Notre amour surpassera l'océan

Chapitre 2 : l'étrange petite fille

14242 mots, Catégorie: T

Dernière mise à jour 10/11/2016 01:24

Chapitre 1 : l’étrange petite fille

Cela faisait maintenant un an que Fairy Tail avait gagné les grands jeux magiques et que des tas de choses avaient fini par ce passé. En un peine un an, la guilde avait drôlement changée, s’il on parle par là des relations au sein de nombreux membre de la guilde. De nombreux couples s’étaient formés et déjà trois mariages avaient été célébrés, et un heureux événement n’allait pas tarder à arriver. De nouveaux mages avaient également rejoins la guilde. On pouvait facilement le dire, la vie des mages au sein de la guilde ne pouvait qu’être que bien heureuse qu’en ces jours.

Mais aujourd’hui en cette journée d’été, la vie d’un des mages allait définitivement changer du tout au tout. Mais pour l’instant, la vie de la guilde allait comme à son train-train habituel. Lucy, Lévy ainsi une des trois nouvelles mages qui s’avère être Yokino Agria, ancienne mage de Saber Tooth discutaient toutes trois d’un livre d’un nouvel auteur qui venait de sortir se faisant servir une boisson dite ’’avec alcool’’ que toute la guilde s’arrachait, surtout Kana et son petit copain du moment Bacchus – c’est fou ce qu’une pincé de sel pouvait tout changer – de temps à autre par l’un des nouveaux membres qui s’avère être Erik alias Cobra d’Oracion Seis. Derrière elles comme d’habitude, la bagarre générale quotidienne se trônait au centre de la salle où s’y était prêté l’un des nouveaux mages plus connu sous le nom de Rogue Chenny. Son compagnon de toujours Sting Youclif était lui trop occupé avec l’une de ses nouvelles conquêtes connu sous le nom de Meldy, elle-même surveillé de très près par son grand frère adoptif connu sous le nom de Jellal Fernandez. La bataille fut quand même vite fait arrêtée par la grande Titania plus connu sous le nom d’Erza Scarlette rebaptisée depuis peu sous le nom d’Erza Fernandez. Elle avait été aidé par Flare – future madame Bixrow pour les intimes – qui bien indifférente pour certaines personnes s’inquiétait tout particulièrement pour la santé de celle qu’elle considérait comme une grande sœur. Et oui, être enceinte de 5 mois et surtout de jumeaux, n’est pas facile tous les jours. Surtout, quand la petite Aska vous suit partout en vous suppliant de bien vouloir de devenir la ‘’grande sœur’’ des nouveaux venues. Au grand étonnement de tous, cela avait été même la jeune femme aux cheveux ardent qui avait mit en pièce ceux qui avait commencé la guerre amicale quotidienne de la guilde, c'est-à-dire Natsu et Grey. Ils avaient tout deux renversés le fraisier d’Erza et le flan de Flare en même temps. Et oui, sœurs de desserts ayant disparus prématurément, elles étaient vouées toutes deux à devenir sœurs de cœur pour toujours, forcément.

Pourtant au grand étonnement de tout le monde et surtout à celui d’une fée aux cheveux bleus, l’un des mages n’avait pas participé à la bagarre générale cette fois-ci. Gajeel Redfox été resté à sa place à dormir comme une masse sur l’une des tables qui se trouvaient le plus à l’ombre. Il revenait tout juste d’une mission assez difficile, même pour lui et Lily réunis. Ils étaient tous deux rentré le matin même.

Depuis qu’il avait apprit que lui-même pouvait être sous l’emprise du mal des transports, Gajeel refusait catégoriquement de monter dans un seul transport. Il avait finalement décidé avec son partenaire Panthère Lily de rejoindre leurs lieux de missions à pied, campant même en chemin si celui là était trop long. Et tout ça soi-disant parce que, cela fait partit de leurs entrainements.

Gajeel était donc là à moitié allonger sur la table qu’il occupait, la tête dans son assiette d’acier qu’il avait commencé à manger trente secondes avant. Sa position bien qu’extravagante et inattendue avait fait rire toutes les mages de la guilde, que ce soit humain ou exeed. Natsu et Grey en premier. Mais rien n’atteignait le mage. Ses ronflements étaient tellement forts et puissants que ce fou rire général ressemblait d’avantage à des battements d’aile de mouche à son oreille. Il avait même fait redoublé les rires de la salle en faisant des grands gestes de la main comme pour éloigné un insecte indésirable. Les pauvres Lévy et Wendy avait même failli mourir étouffé tellement elles s’étaient retenues de rire, trouvant cette facette du dragon très attachantes.

Le fou rire de la salle entière s’arrêta net quand chacun des mages entendirent la grande porte s’ouvrir. A l’entrée, une petite silhouette se tenait. A voir la façon dont elle était coiffée et son sert-tête orné de magnifiques petits coquillages, cela ne pouvait qu’être une jeune fille, surement une enfant. Elle devait avoir dans les sept à neuf ans à peut près. Kinana, étant la plus proche de la porte s’approcha de la jeune enfant, pour l’inviter à rentrer et mieux la détaillé. Se mettant à sa hauteur, elle put mieux la détaillé, c’était une petite fille aux longs cheveux verts foncés éméchés de blanc, deux mèches entourant une petite bouille vraiment adorable, on ne pouvait que fondre pour elle. Elle était habillée d’un haut tube laissant apparaitre son nombril, de brassards à ses poignés et d’une longue jupe argentés à reflet bleuté et doré qui lui faisait comme une longue traine derrière elle. La rendant ainsi très belle et très adulte pour son jeune âge. Seul détail qui faisait défaut à son goût vestimentaire était ses lunettes de soleil violettes à verre noir, lui cachant ainsi son regard. Mais étrangement, malgré ses lunettes, la jeune serveuse ressentit l’intensité de son regard, une intensité qu’elle avait déjà ressentit quelque part, mais où ? Connaissait-elle cette jeune fille, l’avait-elle déjà vue. Kinana avait encore quelque trace de son amnésie, et bien qu’elle soit presque guérie, elle avait encore des flaches d’étranges souvenirs oubliés de son ancienne vie de serpent.

« Kinana : Bonjour, soit la bienvenue dans notre auberge. Tu veux que je fasse quelque chose pour toi, tu es perdue ? Demanda Kinana avec douceur ressentant une espèce d’inquiétude à travers son attitude.»

A la surprise de toute la guilde, la jeune fille ne répondit pas. Elle avait l’air effrayer et semblait avoir un peut de mal à respirer. Était-elle agoraphobe ? Wendy, ayant un mauvais présentiment à propos de la santé de la jeune enfant, rejoignit très vite Kinana, pour vérifier l’état de santé de l’étrange enfant. Elle avait l’air de chercher quelque chose dans l’une des poches de sa longue jupe, qu’elle ne fut pas la surprise des deux jeunes filles quand l’invité sorti un petit inhalateur. C’était donc ça, l’attitude de l’enfant était donc causer par un début de crise d’asthme. Une fois, que l’enfant est prit la bouffé de son médicament, son attitude autrefois stressée disparut pour laissé place à une attitude plus tranquille et enfantine. Elle affichait même un grand sourire d’ange.

« La jeune fille : Veuillez m’excuser de vous avoir inquiéter. Je viens à peine d’arriver dans votre ville et je ne suis pas encore habitué à l’air qui en émane.

Wendy : Tu es sûr que tu vas bien, tu avais l’air d’être proche d’une bonne crise.

La jeune fille : Oui, je sais. Cela m’arrive bien plus souvent que l’on ne peut le croire. J’inquiète souvent ma famille avec cela. Je suis désolé de vous avoir fait peur.

Kinana : Allons, cela n’est pas grave. Et tu vas bien, c’est ce qui compte.

Voix : Que ce passe-t-il donc ici ?

Wendy : Oh, Maitre, bonjour.

Kinana : Cette jeune fille a failli avoir une crise d’asthme.

Maitre : Oh, j’espère que tu n’as aucun mal.

La jeune fille : Non, cela vient de se terminer. N’allez pas vous inquiété.

Maitre : Bien je suis heureux pour toi que tu n’es pas de mal.

