Il n'est pas encore mort

Chapitre 13 : Avez-vous vu le bol de sucre ?

4891 mots, Catégorie: T

Dernière mise à jour 13/11/2019 17:13


  Avant même qu'il ne le réalise, Harry était de retour sur le chemin pour aller à Poudlard. Harry remarqua que beaucoup de gens étaient très heureux de le voir, surtout les filles. Pendant le trajet en train, ne compta pas moins de vingt étudiantes (sans compter Hermione ou Luna) qui se sont arrêtaient dans à leur compartiment simplement pour lui parler. Ron n'était pas présent avec eux dans leurs compartiment ; il semblait qu'il était toujours en colère contre Harry sans raison valable (bien sûr, personne ne se souciait vraiment de lui).


  Le festin de la soirée fut intéressant. Les gobelins de Gringotts avait ordonner à Dumbledore de remettre le grimoire des Potter à Harry aux yeux de tout les élèves et professeurs dans la Grande Salle avec les aveux. Inutile de dire qu'il y a eu beaucoup de personnes choqués.


  Cette nuit-là, Harry décida de lire le grimoire car il s'agissait du résumé ultime des connaissances de sa famille. Le volume relié en cuir avait une serrure complexe comportant un petit morceau pointu afin que le lecteur puisse confirmer qu'il ou elle était un Potter à l'aide du sang. Sur la couverture se trouvait l'inscription :


Credo Quia Impossible Est.


  Telle était la noble devise des Potter qui une traduit, voulais dire :


Je le crois parce que c'est impossible


  Donnant au livre la goutte de sang requise pour le déverrouiller, Harry lu la première page, qui décrivait en détail comment la famille Potter avait été créée.


De toute les familles magiques en Grande-Bretagne, aucune n'est plus âgé ni à eu autant d'impact que la famille Potter. Notre Histoire commença dans la Judée occupée par les Romains avec la naissance d'un jeune prophète ; ce prophète s'appelait Brian Cohen...


  Il était très tard lorsque Harry parvint à finir l'histoire de la famille Potter.


... Et donc, après la crucification de Brian, sa maîtresse Judih, découvrit qu'elle était enceinte. Elle donna naissance à un fils, Michael Cohen, qui voyagea plus tard avec, Joseph d'Arimathie en Grande-Bretagne afin de pouvoir cacher le Saint Graal. Il épousa Gladys, fille d'un seigneur Britannique, et leurs filles, Anna Cohen, épousa un marchand romain nommé Gaius Potus Maximus, négociant en vins. C'est ainsi que commença la famille Potter, provenant de l'ancien nom Potus qui plus tard serait dérivé en Potter.


  Fermant le livre d'un coup sec, Harry réalisa qu'il venait peut-être d'apprendre plus sur l'histoire de sa famille qu'il ne l'aurait souhaiter. Il supposa que le vieil adage était vrai :


Faites attention à ne pas secouer l'arbre généalogique, sinon les singes vont tomber.


  Après son jogging matinal, Harry se dirigea vers la Grande Salle pour prendre son petit-déjeuner, il ne fut pas surpris de voir un grand nombre de fille le regarder, la plupart avaient assisté au bal du Nouvel An qu'il avait organiser.


  Il s'assit à côté de Hermione et en face de Neville et il commença remplir dans son assiette. Soudain, il ressentit une gêne dans la force.


- Tu ne pouvais pas juste te montrer, n'est-ce pas Harry ? dit Ronald Weasley. Tu n'est pas satisfait d'être le saleté de garçon qui a survécu, tu dois aussi faire ça !


- Faire quoi Weasley ? répondit froidement Harry.


- Tu sais très bien quoi !


- Mr Weasley, dit la voix calme mais irritée du professeur Babbling. Veuillez cesser cette interruption. Vous vous comportez de façon inacceptable ceci et intolérable, encore moins pour un Gryffondor.


- Qui es-tu pour me le dire ? rétorqua Ron.


- Je suis votre chef de maison, Mr Weasley.


- Ouais, d'accord, renifla t-il. C'est McGonagall qui est à la tête de Gryffondor.


