Menteuse...
Chapitre 1 : Tu me la pris...
665 mots, Catégorie: G
Dernière mise à jour 07/09/2024 16:35
A ne pas être capable de gérer te propre vie, tu as forcé l'entrée dans la nôtre.
On étaient bien, ensemble tous les deux et amoureux.
Alors oui, tout n'était pas toujours rose, mais c'est cela un couple.
Des hauts, des bas, mais l'important était toujours d'être ensemble.
Mais non, toi, foutu poison, tu nous a détruit, sans avoir à te soucier des conséquences.
Les liens du sang, te donné tout droit sur nous?
C'est bien comme cela que tu le voyais, mais surtout que la fait craquer.
Et ainsi, tu as commencé à nous mener vers notre fin tragique.
Tu savais bien qu'il était d'une gentillesse exacerbée.
Et que dire "non" essentiellement a sa famille, lui ait difficile.
Malgré mes mises en garde constantes et mon refus, il a craqué.
Tu nous a fait quitter notre chez-nous, mon travail, où pour une fois, je me sentais bien.
On sait retrouver bloquer chez toi, a devoir " vivre " selon tes règles.
Et là notre enfer à vraiment commencer.
Tu le critiquais et l'insulté en continu.
Le rabaissant comme ta chère mère l'avait fait avant.
Le brisant dès son plus jeune âge, lui autant toute confiance en lui.
Lui qui était, beau, intelligent et extrêmement doué dès ses mains.
Il fallait voir tout ce qu'il parvenait à créer en partant de rien.
Puis, tu as commencé à lui monter la tête contre moi.
Comme quoi je lui étais infidèle.
Comment a-t-il pu te croire ? C'était l'amour de ma vie.
On devait se marier, on essayait de fonder une famille.
Puis, tu la frappais à plusieurs reprises, lui disant qu'il n'était rien.
Qu'il ne réussirait jamais rien.
Et là, pouf, on s'est retrouvé du jour au lendemain à la rue.
Car ça devenait trop dur pour toi à supporter, de nous voir nous faire la gueule.
Ça pourrissait l'atmosphère chez toi, et tu ne te sentais pas bien.
Non pas du mal que tu faisais, mais juste chez toi.
Car il y avait trop de tensions et que l'on sortait plus de la chambre que juste pour aller bosser.
On est parti à l'hôtel avec nos deux chiens.
On travaillait à côté, et malgré l'envie de redevenir un vrai couple.
Je ne parvenais pas à lui pardonner d'avoir pu imaginer un seul instant que je pouvais le trahir.
Toi, tu étais heureuse, chez toi.
Enfin, chez ton mec, car c'est lui qui payer tout, et qui supporter tes crises H24.
Moi, ce matin-là, je ne l'oublierais jamais.
Je n'oublierais jamais que par TA faute, mon mari est parti pour toujours.
Et là, je découvre que tu te places et héroïne vis-à-vis de son chien.
Alors que tu m'avais demandé, que tu le récupères pour garder une part de ton frère.
Et moi, pauvre idiote, j'ai dit oui à contrecœur.
Mais le pire, c'est que tu te sois permis de poster sur ta page :
" Comme je te l'ai promis avant que tu nous quittes, j'ai adopté ton chien"
Insultant la mémoire de mon mari, que TU as détruit.
On ne t'avait pourtant plus adressé la parole après notre départ.
Et lui te demander cela, alors qu'il m'avait dit quelques jours auparavant.
Qu'il t'en voulait et ne te pardonnerais jamais, pour tout le mal que tu nous avait fait.
Tu savais qu'il allait partir ?
Tu n'as rien fait !
Comment peux-tu te regarder dans un miroir ?
Alors que tes propos sont faux !
Tu nous as détruit, et lorsqu'on a passé ces trois semaines à l'hôtel, point de tes nouvelles.
Ce monde me donne la nausée.
Moi, je te croise souvent, lorsque je suis dans ta ville.
Avec ton sourire satisfait et ton air supérieur.
Tu me donnes envie de vomir.
Mais soit rassuré sur un point.
Tu es bien la fille de ta mère, sous tous les aspects...