Le maitre lui tendit la main dans un geste de bienvenu pour qu’elle puisse la serré. Mais la jeune enfant répondit en faisant une révérence comme celle que l’on faisait dans les familles royales, tout en agrandissant son sourire. Le vieil homme trouva cela étrange n’étant pas habitué à une telle marque de respect. Mais ne répondit pas, et agrandit même son sourire face à celui que lui adressait la jeune enfant.

Maitre : Bien. Je suppose que tu ne dois être pas venu ici pour rien. Surtout que tu as l’air d’avoir fait un long chemin pour venir ici. En quoi puis-je t’aider mon enfant ?

La jeune fille : Excusez-moi, c’est une preuve d’irrespect, mais pourrais-je connaitre votre nom ? Voyez-vous, je dois retrouver quelqu’un et l’un des anciens de mon peuple m’a prédit que j’arriverais à le retrouver si je partais à la recherche d’un vieux sage.

Maitre : Un vieux sage tu dis ?

Kinana : Je ne sais pas si notre maitre peut être le sage dont à parler tes anciens. Mais tu peux être sûr d’une chose. Pour ce qui est de protégé la guilde, il peut faire preuve d’une sagesse hors norme.

Wendy : Et il ne faut pas oublier qu’il fait partit des dix mages saints.

Maitre : Arrêtez toutes les deux, vous allez me faire rougir.

La jeune fille : Oh, vous n’êtes peut-être donc pas, celui que je cherche. Oh, excuser moi de vous avoir déranger.

Maitre : Eh attends, ne pars pas, je connais plein de personne tout aussi sage que moi. Je pourrais peut-être t’aider à la trouver. En, tout cas, je ne sais pas si cela peut t’aider, mais. Je m’appelle Makarov Drayer.

La jeune fille : Makarov Drayer ? Vous avez bien dit Makarov Drayer ?

Maitre : Oui, pourquoi, est-ce que c’est moi que tu cherches ?

La jeune fille : Oh oui, je ne peux vous le dire, cela fait une semaine que je ne cesse de vous chercher.  Je n’ai presque pas mangé ni dormis, juste dans l’espoir de vous trouver.

Maitre Makarov : Oh, à voir l’acharnement que tu as mis à me retrouver, comment refuser de t’aider. Viens donc t’assoir avec moi au bar, m’expliquer tout ça.

La jeune enfant suivit donc le vieux maitre de la guilde. Durant, la discussion, la guilde avait reprit son vacarme quotidien, comme si rien ne s’était passé. Une fois qu’elle fut assise, Mirajane lui apporta un rafraichissement en gratifiant la jeune enfant de l’un de ses merveilleux sourires.

Mirajane : Tiens, voilà de quoi à te rafraichir. C’est une nouvelle recette que je tente en ce moment, tu m’en diras des nouvelles.

La jeune enfant : Quesque c’est ?

Mirajane : Un cocktail de fruit que je pense mettre au menu. Et t’es la première a le testé.

Maitre Makarov : Oh non, pas encore un nouveau cocktail. Depuis qu’on a gagné les grands jeux magiques, t’en invente un toutes les semaines. Tu ferais mieux d’arrêter au bout d’un moment. Déjà que nous perdons suffisamment d’argent avec l’alcool que Kana ingurgite chaque jour, tu ne vas pas t’y mettre aussi avec tes fruits et légumes.

Mirajane : Si, vous ne connaissez donc pas le dicton de la bonne santé. Manger cinq fruits et légumes par jour. Cela m’a été complètement confirmer, pendant le combat que j’ai mené contre Jenny. Ce jour là je n’ai pas été au meilleur de ma forme.

Maitre Makarov : Pas au meilleur de ta forme ! C’était juste un concours de poses ! Il n’y avait rien de sportif et de magique là dedans. Et tu là même gagner !

Mirajane : Peut-être, mais pendant 1/3 l’épreuve, je me suis fais dépassé. C’est donc pour ça que j’ai créé toute cette série de cocktail de fruits et légumes. Surtout celui-là. Il est composé de carottes et de tomates pour la douceur. D’oranges et de pamplemousses pour l’amertume et de citrons pour apporter un peu d’acidité. En plus c’est fait avec amour et les fruits et légumes que mon Friedou adore plus que tout. Il faut bien que je l’essaye.

Maitre Makarov : Quoi, on est des cobayes en faite ?

Mirajane : Oui, un peu il faut l’avoué.

Maitre Makarov : Je n’y crois pas. Depuis que tu t’es marié à Fried, tu es devenu folle.

Mirajane : Eh ! Je suis peut-être folle ! Mais au moins c'est une folie douce ! Celle de l'amour !

Maitre Makarov : Et voilà, elle recommence à délirer !

L'étrange enfant : Heu, excusez-moi, pourrions-nous reprendre là où on s'était arrêté s'il vous plaît ? Voyez-vous je n'ai que peu de temps pour ramener cette personne importante !

Maitre Makarov : Oh oui, excuse moi. Bon qui viens-tu chercher ?

La jeune fille : Je viens chercher mon grand frère.

Maitre Makarov : Ton grand frère. Je vois, bon on moins on peut éliminer les filles de la liste des recherches. Mais nous n’avons pas encore finit, il des centaines d’hommes ici, qui pourrait être ton frère. Enfin, on peu déjà enlevé Elfman. Il est le frère de Mirajane et Lisanna. Ainsi que Roméo, je suis allé le voir à la clinique sur invitation de Macao quand il est né. N’aurais-tu pas une lacrima (mot de l’auteur : photo) le représentant ?

La jeune fille : Une lacri…quoi ?

Mirajane : Un lacrima, une image quoi.

La jeune fille : Désolé, je ne vois de quoi vous voulez parler.

Maitre Makarov : Tu ne connais donc pas ce mot ?

La jeune fille : Non, je viens d’un autre pays s’il on peu dire. Et on ne ce sert pas de cela chez nous mon peuple et moi. A moins, que vous ne parleriez de cela.

La jeune fille sortit alors un coquillage, contrairement à ceux qui étaient fixé à son sert-tête, il était plus petit et dégageait une étrange énergie. De la magie ? Cela y ressemblait, mais il y avait une différence.

Mirajane : Un coquillage ?

Maitre Makarov : Tu sais, c’est gentil, mais. Je ne crois pas que je vais t’aidé avec ceci.

La jeune fille : Si, vous ne sentez donc pas l’aura ?

Mirajane : L’aura ?

Maitre Makarov : C’est l’un des noms fondateur de la magie de l’eau et d’illusion. Mais j’ignorais qu’on utilisait encore ce terme aujourd’hui, c’est très rare.

La jeune fille : Pourtant moi et mon peuple, nous l’avons toujours appelé ainsi.

Maitre Makarov : Bof, chacun ses cultures. Bon sinon, que veux-tu que je fasse avec ceci ?

La jeune fille : Ben que vous m’aidiez à retrouvé mon frère. D’après l’ancien qui m’a conseillé, vous pourrez peut-être le retrouvé grâce à mon aura. Celle de mon frère et la mienne devrait être assez semblable normalement.

Mirajane : Oui, mais malheureusement, cela ne pourrait peut-être pas être très concluent.

La jeune fille : Pourquoi ?

Mirajane : La seule personne à pouvoir pratiqué la magie de l’eau ici est une femme. Et malheureusement, nous n’avons pas de mages qui contrôlent la magie d’illusion dans cette guilde.

La Jeune fille : Quoi ? Ce n’est pas vrai, vous mentez !

Mirajane : Malheureusement non.

 Maitre Makarov : Nous ne mentons pas.

La jeune fille : Mais Grand-père avait pourtant dis.

Maitre Makarov : Ton Grand-père ?

La jeune fille : Oui, c’est l’ancien qui m’a prédit que je retrouverais. Il a des dons divinatoires en même temps que l’aura qu’il contrôle, et jusqu’ici, toutes ses prémonitions s’avéraient exactes.

Mirajane : Ton grand-père a des dons divinatoires ?

La jeune fille : Oui, ses dons étaient connus à travers le pays tout entier. Mais depuis la découverte de sa maladie. Tout mon peuple le prend pour un fou.

Mirajane : Fou, comment-ça fou ?

