Je ne recherchais pas ton pardon

Chapitre 1 : Je ne recherchais pas ton pardon

Chapitre final

1342 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 08/11/2016 05:54

J'ignore ce qui m'attriste le plus à l'heure actuelle. 

Pour commencer, il y'a mes parents, que même les mots ne peuvent plus soigner. Je les comprends dans un sens, personne n'aimerait que son fils aîné signe l'arrêt de mort de son cadet... Enfin je ne peux pas vraiment dire que ces mots sonnent dans l'exactitude de cette phrase, parce que partout autour de moi, on me dis que je ne suis pas fautif, Que les resposables de cette pizzeria ont été jugés seul coupable pour leur machine defectueuse.

Bien, sûr, après tout c'est eux qui ont eux l'idée de mettre la tête d'un gamin dans la gueule d'un géant robot animé. Ne voient-ils dont pas que c'est moi l'assassin ?! Que c'est moi qui devrait être condamné à passer ma vie au trou, en dépit de celle que j'ai anéantie.

Mais il est de principe commun et universel qu'une sentence aussi cruelle ne puisse être attribué à un pauvre enfant non conscient de ce qu'il a fait... Oh que si je le sais ! J'ai tué mon propre frère ! Ce que je ne savais pas, c'était que j'allais prémediter involontairement cet "accident", j'avais décidé d'un commun accord de lui faire subir ça... ça m'amusait tellement de voir ses poils se hérisser chaque fois que nous entrions dans ce resto...

Maintenant, c'est une tristesse insupportable que je ressens quand je n'entends plus ses pleurs à travers la porte de sa chambre que je verrouillais pour le laisser livré seul avec ses "monstres".

Oh que oui, ça me faisait jubiler de le voir se débattre avec ses petits poings sans force tambouriner sur une porte qui ne s'ouvrirait uniquement que lorsque je l'aurais décidé, et cette façon que j'avais de l'humilier devant les autres qui m'aclamaient et me suivaient dans ma merveilleuse activité enfantine, le voir sursauter et se rouler en boule en pleurant me gratifiait d'un tel sentiment de supérioté au delà des masques de Fazz'bear que j'aimais arborer rien que pour pouvoir me moquer encore plus... Pourtant à aucun moment, je ne cherchais ton pardon. 

Je n'en avais pas envie, je voulais continuer de m'amuser, pourquoi vouloir s'excuser lorsque quelque chose vous amuse autant, en l'occurence, cet idée ne m'avais jamais traversé l'esprit.

Je ne réalisais toujours pas ce que je te faisais endurer, même lorsque tu fut contraint de monter dans cet ambulance, je te revoyais me supplier de ne pas te porter jusqu'a cette machine.Je pouvais encore entendre tes pleurnicheries, je voulais que celà ne soit qu'un rêve, que je puisse encore rire en voyant ta détresse. 

Mais depuis que ce bruit de dent de métal glaçant fracassant ton crâne, ce bruit auquel je ne pourrais trouver aucune comparaison, toute ma vision des choses s'en est retrouvé inversé et j'ai l'impression que mon coeur penche de l'autre côté de la balance.                                                                                                                                                                                

Toute cette culpabilité et cette profonde indignation qui me ronge de l'intérieur, ce tambourinement infernal de cette faute dont la mélodie purement instrumentale, composé de tes pleurs ce refrain précédant la mélopée d'un CRAC assoudissant s'associant en harmonie avec les battements de mon coeur.

Tu ne pourra jamais me pardonner pour tout ça, simplement parce que je n'aurais jamais plus l'occasion de te présenter d'excuses. A présent, je suis l'opprimé et toi tu obtiens le rôle du bourreau contre ton gré. Jusqu'au bout donc, je ne t'aurais apporté que des titres que tu n'a nullement recherché. J'ignore quel place tu occupe dans ce monde à présent, mais j'espère sincèrement que tu la trouvera là ou tu pourra t'amuser à ta guise. Passé cette nuit, les choses ne seront plus pareil, et je ne peux plus compter que sur mon ami imaginaire, purple, qui m'a murmuré que là ou était mon loisir se trouvait le tiens aussi, j'ignore de quoi il s'agit, mais j'espère qu'il ai raison et que tu es à présent heureux là ou tu te trouve.*

Je n'ai pas de le droit de m'appitoyer sur nos sorts respectifs, car j'en suis l'auteur, les autres m'ont laissé tomber dès qu'ils n'avaient plus de quoi se divertir, alors que tu ne te plaignais jamais d'être leur phénomène de foire. Et dans tout les cas, je ne recherchais pas ton pardon.

 

 

 

 

 

 

 

*Oh mon dieu si il savait x) 

 

Salut tout le monde brève présentation pour terminer ce chapitre parce qu'il faut que vous en sachiez un peu plus sur moi pour en déduire vers quels thèmes vont s'orienter mes écrits. Pour faire bref j'ai 18 ans et en pleine première année de licence histoire é.è comme la première année c'est l'antiquité grecque ça manquera pas d'inspiration pour ce genre de fanfic x)      Ensuite pour résumer quelques de mes thèmes favoris : Harry Potter, Percy Jackson, Lovecraft (mais comptez pas trop dessus pour le moment), Dc comics (désolé les marvellers, mais je me limite à deadpool pour la concurrence), en terme de jeu vidéos je ne partirais que dans Halo (oui j'ai pas de vie et alors ?) Et sinon ce sera surement des one shot tirés de manga quand l'envie m'en prendra ou même de films de jeux de plateaux etc etc ça peut venir aussi vite que ça peut s'en aller, et manque d'organisation oblige, je ne préfère pas aborder un récit de plusieurs chapitres.

Enfin bref j'espère que la fic vous as plus et qu'elle vous donnera encore plus envie d'en lire plus (je sais pas si en fin de chapitre il s'agit d'une théorie que j'ai inventé ou d'une théorie existante, j'ai juste trouvé intéressant de mettre l'opposition entre golden freddy qui sert d'ami imaginare à notre cher protagoniste du 4e jeu avec Purple guy qui lui influencerait plutôt le grand frère) J'aime les théories :p

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