- Je crains que vous ne vous trompez, Mr Weasley. Si vous avez prêté attention à la dernière réunion de chambre, vous auriez su que la directrice adjointe ma laisser la direction des Gryffondors.


  Ron la fixa d'un air absent.


- Je retire vingt point à Gryffondor pour votre manque de respect et si vous n'arrêtez pas de perturber le petit-déjeuner vous aurez une retenu. Bonne journée.


  Le professeur de Rune se dirigea vers la table des professeurs, laissant derrière elle un Ronald Weasley en colère. Il lança un dernier regard acerbe à Harry avant de s'éloigner pour remplir son assiette.


  Il fut bientôt l'heure de commencer les cours.


  La colère de Ron ne fit qu'augmenter lorsque Harry lorsque Harry présenta son nouveau Éclair de Feu. Alors que Harry rejoignait le reste de l'équipe de Gryffondor pour s'entraîner, tout les yeux étaient rivés sur le magnifique balais. Dubois était euphorique, l'idée d'avoir un Éclair de Feu dans son équipe le rendez joyeux.


- Cette coupe et pratiquement nôtre, répéta t-il pendant toute sa présentation.


  Le fait que Harry possédait désormais un Éclair de Feu avait atteint toutes les oreilles de l'école avant l'heure du déjeuner. Harry trouva cette attention plutôt gênante.


  En plus du Quidditch, le Club de Défense reprenait aussi. Stearns et Lupin demandèrent aux élèves de se mettre en équipes et de s'envoyer de petit sortilèges pour simuler une bataille. Stearns avait adapté l'idée à partir d'un jeu Moldu appeler : Laser Tag. Autant dire que les étudiants furent ravis de la séance.


  Les cours d'Occlumencie de Harry et Hermione se passaient bien ils avaient même amené d'autres étudiants comme Neville et Luna, qui avaient besoin de protéger leur esprit plus que jamais maintenant qu'ils savaient la vérité (bien que Stearns ait dit que Luna n'en avait pas besoin, vue que ces pensée semblait être partout, cela donnait donc une grande migraine). Les potions avec Mr Preston étaient devenues plus intéressantes que jamais. Preston décida de demander à ces étudiants de choisir les potions qu'ils voulaient préparer, tant que bien sûr cela était dans la limite de leurs capacités.


  En effet, tout était silencieux pendant longtemps. Enfin, jusqu'à l'arrivée d'un certains Briseur de Sort s'arrête à l'école.


- Bill ! Ginny se précipita vers son grand frère préféré. Que fais-tu ici ? demanda t-elle.


- Je suis ici pour fouiller la Chambre des Secrets, répondit Bill. Il semble que Harry Potter soit intéressé de savoir s'il y a des pièces cachées, Gringotts ma donc envoyé pour m'assurer qu'il n'y a pas de malédiction.


À peine Bille prononça le nom de Harry Potter que Ron était de mauvaise humeur.


- Pourquoi est-ce que tout ce qui se passe ici à un rapport avec Harry ? cassa Ron.


- Ron, dit Percy. Les affaires de Harry sont les siennes. Le fait que Bill soit venu pour le voir ne te donne pas une raison d'être en colère.


- Oui, Ronnikins, ajouta Fred.


- Vous et Harry êtes censés être... continua George.


- Bons amis.


- Nous étions amis, mais il a fallut qu'il commence à se montrer, répondit Ron.


   Alors que Harry s'approcha, Ron partit.


- Tu dois être Bill, dit Harry alors qu'ils se serrèrent la mains. Gringotts ma envoyé une lettre pour me dire qu'un Briseur de Sort arriverait.


- Enchanté, Mr Potter, répondit Bill. J'ai entendu parler de vous, évidement.


- Et vos frères et sœur m'ont aussi parler de vous. Bien, ont y vas ?


- Certainement.


  Harry conduisit Bill vers l'entrée de la Chambre des Secrets.


- Je ne suis pas sûr de pouvoir briser tout les sortilèges, dit Bill. S'ils sont trop forts, je devrais faire venir des renforts.


- S'il y a des malédictions, répondit Harry. Il et probable que sa soit en Fourchelang. Je pourrais donc aider.


