Survy
Chapitre 10
Mille ans on passé et les connaissance de Valérya était de plus en plus affiné, elle avais même presque entièrement remboursé sa dette. Elle vie désormais au cœur de la France avec Eugène dans un petit village d’une centaine d’habitent. Le dernier descendant encore en vis de Eugène y vivais avec sa femme et ses deux fils. Il vivais dans une grande ferme ou il passaient le plus claire de leur temps a travaillez la terre, était invulnérable il pouvais travaillez de jour comme de nuit, durent des heure et sous n’importe quelle temps sens se fatiguer. Leur village était sous la tutelle d’un seigneur très riche et aussi très avare qui les accablais de taxe très lourde. Il devais donné la moitié de leur récolte plus une importante somme d’argent pour l’époque. Peu de personne arrivais a payer et se retrouvais sauvagement assassiner.
Valérya et Eugène n’avais aucun souci a le payer et partageais même leur recolle avec les autre paysan pour éviter des bain de sang.
Un jour, Valérya alla au marchez du château s’était le seul marchez ou on pouvais trouvez des marchants étranger et des produit exotique. S’était le seul endort ou elle pouvais trouvez des produit grec qui lui manquai temps. Mais alors quelle venais de payer un enfant s’empara de se quelle venais d’acheter et parti en courant. Mais le temps quelle réagisse un garçon qu’il devais avoir le même age quelle, physiquement du moins, pris le garçon en chasse et finit par le rattraper. « qu’es qui te prend de volez comme sa ta déjà oublier pas les pauvre paysan, on en a déjà parlez » lança le jeune homme en tenants l’enfant par le col de son vêtement. « mais regarde se quelle a acheté sa vos une fortune ses pas une paysanne qui peu souffrire un truc pareille » répondit t’il en se débattent. « la paysannes aimerai bien récupéré se qui lui appartiens » les deux garçon s retournèrent et vue le regard meurtrier de Valérya a leur égard. « eux salut désormais pour sa ses un mal entendu ses tout »le jeune homme tendis le a Valérya se quelle avais acheter avec un sourire navré. Valérya coupa un parti de se quelle avais acheter et le donna au jeune homme « la prochaine fois demander sa évitera de me fatiguer » puis elle reparti, le jeune homme en resta sous le choc s’était la première fois que qu’elle qu’un agissais de la sorte avec lui, lui un simple voleur. Il partagea le quelle lui avais donnez et en passa la moitié a l’enfant qui le mangea d’une traite « ses trop bon, je ses pas qui es cette fille mais je l’aime déjà », un sourire apparu sur les deux de son amis qui la regardais s’éloigner « je ne sais pas non plus mais je conte bien le découvrire ».
Les jour passèrent et alors quelle faisais des course pour Eugène elle croisa a nouveau le jeune garçon « tien tu ais le voleur de la dernière fois », lança telle sur tu ton totalement dépourvu d’émotion. « j’ai un nom je te signal et sais Firel » rétorqua t’il énerver se qui la fit sourire. « bon Firel j’ai été revit de te revoir » elle s’apprêta a partir lorsqu’il l’arrêta
Firel : attend je… je voulais m’excusez pour la dernière fois et j’aimerai me faire pardonnez
Valérya : ses inutile ses déjà oublier
Firel : j’insiste sil te plais … ta été si gentille… je me sens mal paraport a toi…
Valérya : dans se cas fais moi une visite de la ville je suis sur que tu la connais comme ta poche
Firel : a sa oui alors viens je vais te montrer les plus beau endroit
Le jeune garçon lui attrapa la main et l’entraîna au cœur de la ville, il lui fit visitez tout se qu’il connaissais en racontent a chaque fois de petit anecdote qu’il a eu avec le jeune homme quelle avais déjà rencontré. Elle appris qu’il se nommais Eldios, il était orphelin tout comme Firel et vivants dans la rue volent pour survivre. Valérya ne paresser pas du tout atteinte par son histoire, mais faisais quand même semblent de si intéressez, car elle voyais bien que sa le rendais heureux d’être écouter. Puis il commença a avoir faim mais au moment ou il alla pour volez un encas Valérya l’arrêta et acheta un peu de nourriture quelle lui donna.
Firel : merci… mais pourquoi tu fais tout sa pour moi…
Valérya : parce que j’en ai les moyen et que pour une fois j’ai de la pitié pour quelle que chose
Firel : mais je croyais que tu était q’une simple paysanne ?
Valérya : ses le cas
Firel : alors doux tu sort tout cette argent ?
Valérya : après 1000 année de travaille sens presque rien dépensez sa en fais de l’argent
Firel : 1000 ans ses pas possible, j’en ai 12 en on dit que j’ai déjà atteint le 1/3 de ma vis
Valérya : ses parce que moi je ne peu pas mourir
Firel : sérieux ?
Valérya : j’ai aucun intégrai a mentire
Le ton de Valérya était totalement détachez, elle se fichai pas mal de se que les autre penser et n’avais pas peur de la vérité. En revanche Firel avais le regard remplis d’étoile et la regard comme si elle était un ange tomber du ciel.
Elle le raccompagna chez lui, ou plutôt dans se qui lui sert de maison, a la fin de la journée. Et ses sur le chemin du retour quelle tombe nez a nez avec Eldios.
Eldios : tu est la fille de la dernière fois ?
Valérya : toi ses Eldios si je ne me trompe
Eldios : comment tu peu le savoir ?
Valérya : Firel me la dit il ma beaucoup parler de toi et de lui
Eldios : un corrigible celui la, combien ta t’il coûter quelle que sois le pris je te rembourserai
Valérya : or de question je ne suis pas la pour me faire payer mais plutôt pour te proposez un travaille
Eldios : un travaille ?
Valéry : sa va bientôt être la période des récolte et nous ne somme que deux, je te propose de travaillez toi et Firel avec nous a la ferme, sa sera bien payer vous serré nourri et logé
Eldios : tu est sérieuse tu engagerai un voleur ?
Valérya : j’engage deux orphelin sen repaire, mais après ses a toi de décider tu n’est pas obliger de dire oui, je serai a la ferme demain toute la journée si jamais sa t’intéresse
Valérya lui indiqua l’emplacement de la ferme et le chemin pour y accéder avant de partir, laissent le jeune homme perplexe. Et puis finalement le lendemain alors que le soleil venais juste de se levez et que Valérya préparais les chevaux pour le champ, les deux garçon arrivèrent avec leur quelle que affaire sur le dos et un regard déterminez. Valérya eu un léger sourire, car pour la première fois elle avais l’impression d’aidez quelqu’un qui en avais besoin et sens avoir d’arrière pensez.