La jeune fille : Oui, d’après mon père, il était partit à la recherche de mon frère. Cela faisait un peu près de 9 ans qu’il avait disparut. Tous le monde, le peuple comme mon père et ma mère s’était résigné et avais déclaré mon grand-frère mort. Mais contrairement à mes parents, mon Grand-père n’avait pas cessé ses recherches, sentant qu’il pouvait être encore vie. Il partait très souvent et ses voyages duraient parfois plusieurs mois. Ma mère en fut la plus touché à un point tel qu’elle en tomba malade. Elle ne voulait pas se séparé de lui, après tout, c’était son père. Et surtout parce qu’il lui rappelait sans cesse mon frère. D’après mon père, ils avaient tous les deux le même rire. Mon grand père lui aurait transmit, à force d’être son compagnon de jeu. Moi, je n’ais pas eu cette chance, car bien que son rire soit étrange, il est très communicatif.

Maitre Makarov : Et qu’est ce qu’il l’a fait devenir fou ?

La jeune fille : Oh, et ben. C’est assez difficile à dire.

Mirajane (aura noire) : Maitre ! Vous ne voyez pas que vous faites souffrir cette enfant en posant cette question !

Maitre Makarov : Eh ! Ce n’est pas ma faute ! J’essaye juste de récupéré des infos moi !

La jeune fille : Ce n’est pas de votre faute vous savez, c’est juste que c’est un peu compliqué et que je ne connais pas toute l’histoire. Mon père s’est toujours abstenu de me la raconté.

Maitre Makarov : Tu peux nous racontés tout ce que tu sais, on fera avec.

 Mirajane : Tu peux nous faire confiance.

La jeune fille : D’après le peu d’information que j’ai pus récupéré auprès de mon père et des anciens. Mon grand-père serait devenu fou au retour d’un de ses voyages. Il avait dit avoir retrouvé mon frère. Vous devez donc imaginé, l’élan de joie que sa nouvelle a procurée à mon peuple. Mais quand il raconta ce qu’il a vu à mon père, ma mère et les anciens, tout le monde le déclara fou. Il avait dit qu’il avait vue mon frère en compagnie d’une espèce d’animal qui devrait exister que dans l’esprit des jeunes enfants. Et encore, les plus perturbés. Pour être sûr de ses dires, nous lui avons fait passé une série d’examen et au cours de l’un d’eux. Le médecin qui s’occupait de mes parents finit par découvrir qu’il avait une tumeur au cerveau, ce qu’il le faisait devenir fou. Cette tumeur étant trop grande, l’opéré l’aurait sans aucun doute mené à la mort, mais malgré sa grandeur, il était possible pour lui de resté en vie si on lui administrait un médicament tous les jours. Ma mère refusa à ce qu’on l’opère de peur de le perdre lui et le seul souvenir encore vivant qu’elle avait de mon frère, son rire. Et cela, malgré les arguments des médecins et mon père. Finalement, mon grand-père ne se fit pas opéré, le faisant devenir de plus en plus fou au fil des jours. Malheureusement, bien qu’il soit vivant, ma mère ne fit que désespéré jours après jours, sachant très bien l’erreur qu’elle avait commise. Cela aggrava sa maladie, à un tel point qu’elle ne put plus sortir de sa chambre. Et pour finir, elle mourra en me donnant la vie. Dans ses dernières paroles, elle demanda à mon père de ne pas arrêté le traitement de grand-père, au moins, le temps qu’il puisse me connaitre. Mon père accepta. Je fis donc sa connaissance, et je finis par passés mes 3 premières années auprès de lui. Mon père essaya nombre de fois d’arrêté son traitement, mais j’arrivais toujours à l’empêcher et de remettre la chose à plus tard. Malheureusement, mon père est mort, il y a un mois maintenant alors qu’il combattait pour défendre mon peuple. Et maintenant, ma tutrice ne vas pas tardée à arrêté le traitement, normalement, c’est dans quatre jours qu’on lui administra sa dernière dose. Si, on fait cela, il ne pourra pas tenir plus de trois jours. Ma tutrice, ne voulant pas m’écouter, j’ai décidé d’allé à la recherche de mon frère, afin de prouvé que mon grand-père n’est pas fou. Je sais que cela peut-être dangeureux et que je suis trop jeune. Je n’ais que 8 ans et demi. Mais je fais cela pour prouvé que mon grand-père n’est pas fou. Et surtout tenté de retrouvé un membre de ma famille que j’ai toujours eu envie de connaitre, et par la même occasion, essayé de sauvé le dernier membre de ma famille qu’il me reste. Je n’ai personne d’autre à par lui, et pour moi qui n’est pas eu de mère, la famille est extrêmement important.

Maitre Makarov : Quel courage à ton âge, tu m’impressionnes. Malheureusement, bien que ton courage soit à mon avis l’une de tes plus grandes qualités, tu as quand même fait preuve d’immaturité en venant ici, et je suppose que tu n’as pas dus prévenir quelqu’un de ton départ soudain n’est-ce pas ? Est-ce que tu pense aux personnes qui t’entoure et à ta tutrice ? Ils doivent surement s’inquiétés pour toi en ce moment.

La jeune fille : Je sais j’y ais pensé avant de partir, et cela durant un mois entier. Je sais que mes amis doivent plus que tous s’inquiéter pour moi. Mais pour ma tutrice, c’est autre chose, je ne suis qu’un accessoire de boulot, un moyen de rapporter de l’argent et la vie de mon grand-père et son médicament sont des achats trop chers et inutiles contrairement aux millions qu’elle dépense pour ses achats vestimentaires et de compagnies. Pour moi, l’argent n’est que chose futile tant que j’ai ma famille, alors je ne vais pas laisser partir la dernière personne qui me reste si cette personne qui hante ses rêves à cause de sa folie n’existe pas ! C’est pour cela que je suis ici, c’est pour défendre mes convictions que mon père et mon grand-père m’ont appris, celle de la camaraderie et de la famille.

Mirajane : Waouh !

Maitre Makarov : Finalement, je me suis trompé sur l’un de mes sujets, pour ce qui est la notion de la camaraderie et de la famille. Et la je ne peux que te respecté sur ce point la ainsi que ton défunt père et ton grand-père.   

Mirajane : Et crois-moi, je suis celle qui est la plus touchée. Vois-tu, moi aussi, j’ai perdu quelqu’un quand j’étais plus jeune. Je croyais que ma sœur était morte, avant que Natsu, Grey, Erza, Lucy, Wendy, Happy, Carla, Lily et Gajeel ne me la ramènent saine et sauve. Je connais ce que tu éprouves, ça tu peux en être sûr.

La jeune fille : Attendez ! Quelles sont les personnes qui ont ramené votre sœur.

Mirajane : Quoi, mais pourquoi ?

La jeune fille : L’un des noms me dit quelque chose ! Redites-moi leur nom s’il vous plait !

Mirajane : Ben, il y avait Natsu, Grey, Erza…

La jeune fille : Non, le dernier que vous aviez dit !

Maitre Makarov : Quoi, Gajeel ?

La jeune fille : Oui, c’est ça ! Dites, c’est un homme ou une femme qui porte ce nom ?

Mirajane : Ben un homme qu’est ce que tu crois, ce n’est pas un nom qui conviendrait aux jeunes filles que je sache. Surtout quand on voit le propriétaire.

La jeune fille : Ah bon, moi je trouve que cela conviendrait parfaitement à une jeune fille.

Mirajane : Ah bon tu trouves.

Mirajane s’imagine alors, portant le nom du dragon slayer. Elle s’imagine monté sur scène avec un nom pareille, pas mal. Cela fait même pop star, trop cool ! Elle s’imagine ensuite en train de servir dans la guilde avec ce nom. Non trop gênant ! Ensuite, elle alla jusqu’à s’imaginé chez elle. Se réveillant après une bonne nuit de sommeil, descendant dans la cuisine afin de voir ce que Fried à cuisiné pour le petit-déjeuner comme chaque jour. Il se tourne soudain vers elle, avec un sourire remplit d’amour comme chaque matin et tout d’un coup dit « Bonjour Gajeel, mon amour. Bien dormit ? »

Mirajane (les yeux en spirale avec de la fumée qu’il lui sort de la tête) : Oh non, ce n’est pas possible. Je ne porterais jamais un prénom aussi horrible ! Hors de question à ce que j’appelle ma fille comme ça, du moins, si j’en ais une. Quelle honte ce serais pour elle et pour moi !

Maitre Makarov : En même temps, notre invité vient d’un autre pays. Et comme je l’ai déjà dis, à chacun ses cultures.