- Au fait, Mr Potter. Gringotts m'a dit qu'ils avaient trouvé un autre 《dispositif secret》que vous cherchiez. Ils ont avoir trouver une cabane à Little Hangleton qui dégage beaucoup de magie noire, mais les défenses ne peuvent êtres dissipés facilement. Ils soupçonnent qu'il faut un Fourchelang pour les traverser, ils m'ont demandé si vous serez prêt à nous aider.


- Bien sûr. Quand avez vous besoin de moi ?


- Vers la fin de la semaine prochaine. Les autres continuent à analyser les protections pour savoir ce que nous risqueront. Oh, et le directeur Ragnok m'a demandé de vous avertir que votre rituel pour vos 《appareils secrets》sera prêt après Pâques.


- Excellent.


  Harry et Bill se dirigèrent vers la statue de la chambre. Harry prononça l'incantation pour ouvrir la bouche de la statue et Bill invoqua une échelle de corde. Il a ensuite demandé de attendre en bas pendant qu'il vérifiait les malédiction présentes. Ils y avaient pas moins qu'une cinquantaine de mécanismes de défense différents. De toute évidence, Serpentard était un homme paranoïaque.


  Bill informa Harry qu'il reviendrais demain avec une équipe pour s'occuper des malédictions, il demanda aussi à Harry son aide pour les sorts en Fourchelang.


  Pendant ce temps, Fay était sur le chemin du retour dans la salle commune commune de Gryffondor, quand elle entendit soudain des éclats de rire, et pas du genre gentil. En tournant un coin, elle vit Cho Chang et sa clique ; elles venaient clairement de frapper une autre fille et elles étaient en train de fouiller le sac de ladite fille.


- Looney, ricana Cho. Tu aurais vraiment du apprendre depuis le temps que les monstres dans ton genre sont la honte de Serdaigle.


  Les yeux de Fay rétrécirent. S'il y avait une chose qu'elle ne pouvait pas supporter, c'était les tyrans. A l'école primaire, elle avait été systématiquement victime de harcèlement.


  Fay regarda de plus près et vit que Looney n'était autre que Luna Lovegood. Maintenant, cela la contrariait vraiment. Elle trouvait Luna plutôt excentrique, mais la petite fille blonde l'avait vraiment plus lorsqu'elle était au Club de Défense.


- Laisse la tranquille, Chang, grogna Fay.


  Cho et Marietta se tournèrent.


- Oh, bonjour, Dunbar, dit Cho avec supériorité.


- Où devons nous dire Dumb-bar ? ajouta Marietta.


  Les deux ricanèrent.


  Fay leva un sourcil, se demandant silencieusement comment ces deux idiote avait put aller à Serdaigle.


- Nous ne faisons que donner une leçon à Looney, continua Cho. Je veux juste m'assurer qu'elle n'est pas désirée.


  Les yeux bleus de Fay lancèrent des éclair.


- Oh, mais il y a bien quelqu'un qui n'est pas désiré, déclara Fay. Mais ce n'est pas Luna.


- Qu'est-ce que tu vas faire ? plaisanta Marietta.


  Fay eut un sourire et ces nerfs étaient à bout. Vous voyez, ce n'est jamais une bonne idée de faire chier un véritable Gryffondor.


  Elle tira sa baguette avec une telle vitesse que Cho et Marietta ne purent cligner des yeux, il petit CRACK lui indiqua qu'elle avait réussi. Marietta était devenue un campagnol plutôt laid elle hurla d'un cris strident quand elle réalisa ce qui c'était passer, pour Cho ses cheveux avait prit une couleur vert vif avec une coupe afro, elles avaient aussi un jolie maquillage de clowns avec un costume de fée.


  Elle rangea sa baguette en essayant de ne pas penser au nombre de détentions qu'elle recevrait. Fay se tourna vers Luna et l'aida la Serdaigle aux yeux d'argent à se relever.


- Merci pour ça, Fay, dit Luna. Je savais que tu était le meilleur choix.


- Le meilleur choix pourquoi ? demanda Fay.


- Je n'ai pas le droit de te le dire, pour l'instant. Mais ne t'inquiète pas, toi et les autres le découvrirez assez tôt.


