grandir en famille par le destin

Chapitre 1 : lhistoirie et amour dun homme ordinaire

1542 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 05/03/2018 14:59

"Je peux plus respirer,plus bouger sans avoir mal,marie,petite buse,marie,que se passe t il?.dis moi,ou sont passees tes miracles,ceux que j'aimais.je veux rire,mais j'ai trop mal,je veux pisser,mais j'ai mal a la zigounette...;dis moi,as tu jamais reve de moi,je voudrais passer ma main dans tes cheveux...le sommeil,me gagne,je ne lutte pas,esperant te revoir,une derniere fois".marie combien de fois avons nous fait les fous ensemble comment les choses peuvent elles tourner ainsi?je nen peux plus de tes mensonges et de tes coups bas.tu mas dit que tu defendrais toujours la verite e tnotre amour.pourquoi as tu cesse dhonorer ta promesse que je mefforce de tenir de mon cote

flashback/

 je suis ne,a lyon,dans la belle nation de la france.de l'age de neuf mois,a mes deux ans,j'avais tout pour moi/amour,beaute,argent,femmes.(a ceux qui voudraient me contredire,je dirais qu'il ne suffit pas de rever pour etre heureux,d'apres liane foly,bonne dame)

resumons,que faut il a un mome pour etre heureux?des femmes,des poutous...j'etais gate de ce cote la,jusqu'a ce que le premier incident facheux,se pointe.precisement le jour ou les transformers livraient leur derniere bataille,contre les decepticons.j'etais sur la balancoire,a rever de la lune,regardant ses epousailles avec la terre,et regardant discretement leurs arabesques celestes,dans le ciel bleu et pretant a la rigolade,du monde qui s'ouvrait en reves devant moi.

parlons en,de ces reves,marrants oui,mais trop pertubants,car rever,mene a etre bon,et trop c'est trop.se reveiller,le nounours sur la face,fait rire les parents,mais le mioche,il panique et pleure,car il n'a pas d'autorite sur son jouet.POUR PASSER LE temps,le mome il regarde des films ou il joue avec son fetiche,mais c'est rare,car pour parler juste,les jouets sont vivants.et etre vivant implique avoir des droits sur l'autre,dans le dur monde des enfants.

imaginez un petit bonhomme,guelant le soir,a des heures pas possibles,ou il ne parle meme pas,ou il fait des bruits bizarres,et vous avez le topo sur le bilan de rendement des parents,apres des semaines.le petit bout de chou,il joue en continu avec des surhommes,et apres quand il voit ses parents,evidemment il est decu...

parlons en,des ses parents/

primo un pere barre dans ses baskets,justicier a ses heures,toujours pret a bondir pour denoncer fraudes fiscales,a jouer en calecon maillot avec ses enfants,porte sur les claques et la biere.de ses reussites il sen fait des trophees et souvenirs de chasse.les momes parfois il sen foutait car il revait de revenir a la periode lune de miel avec ma mere.lanalogie avec une bouteille de coca cola au frigo pour mieux apprecier leffet gazeux me vient a lesprit.car il est ecrit que les calins entre parents sont moins affriolants une fois les bebes ayant fait irruption dans le foyer.

le paternel avait parfois la main leste sur ses enfants .cela sexpliquait par ses delirium tremens dus a trop dabus dalcool et de stupefiants.ses lois sur son clan etait pouvoir et argumentation.je commencais a meveiller a cette situation a partir du jour ou jen fis part a mon confident jean.jen fus reconforte quand il me prouva que mon pere etait certes dans lerreur concernant la violence mais quil maimait sincerement et avait de bonnes intentions envers la famille.il me le prouva en me rassurant a propos de son affection a lui jean.mon meilleur ami ayant toujours ete dun bon conseil avec son affection je compris quil navait pas tort sur rien.parfois me prenait lenvie de fuguer ou de denoncer mon pere a la police pour violence de tous genres.