La jeune fille : Vous être sûr que tout va bien, elle a l’air un peu bizarre.

Maitre Makarov : Oui, ne t’inquiètes pas, elle délire un peu c’est tout. Cela lui arrive quelques fois, elle redeviendra comme avant dans quelques secondes, tu vas voir.

Mirajane (redevenant normale comme si rien ne s’était passé) : Oui, Cana, je t’apporte tout de suite ta commande ! Cobra, tu peux t’occupé de la commande d’Happy, si tu n’es pas débordé avec tes cocktails ? Merci d’avance !

Cobra : Oui, tout de suite ! Eh Elfman, Fried, les saumons sont prêts ?

Fried : Ils arrivent tous de suite !

Elfman : C’est Happy qui va être content ! Ca c’est un homme !

Fried : Ce n’est pas un chat plutôt ! Vraiment, Je me demande comment Evergreen arrive à te supporté. Au bout d’un moment, c’est complètement lassant.

Elfman : Ever est la femme d’un vrai homme, elle a finit pas s’y habitué.

Fried : Continue de cuisiner au lieu de dire des âneries.

Maitre Makarov : Tu vois.

La jeune fille : Waouh ! Trop bizarre !

Maitre Makarov : Eh oui, c’est comme ça à Fairy Tail. Bon dis-moi plutôt, pourquoi le nom de Gajeel te dis quelque chose ?

La jeune fille : Oh oui, pardonné moi. En faite, le nom de cet homme, c’est bien un homme n’est-ce pas ? Ressemble assez au nom de mon Grand-frère. Il s’appelle Ganjiru.

Maitre Makarov : Ganjiru tu dis. Il est vrai que ca ressemble un peu.

Fried : Cobra, saumon pour la 17 !

Cobra : Ok, j’envoie !

La jeune fille : Attendez, saumon. Ferdinand, c’est toi ? Mais oui, c’est toi ! Ferdinand attends !

Elfman (avec des yeux ronds comme des soucoupes) : C’est qui le Ferdinand qu’elle appelle là ?

Fried (avec des yeux ronds comme des soucoupes) : Elle a peut-être pris Cobra pour quelqu’un d’autre, elle le suit.

 Maitre Makarov (avec des yeux ronds comme des soucoupes) : Non, je ne pense pas que ce soit ça.

Fried, Elfman et Maitre Makarov : Elle est folle cette fille !

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On remonte un peu dans le temps. Ce que le Maitre et la jeune fille ne savait pas c’est que l’un des mages avait ressentit l'étrange énergie du coquillage. Gajeel, s’était réveillé et avait levé la tête de son assiette. Il tournait sa tête dans tous les sens, comme s’il était à la recherche de quelque chose. Il cherchait quelque chose ça c’est sur. Il sentait ou plutôt ressentait quelque chose. Quelque chose qu’il n’avait jamais ressentit avant, et qui pourtant qui lui paressait étrangement familier. Il fut arrêté dans ses recherches par Panther Lily.

Lily : Et bien, l’ours a enfin décidé de se réveillé on dirait.

Voix (en train de rire) : L’ours ? Trop cool ta blague, Lily !

Voix : Happy, Lector ! Arrêtez tous les deux, ce n’est pas convenable de se moquer de quelqu’un !

Lector : Arrêtes Carla. Ne me dis pas que tu n’as pas explosé de rire tout à l’heure.

Voix : Fro pense la même chose.

Carla : Oh Froch, ne va pas t’y mettre aussi hein. Tu es une jeune fille maintenant (je ne sais pas vous, mais pour moi, Froch est une fille), et en tant que telle, tu dois bien te conduire maintenant.

Happy : Aller Carla, défroisses-toi un peu. Je suis sûr, que toi aussi tu as ris de cette situation.

Froch : Fro pense la même chose.

Carla : Bon, il est vrai que cette situation était amusante et très adorable à voir.

Happy : Très adorable, je ne dirais pas ça.

Lector : Si, mais pour cela faut comparer le gros ours à un ours en peluche qui dort.

Happy : Ha oui, tu as raison.

Froch : Fro pense la même chose.

Gajeel : De quoi ils causent là ?

Lily : Laisse, ce ne sont que des gosses.

Gajeel : Lily, ne me cache rien ! Je sais qu’ils parlent d’un truc à propos de moi, alors ne mens pas !

Lily : Mais il ne cause de rien j’te dis, contrairement à moi qui suis plus vieux qu’eux, ce ne sont que des gosses qui causes de trucs de gosses.

Gajeel (étranglant son chat) : A bon t’es sûr ?

Lily : Ok, ok, j’vais te le dire ! Relâches-moi, bordel !

Gajeel : Ben, ne voilà rien de plus simple ! Bon de quoi qu’ils causent les cinq autres là ?

Lily : Ils parlent du fait que tu te sois endormie dans ton assiette. T’as fais rire tout le monde dans la guilde.

Gajeel : Quoi ? J’me suis endormie dans mon assiette ! Oh la honte !

Lily : Et t’as pas fais que ça mon grand. Ca je peux te l’assurer.

Gajeel : Quoi, j’ai fais quoi d’autre !

Lily : Durant, que tu dormais, tu as fais un geste assez spéciale, si on peut dire. Tu bougeais ton bras comme pour chassez un insecte ou je ne sais quoi. Surement parce qu’il y avait trop de bruit.

Gajeel : A c’était donc ça, je croyais que c’était un moustique. Mais de quoi je cause là ! Ce n’est pas qu’une simple honte, ça ! C’est une honte qui coûte triple ! J’espère que tu ne t’es pas marré toi.

Lily : Quoi, tu m’as bien regardé ! Je suis désolé, mais je suis un ancien commandant et je ne me moque jamais de mes partenaires ou coéquipiers !

Lector : Oh le Menteur ! T’as pas arrêté de rire !

Happy : Tu étais tellement explosé de rire que tu t’es même transformé sous ta forme de combat, tellement que tu ne contrôlais plus rien. Tu as même failli détruire le parquet tellement tu le frappais fort avec ton point. Ah bah, non t’as pas faillit, tu as carrément détruit deux lames de parquet regarde !

Carla : Il faut quand même saluer la force avec laquelle il a tenté de résister au rire. Il s’est même mordu la queue pour cela et c’est peu dire.

Froch : Fro pense la même chose. Et elle trouve cela mignon.

Lily : Ah bon, tu m’as trouvé mignon ? Je peux le refaire si tu veux.

Gajeel : Lily !

Lily : Et merde, c’est très mauvais pour moi !

Gajeel : Lily reviens ! Je vais te faire la peau !

Lily : Gajeel, calme-toi !

Ainsi commença une course poursuite entre le dragon slayer et l’exeed à travers toute la guilde.

Carla : Tient, Lily a réagit d’une façon bien étrange au compliment de Froch, vous ne trouvez pas ?

Lector : Oh oui, il y a anguille sous roche sur cette affaire. Ca c’est sûr.

Happy : C’est beau l’amourrrrr !

Lily : Hé, t’es fou Happy ! Suis pas amoureux de Froch !

Carla : C’est ça, à d’autre.

Froch : Hihi.

Lily : Oh ! J’ai fais rire Froch ! Trop chouette !

Gajeel : Eh Lily, j’en ais pas fini avec toi !

Lily : Bordel, je l’ai oublié celui-là !

Voix : Qu’est-ce qui se passe encore là ?

Froch : Oh, Cobra.

Cobra : C’est quoi le sujet de cette nouvelle bagarre cette fois ?

Carla : Une dispute entre un exeed et un dragon slayer. Rien de plus normal dans cette guilde.

Happy : Tu devrais déjà être au courant, toi qui entends tout.

Froch : Fro pense la même chose.

Cobra : Oui, mais j’avais la tête ailleurs. Cela n’en a peut-être pas l’air, mais faire des cocktails demande beaucoup de concentration.

Lector (pense) : Oh le bourrin, et il se dit dragon slayer en plus.

Cobra : Eh ! Bourrin toi-même oui !

Lector : Oh, il m’a entendu l’autre !

Carla : Bien fait pour toi. Je t’avais dis que cela est peu convenable de se moquer des autres.

Cobra : Bon sinon, voici la commande.

Happy : Miam du saumon, cela fait longtemps que j’en ai pas mangé. Merci Cobra !

Cobra : C’est rien, je savais que t’en voulais, alors j’ai cherché.