  Luna prit son sac, remercia à nouveau Fay et partit. Fay regarda la jeune fille, ne comprenant toujours pas ce qu'elle voulait dire.


  Le lendemain, Bill revint avec une équipe de Briseur de Sort. Harry les reconduisit dans la Chambre des Secrets, et après plusieurs longues heures de travail, ils réussirent finalement à entrer dans une salle secrète. Cela ressembler une vieil salle d'études privée. Des piles de livres et montagnes de notes et divers paperasse étaient entasser dans tout les coins. Harry examina plusieurs textes étranges, cela semblaient être des moyen d'améliorer les boucliers d'Occlumencie et des guides d'utilisation sur la magie mentale. Mais ce qui l'intéressa le plus, c'était les journaux de Serpentard. Les journaux révélèrent que Serpentard, contrairement aux croyance populaire, n'était pas du tout un suprématiste de sang-pur. Serpentard était simplement réticent à ce que les enfants moldue étudie à la l'école, car à cause des chasses aux sorcières, il pensait que les moldue se servirait de leur enfant magique pour espionner l'école et d'amener d'autres sorciers et sorcières à la mort. Oui, Serpentard avait une forte aversion pour les Moldus, mais c'était parc que sa famille avait périt par celle-ci. Serpentard mentionna également dans ses journaux une chose très intéressantes à propos de son héritage.


  Un nouvel article dans le Chicaneur publia peu de temps après, une photo de Harry et des Briseur de Sort dans la pièce secrète de Serpentard, avec pour titre :




La chambre secrète de la Chambre des Secrets

Par : Xenophilius Lovegood


La semaine dernière, une enquête fut ouverte à la demande de Mr Harry James Potter pour savoir si la légendaire Chambre des Secrets avait bien plus à offrir que ce que nous croyons. Au début, on pensait que la chambre ne contenait que le monstre de Serpentard, le basilic qui terrorisa Poudlard l'année dernière, mais ce qu'il découvrit était vraiment surprenant. Après le désenchantement d'un grand nombre de sorts et de protection placés dans la tête de la statue géante où le basilic avait été caché, une pièce secrète fut découverte. À l'intérieur se trouvaient toutes les recherches privées de Salazar Serpentard.


Mais les surprises ne s'arrêtèrent pas là. Des journaux écrit par Serpentard lui-même, qui décrivait comment il avait finit par détester les Moldus ; sa famille fut pratiquement exterminée lors des chasses aux sorcières du Moyen âge, et sa chère amie Helga Poufsouffle, fut condamné à treize ans d'emprisonnement et de torture, jusqu'à ce que Serpentard lui-même la sauve. Le fameux combat entre Serpentard et Gryffondor qui aurait causé la création de la Chambre n'était pas, comme la plupart des gens le pensaient, dû à l'acceptation des étudiants né-moldus ; en fait, il n'y eut pas de combat du tout. Serpentard avait quitté Poudlard parce qu'il avait décidé de prendre sa retraite dans l'enseignement pour pouvoir passer plus de temps avec sa famille.


En outre, la prétendu haine de Serpentard contre les né-moldus est complètement dénué de fondement. Serpentard était plus inquiet pour les étudiants né-moldus car il pensait que leurs familles pourraient les forcer à espionner l'école, afin que les chasseurs de sorcières puissent traquer et tuer plus de sorciers et de sorcières. Salazar Serpentard lui-même n'était même pas un sang-pur comme l'ont présumé la plupart des gens ; il était techniquement un sang-mêlé. Le père de Serpentard, Lord Gisecric Serpentard, avait épousé une jeune femme nommé Orla, une irlandaise. Le père de Orla était un né-moldu qui avait épousé un être connu sous le nom de Serpentine Lamia (une créature à la silhouette changeante, qui sous sa véritable forme, prend l'apparence d'une belle femme à l'apparence de serpent à partir de la taille). Fourchelang, la capacité de parler au serpents ne fut pas le résultat de magie noire, mais fut un héritage de famille. Donc, l'affirmation du sang-pur de Serpentard et que seul les sang-pur sont admis dans sa maison est fausse.


Voici un extrait de la page 299 du journal de Serpentard de l'année 998 qui montre le véritable Salazar Serpentard.


