avons avancés ensemble, il me portait comme une princesse on aurait dit une rêve. Et puis papa m'a raconté la vie qu'il aurait souhaité avec moi, il m'a raconté maman et puis il s'est excusé et avant que je comprenne je ressentit, un claquement près de mon cœur et papa m'a serré dans ses bras plus encore et nous explosâmes tout deux.


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