Happy : Oh Cobra, toi et ton super audition, je vous adore !

Cobra : De rien. (Chuchote à l’oreille d’Happy) Et si tu veux mon avis, Carla te tombera plus facilement dans les pattes si tu lui offre des fleurs plutôt que du poisson. Cela la crispera moins.

Happy : Cobra ! Ca va pas d’espionné mes pensés comme ça. Que ce soit pour du poisson d’accord, mais il y a des choses privée que l’on ne doit pas voir ou écouté !

Cobra : Oui, oui. Je disais cela juste pour t’aider, rien de plus ! Et t’avais pas à pensé tellement fort !

Happy : Ouais ! Ben va plutôt aider Kinana à guérir ce qu’il lui reste d’amnésie au lieu d’écouter les pensées secrètes des autres !

Carla : Happy. Ca ne va pas de dire des choses de ce genre !

Lector : Ouais ! Faut lui apprendre le respect à ce chat galleux.

Froch : Fro pense la même chose !

Lily : Oui, entre membre d’une même guilde, on ne se cause pas comme ça !

Gajeel : Lily revient tout de suite !

Lily : Merde ! Il n’a pas encore lâché l’affaire !

Happy : Je m’en fiche je dis ce que je veux ! (Happy pense) Sale voyeur de mes deux !

Cobra : Ne me traite pas de voyeur !

La jeune fille : Eh, Ferdinand, attent ! Pourquoi tu ne me parle pas ? Tu ne me reconnais donc pas.

Lector : C’est qui celle là ?

Carla : On dirait la petite fille de tout à l’heure non ?

Cobra : Qu’est-ce que tu fais là ? Je croyais que tu parlais avec Makarov.

La jeune fille : Oui, je parlais avec lui, mais j’ai vue que Ferdinand était avec toi et comme je ne l’ais pas vue depuis un moment, je me suis dis que je pouvais venir le saluer.

Lector : Ferdinand ?

Happy : C’est qui ?

La jeune fille : C’est le saumon du milieu. Je le connais depuis que je suis toute petite.

Cobra : Tu…le…connais ?

La jeune fille : Oui !

Happy (chuchote à l’oreille de Lector) : Elle est folle cette fille !

Lector (chuchote à l’oreille d’Happy) : M’en parle pas, elle est complètement cinglé !

Froch (chuchote) : Fro pense la même chose.

Carla (pense) : Cobra, rassure-moi, ce sont des saumons d’élevage n’est-ce pas ?

Cobra : Pourquoi ?

Carla (pense) : Ben si ce ‘’Ferdinand’’ était un poisson d’élevage, et qu’elle dit le connaitre. Peut-être, qu’elle habite dans un élevage et n’était pas mise au courant que par la suite on les vendait pour en faire de la nourriture. On pourrait donc lui expliquer.

Cobra : Ben, j’aimerais bien. Mais malheureusement, ces saumons sont tous frais péché de ce matin.

Carla (pense) : Donc les chats mâles et Froch ont raison. Elle est définitivement folle.

Cobra et Carla : Oui définitivement.

La jeune fille (soupir) : Pourquoi, il ne me parle pas ? C’est nul.

Cobra (essayant de se montrer rassurant) : Heu ! Il est…peut-être…en train de dormir, tu sais. Mais pour un sommeil très long.

Carla (pense) : Cobra !

Cobra : Quoi, je ne savais pas quoi dire d’autre ! Alors excuse-moi !

La jeune fille : Mais oui c’est vrai. Il fait souvent des insomnies, alors cela doit être normal, il n’arrête pas de dormir en ce moment.

Happy : Normal ou pas je m’en fiche ! En tout cas il a l’air délicieux.

Cobra et Carla : Non Happy ! Non !

La jeune fille : Il est vrai qu’il est délicieux. Toujours souriant et toujours le mot pour rire ! Un vrai poisson clown !

Happy (s’imaginant une image de poisson clown [autrement dit, un poisson avec un maquillage de clown] puis rit) : Eh, trop drôle ton truc ! T’as de l’imagination toi, tu devrais devenir humoriste.

Cobra et Carla (pense) : Il ne sait pas qu’un poisson clown est un vrai poisson !

Happy : Bon ce n’est pas tout ça, mais le repas est prêt et je vais me régaler !

La jeune fille : Ah bon, qu’est ce que tu vas manger ?

Happy : Ben, du poisson. T’es bête ou quoi ?

Carla : Happy ! Ton langage !

La jeune fille (en train de rire) : Manger du poisson ! Elle est bonne celle-là ! Tu l’as trouvé où ?

Lector : Ok, définitivement, elle est cinglée !

Froch : Fro pense la même chose.

Happy : Attends ! Comment ça je l’ai trouvé où ?

La jeune fille : On ne mange pas de poisson voyons ! Ce serait faire preuve d’irrespect et d’irresponsabilité, surtout que nous ne sommes pas leurs prédateurs.

Lector : Ok, cette fille n’est pas cinglée ! Elle est végétarienne !

Froch : Fro pense la même chose.

Cobra et Carla : C’est vrai que vue comme ça !

Happy : Heu, je vais réellement manger ce poisson.

La jeune fille : Attends, ne raconte plus cette blague ! Là ce n’est plus drôle du tout !

Happy : Mais je ne rigole pas ! Tient regarde, je vais manger ces trois beaux poisson juste devant toi.

Cobra et Carla : Happy ! Non !

Happy, prit donc un des trois poissons. Et comme pour remué le couteau dans la plaie, il prit celui du milieu. Celui que la jeune fille appelait si joyeusement Ferdinand. Mis sa tête dans sa bouche et tira de façon à ce que le corps décroche. Il était là à savourer le bon morceau, alors que la jeune fille était là devant lui apeurée. Elle tremblait de tous son corps et des torrents de larmes coulaient sur ses joues à cause de la peur. Elle en tomba à la renverse et se mit à ramper à reculons pour s’éloigné le plus que possible du chat bleu. Happy, lui ne comprenait rien à l’attitude de la jeune enfant. Et comme si cela ne suffisait pas, il aggrava encore plus la peur de la jeune fille en mettant cette fois le corps du poisson entièrement dans sa bouche qu’il s’empressa d’avalé vite fait ! Il fit de même avec les deux autres poissons qu’il lui restait. Bien sûr Cobra et les exeeds restant lui avaient presque hurlés d’arrêté, voyant parfaitement que le chat bleu ne faisait qu’agrandir encore et encore la peur chez la jeune enfant. Mais l’exeed n’écouta rien et continua à manger son repas. Cobra, voyant l’énorme peur dans les yeux de l’enfant, s’agenouilla devant elle et essaya de la rassurer comme il put. Durant se temps là, Happy se fit passé un sacré savon par Carla. Malheureusement, dès que Cobra s’avançait vers elle, la jeune enfant reculait.

Elle fut ensuite tout simplement et au sens propre du terme envoyer dans les airs par un Gajeel qui n’avait pas arrêté de courser son pauvre exeed depuis. La pauvre enfant tomba très lourdement. Elle vient même à atterrir, complètement évanouit sur la table de Natsu, Lucy, Grey et Jubia. Bien sur, le premier reflexe des mages fut de la secourir. Lucy prêta son foulard à Grey qui le remplit directement de glace avant de poser délicatement sur le front de la jeune enfant, Jubia elle, courra vite prévenir Wendy assise quelque table plus loin avec Roméo, pendant que Natsu insultait ouvertement Gajeel et sa façon de se dirigé. Cela déboucha même sur une bagarre, dont personne ne s’occupa. Tout le monde s’attroupa vite autour la table ou était allonger la pauvre enfant. Makarov finit par mettre fin à la bagarre de Natsu et Gajeel en ne se retenant aucunement d’insulté le dragon slayer d’acier.

Pour que la jeune fille puisse respirer tranquillement, Wendy demanda à Jubia de la prendre et de l’emmené jusqu’à l’infirmerie, ce que la mage d’eau exécuta sans discuté. Une fois à l’infirmerie et avoir déposé délicatement la jeune fille sur un lit, la mage d’eau ferma la porte et pour être certaine que personne ne vienne les déranger elle et Wendy dressa un mûr d’eau de plusieurs kilos contre la porte, étouffant également le bruit extérieur. Wendy pu ainsi commencer à soigné sa patiente. Il ne lui fallu que quelques secondes à Wendy pour la guérir. La jeune fille finit par se réveiller cinq minutes plus tard, et quand elle vue Wendy et Jubia, elle se mit directement à paniquer. D’une telle façon qu’elle finit par tombée de son lit extrêmement effrayé.