Deux grande foule de né-Moldus cette année. C'est vraiment une aubaine que Godric ait enchanté ce chapeau pour trier les étudiants pour nous car beaucoup furent envoyer dans ma maison. Au cours de la cérémonie, j'ai bien observer comment les yeux de mon fils aîné s'attardaient sur une de ses camarades, c'est la fille d'un jeune agriculteur ; mon père se retournerait sûrement dans sa tombe s'il savait que mon héritier se marier avec une fille de paysans, mais moi je n'ai pas ce genre de scrupule. Godric avait prit trop de bière au dîner, comme il est souvent enclin à le faire, et je fut le seul à pouvoir le ramener dans ses appartements, car il est connu pour devenir violent lorsqu'il est ivre. L'année dernière, lors de la fêtes de bienvenu, Godric noirci mon œil gauche lors d'une de ses crises ; bien qu'il ait offert une pénitence sincère après, cela n'a eu aucun effet sur cette mauvaise habitude.


Un malheur tomba dans notre noble rassemblement cette nuit là. La sœur de Rowena, Reagan, lui a envoyé un hibou l'informant que son mari, s'était échapper avec une prostituée. La chère femme était partis dans une de ses fureursLa jeune Héléna fut bouleverser par l'abandon de son père, j'ai dut donner à l'enfant un projet apaisant. Helga surveille actuellement Héléna et son petit frère Obéron, tout comme Rowena. Je crains que cette nouvelle ne provoque des effets indésirables sur la santé de Rowena ; la dernière chose que nous avons besoin est qu'elle redevienne proie à la consommation ; la magie peut être puissante, mais elle ne peut guérir tout ce qui fait souffrir.


C'était un bref aperçu de la vie d'un homme qui fut détesté pendant des siècles. Le vrai Salazar Serpentard était un homme gentil et humble qui ne portait aucun jugement sur l'origine des personnes. Nous avons également été informés que le propriétaire légitime de la collection de Serpentard, à déclaré que des copies intégrales des journaux seraient publiées afin que le monde magique connaisse la véritable histoire des Fondateurs de Poudlard.




  Albus Dumbledore déposa la copie du Chicaneur sur son bureau. C'était vraiment révélateur que Salazar Serpentard n'était pas comme les livres d'histoires le décrivais. Cela porterais un gros coup sûr la propagande des sang-pur. Mais la plus grande nouvelle qui choqua le vieil homme, était que quelqu'un d'autre était légitimement l'héritier de Serpentard. Dumbledore remarqua même que les sceaux des fondateurs avaient disparu de sa robe du Magenmagot ; cela signifiait qu'il ne faisait plus partie du Magenmagot.

Dumbledore savait que le seul descendant de Serpentard était Voldemort, alors qui pouvait prétendre la légitimité des des journaux de Serpentard ?


  L'article sur Serpentard avait fait son travail. Partout a Poudlard, les étudiants de Serpentard ne parlaient que de ce qu'ils avaient découverts sur le fondateur de leurs précieuses maison. Drago Malefoy, cependant, était inhabituellement silencieux ; il regardait le sol d'un air abattu, c'était comme si il venait de subir la pire des trahisons.


  La réaction des autres maison fut surprenante, ils sembleraient que les Gryffondor, Serdaigle et les Poufsouffle décidèrent de s'ouvrir un peu plus à leur quatrième maison. On vit plusieurs filles de Serpentard en train d'étudier avec des Serdaigles, un groupe de garçons de Gryffondor en train de plaisanter avec des garçons de Serpentard. Harry remarqua même que Cedric Diggory accompagna une fille de Serpentard, Justine Max, à Pré-au-Lard.


  Le seule personne qui ne semblé pas prendre bien la nouvelle était Ronald Weasley. Ron, lui, semblait avoir compris que tout cela n'était qu'une conspiration pour que les gens fassent confiance aux serpents dangereux et sales et que Harry avait été lavé le cerveau par des piqûres de magies noires selon lui. Apparemment, le fait que son propre frère ait été impliqué dans cette découverte était sortie de la tête de Ron.