je nen faisais jamais part a personne sauf a ma mere qui me delatait et me trahissait systematiquement.ayant eu tout le temps quil me fallait pouro analyser la situation je conclus quil me fallait de laide en plus de jean pour me sortir de cet enfer vivant sur terre.etant donne que ma mere ne setait jamais donnee la peine de me proteger je calculai des plans devasion et dacchopement a son autorite,notamment en mettant a jour ses frasques sexuelles hors mariage ainsi que sa passion pour largent.lame charitable en question fut ma cousine valerie qui apres avoir accouche me relata que mes parents avaient ete laisses a eux memes toutes leurs vies par des parents demissionaires comme au temps ancestral.elle lavait compris par le truchement de tant relationnel que de rapport bloques du cote de sa mere la soeur de mon pere.elle me suggera de faire comme elle et de jouer finement en maturation intellectuelle pour poser mes pions sur lechiquier de la grande famille.je me resolus a lire les grands ecrivains litteraires comme du commerce de proximite afin dalterner les situations et les genres.de mes lectures je pus acquerir de la foi et de la confiance en mes capacites de combattant de lintellect.mon pere allait me poser de grands problemes techniques par la meme mais par mon sens de la logique jarrivai a triompher de lobstacle.sa promesse sempiternelle fut de respecter mes sentiments et mon eveil demois.les brimades cesserent un temps puis vint un instant ou cela recommenca.mon pere encore une fois reprimande me dit quil se rappellerait sa promesse de lois et dentrefaits.il tint eventuellement parole malgre les reticences de ma mere.cette derniere setait vu offrir loccasion de me maudire de par mes reformes a legard de son conjoint.je lui fis la remarque quelle tremblait quamd je lui expliquais comment javais libere mon pere de son emprise malfaisante.plus exactement comment je me pris pour la discrediter aux yeux de ce dernier.je mentionnai principalement ses absences repetees a l egard du reconfort du au foyer apres frasques de violence et dusure de la part de son ame soeur.je lui demontrai ses erreurs en lui etant superieur en logique de recoupement et daffirmation.je procedai en lui enfoncant dans la gorge toutes ses contradictions lamenant a rester necessiteuse aupres de mon pere.je dejouai ses ruses de contradictions en demontrant ma droiture et droit a la science.tout ce quelle trouvait afaire et adire fut de se pretendre victimisee meme mise face a lampleur de ses denegations contradictions et tournures dempechement.ce que notre clan jugeait suspect etait mon ascenscion se deroulant dapres eux trop tot car je passais pour etre trop immature.ne possedant que mon intellect et resolutions de bonne foi je me mis a letude des joutes de pouvoir avec mes amis sinceres.notre logique nous dictait que quand un fait avere implique tout un peuple en entier que cela signifiat la plupart du temps sonnait lheure des separations.les fois ou jetais en compagnie forcee de ma nemesis nous nous contentions de nous saluer et de nous observer sournoisement subrepticement en chiens de faience.les lois qui gouvernaient notre union se basaient sur la confrontation naturelle et contractive.je me demandais souvent comment un etre aussi sournois et leger pouvvais exercer cette attirance malsaine qui existait entre ellel et moi.je me faisais un devoir detudier ses soliloques inconscients provoques par la grace du ciel et les moyens mis a ma disposition de naissance comme entre autres naturologie nudisme musicologie et metaphysique de letat conscient.le plaisir que je retirais a jauger sa decheance mexcitait au plus haut point.ce que japprenais la plupart du temps de mes analyses secretes et qui me laissaient songeur me laisserent decouvrir que lamour d;une mere ne se perd jamais.je devais malgre lamour quelle me portait la combattre pour me garder de son influence deletere damoindrissement charge en mythochondrie.un jour que je me promenais dans le parc naturel de lyon dit parc de la tete dor je me telescopais de corps avec une ravissante vision du ciel venue me procurer pouvoir.plus precisement jetais en train de marcher sans regarder autour de moi quand jeusjuste le temps dentendre un cri davertissement avant de me cogner contre un obstacle.ce quelque chose qui me contraria momentanement je le percus a mon reveil apres le choc,jentendis une voix me demander ,mon etat.avant de regarder vers le ciel je repondis par laffirmative.le spectacle qui soffrait a moi vivait dans un visage parfaitement equilibre de libre jouissance de charme de beaute.des jambes fermes que jagrippais pour me relever.elle portait un short mini qui laissait nu des sculptures de milo parfaites dignes de faire rever tout homme qui se respecte.sa voix etait une ode celeste a la musique vie forte et a la nature.des yeux percants et rieurs me regardaient avec une legere inquietude je le percevais essayant de savoir si jallais bien.ce jour la je rencontrai celle qui aller saverer plus tard etre a la fois ma vie et ma decheance de bonheur.cette force de nature sappellait marie.

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