Jubia : Eh attends, attends. N’ais pas peur, on ne te fera rien de mal.

Wendy : Jubia, attends. Elle vient de se réveiller, il faut allez doucement avec elle.

Jubia : Oh, oui tu a raison. Jubia n’y avais pas pensé.

La jeune fille (se relevant) : Qui êtes vous ?

Jubia : Du calme, tu n’as pas à avoir peur.

Wendy : Moi c’est Wendy et elle c’est Jubia.

La jeune fille : Vous aussi, vous être des cannibales ?

Wendy : Des Cannibales ?

Jubia : Qu’elle drôle d’idée ! Jubia et Wendy ne sont pas des cannibales tu sais. Personne ici, n’est un cannibale. Tu n’as pas a t’inquiété.

La jeune fille : Pourtant, la chose bleue a mangée Ferdinand.

Jubia : Attends, la chose bleue ?

Wendy : Elle parle peut-être de Happy.

La jeune fille : Je dois y aller. Il faut que je retrouve Makarov Drayer.

Jubia : Non, attends, laisse le temps à Jubia d'enlevé sa barrière d'eau.

La jeune fille (se stoppant) : L'élément roi ?

Jubia (surprit) : Wendy, comment a t'elle appelé la barrière d'eau de Jubia ?

Wendy : Je crois qu'elle l'a appelé l'élément roi pourquoi ?

Jubia : Attends ! S'il te plait ! Explique à Jubia ! Est-ce que tu serais

La jeune fille : Est-ce toi qui contrôle l'élément roi ?

Jubia : Oui, c'est Jubia qui le contrôle.

La jeune fille : Montres-moi !

Jubia fit donc disparaitre la barrière d'eau. La jeune fille en fut des plus étonnées. Elle finit donc par se tournée vers Jubia et lui prit soudainement la main. Wendy trouvait cela bizarre, mais ne dit rien. Tout d'un coup, sans savoir pourquoi, Jubia se mit à rire. Un rire de fou et de dément ! Elle ne contrôlait plus rien jusqu'à enfermé Wendy et tous ceux qui rentraient dans une prison d'eau. Pourtant, aucune des personnes ne manqua la scène. L'eau qui composait le corps de Jubia se dirigeait machinalement sous forme de petites gouttelettes vers la main de la jeune fille. Et tout d'un coup sans prévenir, le corps de la jeune fille se fit inspiré entièrement par le corps de Jubia, faisant tomber les lunettes de soleil de la jeune fille. Sans que personne n'y comprenne quoi de ce soit, tout d'un coup, les yeux de Jubia, habituellement coloré d'un magnifique bleu nuit changèrent de couleur. Ils étaient maintenant violets ou plutôt indigos. Soudainement, le corps de Jubia se mit à marcher tout seul, comme si la mage d'eau ne contrôlait plus rien. Sa voix avait également changé, c'était un parfait mélange entre la voix de la mage d'eau et celle de la jeune fille. Elle ne cessait de dire << Amènes-moi, amènes-moi vers l'élément roi !>>. Elle finit donc par prendre machinalement le chemin de la piscine de la guilde. Grey le mage de glace et le petit-ami actuel de la mage de d'eau, et oui, enfin, tenta de l'arrêté, l'immobilisent directement avec de la glace. Mais rien à faire, Jubia continuait d'avancer et passait sans problème à travers les prisons de glace que Grey construisait. Le mage de glace finit même par s'écroulé de fatigue. Arrivé près de la piscine elle se stoppa immédiatement. Tout d'un coup, les personnes emprisonnés auparavant dans les prisons d'eau de la mage apparurent derrière elle et vient à s'approché. Maintenant, Jubia était entouré de Natsu, Lucy, Grey, Wendy, Roméo, Gajeel, Levy, Mirajane, Makarov et les exeeds (Lily, Carla et Happy). Ils arrivèrent juste à temps pour voir la jeune fille sortir du corps de Jubia, sauf que cette fois elle avait quelque chose de différent. Une Nageoire ? Une fois complètement dans l'eau elle disparut aussi tôt à la vue de tous. Tout le monde tentait de la chercher du regard, mais rien, elle était complètement invisible.

Tout d'un coup, sans prévenir, l'eau de la piscine se mit en mouvement, entourant les mages d'un mur d'eau. Ils étaient prisonniers. Chacun d'entre eux tentait tant bien que mal d'utilisé sa magie pour en sortir, mais rien ne marchait. Toutes les attaques glissaient sur l'eau, comme si chacun d'entre eux frappaient une vitre extrêmement glissante. Certains recevaient même certaines attaques qu'il ne leur était pas destiné. Au final les résultats final étaient plutôt amusants à voir. Levy retenant tant bien que mal sa robe qu'une bourrasque de Wendy avait fait envolée. Une chose que Gajeel remarqua tout de suite, tellement qu'il en oublié ce qui l'entoure. Au final Jubia avait quelques centimètres de cheveux en moins. Qui du coup éclaboussa par inadvertance les deux mages de feu présents qui brulèrent dans la précipitation, les vêtements de Gray qui emprisonna Lucy dans un bloque de glace. Sinon, Levy lança une attaque qui malheureusement rebondit comme une balle jusqu’à Mirajane la démone, faisant ainsi dévié l’une de ses attaques vers le maitre de la guilde transformé en géant qui tomba sur les trois pauvres exeeds. Bref, cela était un vrai cirque.

Alors que chacun tentait tant bien que mal d’essayer de créer une sortie possible, un drôle de bruit se fit entendre au rythme de l’eau qui les entourait. Ce bruit était doux, simple. Bien que cela ressemblait plus à un cri de rage. Surtout que ce cri était comme transmit et adoucit par les oscillations de l’eau autour d’eux. Cela les calma directement, comme ci se cri était en faite une berceuse. Étrangement, ce cri fit plus d’effet à l’un des mages. Gajeel, avais l’impression de l’avoir déjà entendue et que le simple fait de l’entendre, lui donnait l’impression d’être emprisonné dans une douce étreinte rassurante, puis tout d’un coup d’y être arraché sans explication. Il sentit une profonde douleur en lui. Il leva donc la tête vers l’origine du bruit et ce qu’il vit le scotcha à un tel point. En hauteur, une silhouette les observait. Une silhouette de poisson ?

Non ! Impossible ! Comment ce poisson était arrivé ici ? Est-ce Jubia qui avait soulevé l’eau en emmenant par inadvertance, l’une des carpes du bassin d’à côté. Et oui, petit cadeau de Makarov pour fêté l’entrée de la petite Aska à Fairy Tail. Et oui, elle avait commencé à développé ses pouvoirs magiques. D’ailleurs, qu’elle ne fut pas la surprise de toute la guilde d’apprendre que la petite fille était une mage animalière, ou plutôt une mage dresseuse d’animaux magique. Surtout que c’était ses parents les plus surpris, ils l’imaginaient tout deux être une grande tireuse tout comme eux. Mais bon, tant que la petite était heureuse, la guilde et ses parents ne pouvaient qu’être contents. Non ! Cette silhouette était bien trop grande pour être l’une des carpes du bassin. Même la plus grosse n’avait pas cette taille là. Était-se le soleil d’été derrière elle et le faite qu’elle soit dans l’eau qui donna cette impression au Dragon slayer ? Tout d’un coup cette silhouette se mit à nagée. Elle nageait à une telle vitesse que l’on ne pouvait pas la voir, même Jubia ou Lisanna sous sa forme de sirène ne pourrait la rattrapé. Elle laissait derrière elle comme une trace acier argenté sur son chemin. Allait-elle tellement vite que on ne voyait que cette couleur ou était-se une illusion d’optique ? En tout cas, chacun des mages étaient sur leurs gardes, à par les exeeds, ils ne s’étaient pas encore réveillés après s’être fait écraser par Makarov. En tous cas, la silhouette s’arrêta devant eux. Enfin s’arrêta, elle avait tellement freiné brusquement qu’elle tomba par terre faisant résonné un « Aïe ! » digne de la petite Wendy, et tout ça sous les rires de Natsu, Gray, Roméo et Happy qui venait tout juste de se réveillé. Les bulles l’entouraient empêchant ainsi aux mages de voir qui était exactement cette créature.

