Les loups-garous de Teyvat
Une nuit d'été, Elzer travailla sur ses documents, mais il n'arrive pas à faire ce qu'il veut dans ses recherches. Soudain, Diluc arriva et dit :
– Bien le bonjour, Elzer.
– Bien le bonjour, Monseigneur. Alors, qu'en est-il avec votre frère ? lui répondit le secrétaire.
– Il est en train de réfléchir à un plan pour prendre au piège les voleurs.
– Au fait, d'ordinaire, votre frère vous accompagne. Où est-il ce soir ? Je ne le vois nulle part.
– Il est parti discuter avec Timmy.
– Ah, le jeune garçon aux pigeons ?
– Oui, c'est bien lui.
– Et pourquoi donc Messire Kaeya discuterait-il avec ce jeune garçon ?
– Il faudrait que vous sachiez que mon frère lui a sauvé la vie.
– Ah, je comprends mieux. Messire Kaeya est décidément noble de cœur.
Pendant ce temps, une silhouette familière est en route pour Mondstadt. Il avait les cheveux longs et noirs, avec des bouts orangés, et portait un long manteau à cravate. Ses yeux étaient dorés, aux pupilles cerclées d'ambre. Et il répondait au nom de Zhongli.
– Maître, maître ! Vous voici enfin... Pouf... Voici une missive de la part de l'Archon Anémo.
– Bien, donnez-la moi, s'il vous plaît.
– Bien.
Zhongli ouvrit l'enveloppe, et lut la lettre qu'elle contenait :
"Bonjour, Morax, que devient notre cher Archon Géo ? N'oublie pas de venir à Mondstadt, car il y a tous les Mondstadtois qui sont venus célébrer mon anniversaire. Les autres Archons sont venus aussi.
Signé : Barbatos, mais tu peux m'appeler Venti. "
Aussitôt, il prépara ses affaires pour partir en direction de Mondstadt.
Une nuit, alors qu'Elzer finit de reclasser ses documents, quelqu'un frappa à la porte.
– Qui est là ? demanda le jeune secrétaire
– C'est Kaeya, répondit une voix familière.
– Ah, entrez, Sire Loup-Garou.
– Ne m'appelez pas comme ça ! fit Kaeya, en entrant.
– N'empêche que vous êtes une créature de la nuit, et que tel que vous êtes, vous serez redouté par la plupart des humains, Monseigneur. Je dis ça pour vous protéger.
Sur le coup, les oreilles de Kaeya devinrent tombantes. Mais tout à coup, il huma l'air avec sa truffe, d'un air inquiet.
– Oh là, des Pilleurs de trésor ! Elzer, restez là, je m'occupe du reste. Le soleil ne se lèvera pas avant une heure, j'ai le temps.
– Bien compris, Votre Grâce.
Et il partit pour éliminer les ennemis.
– Ah, voici des pions d'échecs. Qui sera la reine, dans l'échiquier ?
– Moi, dit Kaeya, sortant de la maison.
– M-m-m-m-mais... UN LOUP-GAROU !!! s'écrièrent les Pilleurs de trésor.
Quelques instants plus tard, les Pilleurs gisaient au sol, neutralisés.
– Parfait, vous m'avez reconnu... dit Kaeya d'un ton sarcastique. Arf, j'ai oublié que c'était déjà le matin... Argh !!!
En effet, le soleil venait d'exhiber ses premiers rayons. Pendant ce temps, Elzer continua de travailler, ne se souciant pas des douleurs que subissait Kaeya lors de sa retransformation en humain.
Diluc, qui passait par là, lui disait :
– Alors, mon frère ? Pourquoi es-tu si crispé comme ça ?
– Haf... haf... haf... Sache que... haf... c'est déjà le... haf... jour... dit Kaeya, essoufflé, les gouttes de sueur coulant sur son visage et son corps