Survy

Chapitre 5 : la vérité découvert

2057 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 10/11/2016 03:37

 

Chapitre 5 

 

3 année on passée depuis que Survy es entré au servisse de Héron. Leur relation était toujours secret et ses se qui la rendais si attractive. Se en devenais presque un jeu de ne pas se faire démasqué. Personne n’était au courent pas même les autre domestique, Survy était toujours au coter de Héron vus le poste quelle avais et cela ne choquais donc personne de les voir proche, même si il ne se doutait pas que s’était réellement de l’amour qu’il éprouvai l’un pour l’autre.

Pour sauvez les apparence Héron sortais avec d’autre femme de la haute, des femme que son père avais choisi car leur famille était riche et bien placé politiquement. Même si Survy disais l’accepter sa lui faisais mal a chaque fois qu’il en embrassez une autre devants ses yeux, et l’habitude ne changeais rien a la douleur.

Quand au serviteur qui avais le béguin pour Survy il était de plus en plus insistent mais elle n’avais jamais donnez suite a ses avance, refusent que Héron soufre de la même façon qu’elle soufrais lorsqu’il était avec une autre.

Se jour la c’était l’anniversaire de Héron, il feté aujourd’hui ses 18 ans. Son pere avais organiser une grand soirée ou tout le gratin d’athénée était venus pour l’occasion. De nombreuse festivités avais été préparé, un buffet long de plusieurs mettre, quelle que activité et une orgie pour terminez la soirée. Héron paressé dans son élément parfaitement heureux, la luxure lui allais si bien, mais Survy se sentait complètement or de se monde et ne pouvais que observez la d’ébauche et la luxure de cette fête. Et surtout supporter la vision de l’homme quelle aimais prendre du plaisir avec d’autre femme quelle et sens avoir le moindre remords.

Mais au milieu de la soirée Caoran s’approcha d’elle et l’attrapa par la hanche et l’embrassa sens aucune retenu. Elle tenta de le repoussez mais Caoran était une véritable armoire a glace. Il la serait contre lui en la caressent doucement sous le regard noir de Héron. Survy finit par se dégagé de son emprise et parti. Caoran la suivi sur plusieurs mettre avant qu’il ne sois appeler par le chef de la maison pour un travaille.

Survy compris alors que s’était Héron qui avais demander a son père d’occuper Caoran, elle en fut légèrement soulager mais elle se senti aussi assez mal. Car cela voulais dire qu’il les avais vus s’embrassez.

La soirée se termina tard dans la nuit, Héron retourna finalement a sa chambre où Survy l’attendais. Le jeune homme s’approcha doucement d’elle en la regardants avec amour avant de l’embrassez en l’entraînent sur le lit. Héron termina alors son anniversaire sur une nuit torride avec la seul femme qui portait dans son cœur.

Mais le lendemain une chose inattendu arriva, des esclave entrèrent dans la chambre de Héron a penne éveillez. Il attrapèrent Survy, qui était juste a coter de lui et entièrement nue, et l’entraînèrent dans le grande salon, elle avais juste eu le tant d’attraper un drap pour se cacher. Les esclave la jetèrent au pierre du maître des lieux qui la fusilla du regard. Héron arriva a se somment la, ne portant sur lui que de quoi cachez le bas de son corps, mais ne fut pas autorisez a approchez la jeune fille.

« père expliquer moi se que vous faite ? » lança t’il dans l’incompréhension la plus totale. Le maître des lieux se contenta de regardez son fils avec mépris « Héron, tu me fait honte éprouvez de l’affection pour une esclave ses inacceptable ». Le regard des deux amoureux se vida presque aussitôt, comment pouvais t’il le savoir ? Ses alors que Caoran sorti de l’ombre et s’avança vers le maître des lieux, il lui chuchota alors a l’oreille « ses bien elle l’esclave pour qui votre fils a des sentiment vous devriez la faire exécuter » même si s’était faible Survy entendis très clairement ses mots mais n’arrivais pas a y croire. Plutôt que de se faire a l’idée qu’il ne pourrai jamais lavoir il ses mie en tête que personne d’autre ne l’aurai.

Le maître des lieux demanda a son fils de renoncez a cette amour de lui même, mais Héron le regardais avec mettre lui lançant un « jamais » froid et sec. Son père claqua alors des doit et Caoran sorti une épée qu’il plaça sur le coût de la jeune fille a genoux. Héron tentait de s’approchais mais les autre esclave le retenais, il ne pouvais que assister a la mort de sa bien aimée en toute impuissance. Quant a Survy elle ne se débâti pas sachant que s’était la meilleur solution pour Héron, elle se disais quelle avais bien vécu et quelle acceptais la mort.