Une fois que les bulles finirent par disparaitre complètement, qu’elle ne fut pas la surprise des mages de voir que ce n’était pas juste un poisson qu’ils avaient devant eux, mais une humaine. Enfin, une humaine avec une queue de poisson. Une sirène ?

Wendy : Attendez, vous ne la reconnaissez pas !

Voix : Ben de quoi tu parle Wendy ?

Wendy : Roméo, voyons ! Ces cheveux verts foncé éméché de blanc, les brassards argenté autour des poignés, ce sers-tête avec des coquillages ! Ne me dites pas que vous ne la reconnaissez pas !

Happy : Moi que je la reconnaisse ou pas, je m’en fiche complètement ! Au moins j’ai du poisson !

Carla (se réveillant) : Happy ! Tu viens de mangé !

Happy : Mais, il n’y a pas de moment particulier dans une journée pour mangé du poisson !

Lily (se réveillant) : Surtout qu’une partie de son corps est humaine. Tu comptes manger une humaine ?

Happy : C’est vrai qu’il ressemble à un humain ce poisson. Oh et puis on s’en fiche ! Aller, à table ! Je l’attrape et je vous invite à la manger avec moi !

L’exeed sauta alors sur le mur d’eau dans l’espoir de le traversé. Qu’elle ne fut pas la surprise des mages de voir que le chat se soit vulgairement cogné au mûr d’eau.

Carla : Crétin ! Nos attaques n’avais rien fait à ses mûr d’eau et tu croyais qu’il te suffirait juste de sauter pour pouvoir passé de l’autre côté ?

Happy : Mais je n’y peux rien. Je voulais juste un peu de poisson c’est tout.

Soudainement, devant tout le monde, un trident d’or et d’argent apparu. Il avait traversé le mûr d’eau comme si ce n’était qu’un simple mûr de fumée, soulevant ainsi le pauvre chat bleu par son sac. Il était élevé sans peine, comme si se n’était qu’une plume. Il arriva facilement devant le visage de la sirène. Son visage était caché par une frange, cachant également son regard. Mais Happy n’avait aucunement besoin de voir ses yeux pour sentir l’intensité du regard, il le sentait directement qu’il était effrayant. Et le petit sourire en coin qu’elle affichait. Un sourire de dément, cela ne promettait rien de bon. Et c’était lui le destinataire de ce mauvais sourire. Happy crut même halluciné en regardant se sourire. Gajeel ! Gajeel a le même sourire pendant un combat, quand il est prêt à tout pour gagner ! Ce détail ne pu échapper au dragon slayer d’acier. Un sourire pareil. Il était le seul capable à en faire de tel, et là, son sourire était là devant lui ! Ok, il comprenait maintenant pourquoi il faisait peur aux autres. Surtout que lui aussi avait peur, bien qu’il n’affichait rien. Mais une chose clochait, cette sirène, pourquoi elle lui disait quelque chose. Cette façon de tenir ce trident, cette posture quand elle le tient, ce sourire et cette façon de bouger sa queue. Pourquoi cela lui faisait quelque chose ? Et le coquillage qu’elle avait autour du cou, pourquoi il avait l’impression de l’avoir vue quelque part ? Et cette sensation agréable qu’il ressentait en regardant juste ce simple pendentif qui aurait pu être acheté dans n’importe quel magasin de souvenirs de la ville. En plus, il ressemblait étrangement au sien.

Cette sirène avait une queue de couleur acier assez claire aux reflets argentés, bleus et jaunes. Elle était assez longue pour qu’elle puisse faire quelques boucles avec. De grandes nageoires se trouvaient de chaque côté de sa taille, on retrouvait les même au niveau de la tête qui lui servait surement d’oreilles, en bien plus petites. Elle était habillée d’un petit haut de maillot de bain dorée qui cachait déjà les débuts d’une bonne poitrine. Bien plus grosse que celle de Lévy et Wendy et ça, malgré le jeune âge qu’elle semblait avoir. Ce que les deux jeunes filles déploraient déjà. Ses cheveux verdâtres éméchés de blancs arrivaient un peu plus bas que les fesses, ils arrivaient presque à la hauteur de ce qui pourrait être ses genoux. Elle avait un magnifique diadème de couleur acier, où des petits clous dorés et des coquillages prenaient place. Et au niveau de son front, une larme en émeraude était collée. Rendant ainsi son regard bien qu’effrayant, le rendant ainsi plus mature. Et son regard ! Cela en étonna plus d’un dans cette prison d’eau. Des yeux d’un rouge rubis hypnotisant coupée d’un iris reptilien. Impossible ces yeux, c’étaient ceux de Gajeel, à l’identique.

La sirène : Tu pensais t’en sortir sans mal ! Oh pauvre animal. Sur terre, j’ai une épée de Damoclès au dessus de la tête. Le mot Danger est inscrit sur mon front et je peux facilement être vaincu. Même par une bête comme toi. Malheureusement, tu es sur mon terrain de jeu maintenant. Et crois-moi je suis entouré de l’élément roi. Rien ne peut m’atteindre. Je suis bien plus forte que vous tous réunis.

Grey (chuchotant à l’oreille de Natsu et de Roméo) : Vous ne trouvez pas que ce qu’elle dit ressemble à un monologue de théâtre ?

Roméo (chuchotant à l’oreille de Grey et Natsu) : Ouais, t’as raison, on dirait presqu’elle a travaillé son texte avant de venir.

Natsu (Chuchotant à l’oreille de Grey et Roméo) : C’est quoi un monologue ?

Grey : Quoi, tu ne sais pas ce qu’est un monologue ! Oh, alors t’étais où quand on a fait la mission pour la troupe de théâtre Shéhérazade ?

Roméo : Là, excuse-moi Natsu, mais pour une fois je me range de son côté. Parce qu’en dehors de la magie et le faite que j’adore être en ta compagnie, il ya une chose que j’aime plus que ça, c’est le théâtre.

Natsu : Quoi ? Roméo, tu me trahis !

Makarov : Eh oh ! Vous pourriez vous connecté sur ce qui se passe là !?!?!?!

La sirène : Oui, surtout que j’ai travaillé ce texte pendant des heures !

Grey : Ah tu vois, qu’est ce que je disais.

Natsu : Oui, mais elle n’a pas dit qu’elle faisait ton mono trucmuche là.

Roméo : Oui, mais ce n’est pas parce qu’elle ne le dit pas qu’elle ne la pas forcément fait.

La sirène (secouant le trident dans tout les sens et criant à la façon de Lucy, hystérique) : Mais vous aller m’écouté, oui, je n’aime pas être ignoré !

Happy (étant secoué dans tous les sens) : Au secours ! Je crois que je vais vomir !

Natsu (bleu comme pas possible) : Rien qu’à regarder la situation d’Happy, j’ai envie de vomir !

Gajeel (bleu comme pas possible) : Moi aussi, pour une fois, j’te suis la salamandre !

Voix : Au secours, revoilà la mal des transports.

Grey : Eh ben dites donc regardez-moi un peu ces Charlots. Ils font peine à voir !

Voix : Là, c’est plus que vrai.

Jubia : Pour une fois, Jubia est d’accord avec Lucy. Wendy devrais peut-être leur lancé le sort de Troa, non ?

Wendy : J’aimerais bien, mais je ne peux pas. Natsu en as trop abuser, cela ne fait plus vraiment effet sur lui. Et Gajeel en est déjà indépendant, cela ne marche plus. Et je l’ai pourtant utilisé qu’une seul fois sur lui.

Lucy : Dis Lévy, tu n’aurais pas un médicament contre les maux de ventre, tu en as toujours sur toi. Cela pourrais peut-être les aidés un peu.

Lévy : Malheureusement non. J’en ai plus, il faut que j’en rachète. J’ai donné les derniers à Erza tout à l’heure, elle ne supportait plus ses nausées.

Mirajane : Mais, cela n’est pas dangeureux dans son état ?

Lévy : Non, ne t’inquiète pas, ce sont des médicaments que tout le monde peut prendre, même les femmes enceintes, j’ai vérifié.

La sirène (secouant toujours les bras) : Eh oh, vous revenez sur terre et vous m’écoutez oui ?!

Lucy : Eh, c'est à toi de revenir sur terre. Tu ne vois pas qu’il y a des malades ici. Oh faite, tu ferais mieux d’arrêter de bouger les bras sans arrêts, Happy ne vas pas le supporté.

La sirène (secouant toujours les bras) : Quoi ? Comment ça ?

Happy (pattes devant la bouche) : Je t’en pris, arrête ! Je ne vais pas tenir !

 La sirène (arrêtant totalement de bouger) : Quoi ! Oh ce n’est pas vrai ! Moi qui voulais faire peur à des ennemis, lors de ma première sortie en dehors du royaume ! A la place, je les rends malades. La honte.

Happy : Ca fait du bien quand cela s’arrête. Je commence à comprendre ton truc Natsu.

Natsu et Gajeel : Enfin, quelqu’un nous comprend ! Ca fait du bien !

Wendy : En faite, vous savez, on avait tous compris vos trucs et cela depuis longtemps.

Lucy : C’est juste que c’est tellement répétitif qu’au bout d’un moment.

Grey : On finit par s’y habitué et que on le remarque presque plus. Malheureusement, il faut penser à prendre des protections et des vêtements sales de préférence.

La sirène (gonflant les joues boudeuse) : Euh, excusez-moi, je suis désoler que mon attitude est rendu plusieurs gens malade. Je vais essayer de faire attention à ne rendre personne malade. Mais j’aimerais que nous reprenions la où nous en étions, parce que voyez-vous, j’ai très peu de temps.

Maitre Makarov : Oui, je sais, tu dois retrouver ton grand frère au plus vite afin de prouver que ton grand-père n’est pas fou et lui sauvé la vie.

Lucy : Quoi ! Elle est la pour sauvé son grand-père ?

Lévy : Et tout ça à un si jeune âge ?

Wendy : Moi, à son âge, je n’étais même pas capable de quitter la guilde de Cat Shelter seul, même pour une simple mission. Vraiment je suis très impressionné.

Carla : C’est vrai que c’est impressionnant. Mais partir toute seule à un si jeune âge est vraiment irresponsable.

Jubia : Et pour ça, elle doit retrouver son frère. Attendez, son frère ? Mais ! Cela voudrait dire que cette gamine pourrait-être la petite sœur de mon Grey Chérie. Oh non, une autre femme dans sa vie autre que moi est inconcevable !

Lucy : Et c’est repartit.

Lévy : Elle recommence à délirer.

Grey : Wendy, tu ne pourrais pas la calmer avec ta magie, là ça devient gênant !

Wendy : Désoler Grey, mais je ne connais pas de sort efficace contre ça.

Mirajane : Jubia, calmes-toi voyons. Elle est là juste pour retrouver son frère. Pas pour voler l’amour d’un des garçons de la guilde. A par si cet amour est fraternel.

Jubia : Ah oui, c’est vrai ! Jubia venait tout juste d’oublier. Et puis bof en même temps, que mon Grey chérie ait une petite sœur ou non me dérange pas en faite. Enfin tant que les sentiments qu’ils partagent entre eux soient des sentiments communs entre frère et sœur !

Grey : Tu n’as pas à t’iniquité pour ça, puisque je n’ais pas de frère ni de sœur !

Roméo : Et le mage de Lamia Scale alors, c’est qui pour toi ?

Grey : Oh lui c’est complètement différent. Il est vrai que quand on était encore gamin, Léon et moi, on était un peu comme deux frères, mais c’est finit maintenant. Puisque que nous sommes rivaux.

Natsu (se relevant) : Euh, attendez, il n’y a pas un problème dans tout ça ?

Maitre Makarov : Un problème ?

Roméo : De quel problème tu parle Natsu ?

Natsu : Ben de cette fille. Il y a vraiment un truc loche avec elle. Ben oui regardez. Cette fille à une nageoire et elle vit sous l’eau. Qu’elle cherche son frère, ce n’est pas là mon problème. Mais ce qui me dérange c’est le faite de la nageoire. Si elle cherche son frère c’est qu’elle doit être pareille que lui, et parmi tous les mecs de la guilde il n’y en a aucun capable de respirer sous l’eau ou d’avoir une queue de poisson. Vous voyez ce dont j’veux parler ?

Tout le monde dans la prison à par la sirène et Natsu : Il vient de dire un truc intelligent !

Grey : Ca va aller l’allumette, t’a pas un problème au cerveau ?

Wendy : Il s’est peut-être fait mal à la tête ?

Happy : Natsu, tu me fais peur !

Lucy : Natsu chéri, rassure-moi, tu sais comment je m’appelle ? Hein, tu sais comment je m’appelle ?

La sirène : Il arrive quoi là.

Gajeel : Oh, c’est rien. C’est juste un événement assez spécial dans l’histoire de la guilde. La Salamandre a eu un éclair de génie, c’est très rare.

La sirène : Ah bon ? C’est vrai, qu’avec la tête d’imbécile, ce ne doit pas faire souvent qu’il doit avoir des idées de ce genre. Surtout que cela ne va pas l’arranger s’il ya tous ces idiots autour de lui.

Gajeel : Eh oui. Et on vie ça tout les jours dans cette dans cette guilde de fou. Mais le plus surprenant, c’est qu’on finit par s’y faire, même moi. En tout cas ce que je peux dire sur eux c’est

Gajeel et la sirène : Ils sont complètement tarés !

Le Dragon Slayer et la sirène se mirent à se regarder avant de se mettre à rire de concert tous les deux. Ce qui arrêta l’attroupement de faire du bruit. Ils riaient même tellement que le bandana de Gajeel et la couronne de la sirène tombèrent tous deux à terre. Le bruit de la couronne réveilla alors la jeune sirène qui s’arrêta immédiatement de rire. Elle se mit donc à regarder le mage et surtout à le regardé rire. Elle se mis même presque à sangloter.

La sirène : Le rire de Grand-père.

Gajeel : Quoi ?

Maitre Makarov : Attendez, elle vient de dire quoi là ?

Mirajane : Elle vient de parler du rire de son Grand-père non ?

Natsu : Ca change quoi, qu’elle parle du rire de son Grand-père je ne comprend pas là ?

La sirène vint à s’approcher un peu plus de Gajeel, elle vint même à sortir son buste de l’eau.

La sirène : Et tu n’as pas que le rire de Grand-père. Tu ressemble comme deux goute d’eau à notre père aussi ! Tu as aussi les mêmes yeux que Maman !

Gajeel (se retournant vers les autres mages) : De quoi elle cause là ?

Grey : J’avoue, je ne comprend rien de ce qu’elle raconte.

Lucy : Moi non plus.

Lévy : Il y a quelqu’un qui comprends tout ce que cela veux dire ?

Lily : Non, pas moi. En tous cas je donne ma langue au chat !

Happy : Moi aussi.

Mirajane : C’est fou, et pourtant si évident quand on les regarde tout les deux.

Gajeel : Attendez, de quoi vous parler là ?

La sirène : C’est fou, je me demande pourquoi je n’est pas remarquer cela plus tôt !

Gajeel : Attend gamine, tu cause de quoi là ?

La sirène : En même temps c’est normal que je ne t’es pas reconnu tout de suite, je ne t’est jamais vue en vrai jusqu’à aujourd’hui. Je ne vue qu’à travers des tableau et encore, t’étais tout petit.

Maitre Makarov : Alors, est-ce que cela veut dire ? Que Gajeel est le frère que cette gamine recherche depuis une semaine ?!

Les autres prisonniers : Quoi ?!

Gajeel : Et attendez, ca va pas dans vos têtes ! Je n’ais jamais eu de sœur !

La sirène : Et pourtant si, regarde.

La jeune sirène vint à prendre le coquillage qui servait de médaillon au Dragon Slayer et le rapprocha du sien. Tout d’un coup, une étrange énergie vint à s’évader de l’interaction avec une lumière presque identique à celle de la Loi des Fées. Tout le monde regardait le spectacle.

La sirène : Tu vois, la lumière qui se libère de nos deux médaillons le démontre bien. Cette réaction ne peut avoir lieu que si deux médaillon de deux personnes de la même famille rentre en contact. J’ai accomplit la mission que Grand-père s’étais donné ! Je t’ais enfin retrouvé Grand-frère ! Ganjiru !

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