Mais lorsque la lame s’abatis sur le cou de la jeune fille cette dernière se brisa en mille morceau sous les regard stupéfaits de l’assistance. Héron poussa un soupire de soulagement, il se rappela alors que rien ne pouvais la tuer.

Le maître des lieux ordonna alors a Caoran de recommencez encore et encore mais le résulta était toujours le même, Survy ne pouvais pas mourir. Apres de longue minute a essayer de la tuer le maître des lieux se leva et attrapa la jeune fille par le bras avant de la traînez sur plusieurs mettre jusqu’au cuisine ou il la jeta violemment contre le mure. « habillez la et préparé la » lança t’il au esclave qui était dans la pièce. Personne ne savais se qu’il mijotait mais tout le monde obéi sens faire d’histoire. Puis il s’approcha de son fils qui lui hurlais de lui dire se qu’il contait faire, mais l’homme se contenta de sourire amusez.

Apres plusieurs heure Survy était prête et se tenais devants la porte de la maison, un homme assez âgée et assez sale s’approcha d’elle et l’observa sous tout les angle. « vous ait sur de vouloir envoyer une telle beautés a la guerre, vous pourriez en tiré un bon pris en la vendant vous savez » lança le vielle homme. « je veut quelle soufre la vendre serai trop bien pour un être comme elle » rétorqua t’il d’un ton sec. Le veille homme n’insista pas et attacha la jeune fille avant d’enfin quitter les lieux.

Sur la route il tombèrent sur Héron, le vielle homme lui demanda de partir mais lorsque Héron lui lança un sac de pièce d’or il le laissa discuter avec la jeune fille. Les deux amoureux se regardèrent plusieurs second avec de s’embrassez amoureusement. Héron la sera dans ses bras le plus fort qu’il pouvais pour ne pas quelle part. Survy versa alors une larme et afficha un doux sourire pour lui donnez du courage « un jour je reviendrai » lui lança telle avec une douce voix « et je t’attendrai aussi longtemps qu’il le faudra » lui répondit t’il avant de l’embrassez a nouveau. Puis le veille homme repris sa route avec la jeune fille, laissent Héron seul sur une route déserte ne pouvant que regardez l’ombre de sa bien aimez disparaître dans le soleil couchants.

Apres plusieurs jour de marche il arrivèrent dans une sorte de marchez. Le vielle homme avais reçu des ordre mais appâter par l’appât du gain il ne pouvais pas laissez passez une si belle occasion, et décida de vendre Survy et de tout gardez pour lui. Les enchères montèrent assez vite contrairement a la dernière fois car la elle était au plus haut de sa beautés, son age était plus attractif et surtout son expérience que se sois du coter du servisse ou du plaisir.

Un homme passa alors non loin de l’estrade ou Survy était placez, il portait un grand manteau noir qui le cachais entièrement et un chapeau assez imposant qui camouflais son visage. Survy l’aperçu mais ne fut par interpellez par lui au début, mais ses lorsqu’elle vus un de ses yeux couleur or comme les sien qu’elle commença a le regardez droit dans les yeux. Ses comme si le temps s’était arrêter autour d’eux,  il était tout les deux or tu temps. Le décompte de la vente ramena Survy a la réalité, elle regarda alors l’homme qui allais devenir qu’on future maître, un homme assez gros qui avais plusieurs fille très peu habiller autour de lui et qui salivais en regardais Survy. Mais au moment ou le vielle homme allais conclure la vente, l’homme au manteau proposa le double de prix qui était proposez scotchant toute l’assistance. Personne ne pouvais relancez face a une telle somme. Le veille homme s’empressa de conclure la vente sur exister par son affaire.

L’homme au manteau donna la somme attendu par le vielle homme qui parti en courant après sa, et aida Survy a descendre. Il la conduit ensuite a son cheval et l’attacha par les poignet a sa monture. « quelle est ton nom petite ? » demanda t’il une fois assis sur son cheval. « Survy » répondis telle d’une vois faible. L’homme la regard sens aucune émotion avant de répondre a son tour « moi ses Eugène Vulner Victorya, et apartir aujourd’hui tu vas travaillez pour moi jusqu'à remboursez la somme que tu ma coûter ».

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