  Le week-end suivant, Bill revint chercher Harry pour l'expédition dans la cabane des Gaunt à Little Hangleton. Harry avait prévenu le professeur Babbling et le professeur McGonagall quelques jours plus tôt. Lorsque Harry et Bill sortirent des limites de l'école ils Transplanèrent (enfin Bill car Harry n'a pas son permis même si il savais Transplaner).


- Enchanté, Harry, dit Maynard, un briseur de sort.


- Nous avons analyser toute les protections présente ici, ajouta le Briseur de Sort Galahad. Nous aurons besoin que vous utilisez Fourchelang pour nous faire entrer. Après cela... hé bien, nous ne somme pas tout à fait sûr de ce que nous allons rencontrer.


  Harry acquiesça brièvement et se tourna vers la maison. Il se demanda comment Dumbledore était rentré sans utiliser Fourchelang dans l'ancienne chronologie, à son avis, même si les protections sont très puissantes elles pouvaient être briser, mais pas facilement.


  Harry regarda la porte et réfléchit. Si j'étais un mégalomane diabolique et imbu de lui-même, quel serait mon mot de passe ?


Ouvrir à Lord Voldemort, héritier de Salazar Serpentard, dit Harry en Fourchelang.


- Excellent, Harry, dit Bill. Les protections se sont effondrées quand vous avez parlez. Maintenant, que tout le monde marche en file indienne.


  Le groupe entra dans la maison délabrée. Harry remarqua que la vieil maison était encore plus délabré que la dernière fois qu'il l'avait vu.


- Regardez ! s'exclama Maynard.


  Il désigna un mur où était graver une série d'écrits étrange.


- Ça dit quoi ? demanda Bill. Quelle langue est-ce ?


- Cela doit être en Fourchelang, déclara Maynard. Harry, lisez.


  Harry s'avança et déchiffra.


- Alors cela dit : A tout ceux qui entrent ici, sachez que votre recherche ne sera fructueuse que si vous réussissez à vous échapper du... Argh.


- Quoi ?


- Le... Argh.


- Mais qu'est-ce que c'est ? demanda l'un des Briseur de Sort.


  Harry haussa les épaules.


- C'est ce qui est écrit sur le mur.


Les Briseurs de Sorts regardèrent autour d'eux l'air confus.


- N'y a t-il pas un St. Argh à Cornwall ? demanda Lance, un autre Briseur de Sort.


- Non, c'est St. Ives, corrigea Bill.


- Ooooh ! s'exclama un autre des Briseurs de Sorts.


- Non, c'est Argh, dit Lance.


- Non, je crois que c'est un ooooh, de surprise.


- Dans ce qu'a tu ne devrais pas plutôt dire HAAAA.


- Oh, oui, HAAAA !


- OOOH ! cria Bill, tout le monde se retourna.


  Lorsqu'ils se retournèrent, il firent face à un monstre géant.


- C'est la légendaire bête noire... Arrrghhh ! s'exclama Maynard alors que la bête l'attrapa et s'apprêtait à le dévorer.


- FUYEZ ! cria Bill.


  Tout le monde s'exécuta. Certains se mirent à couvert derrière des tables, mais en vain.


  L'horrible bête noire s'avança, tout espoir de fuite disparue dans les yeux de Harry et les Briseurs de Sorts. Lorsque soudainement, l'auteur subi une crise cardiaque fatale après avoir mangé les restes de nourriture chinoise de la nuit dernière... (Urk!)


Le danger n'était plus ; la quête du Saint Gra... je veux dire, des Horcruxes pouvait continuer.


  Le Briseur de Malédiction Maynard tomba à terre, la ou l'horrible monstre se tenait.


- Putain de merde, j'ai vraiment besoin d'un nouveau travail, dit-il chancelant.


  La bête maintenant partie, Harry et les Briseur de Sorts se mirent au travail. Finalement, ils sentirent des traces de magie noires, particulièrement puissantes, sous le plancher. C'est la qu'ils trouvèrent la bague. Ils manipulèrent l'objet avec précaution, pour éviter de recevoir une malédiction de dégénérescence, et après une bonne demi-heure de travail, ils réussirent à sécurisée dans une petite boîte.


  Une fois sortie, Harry fit ses adieux aux Briseurs de Sorts, lorsqu'il réalisa qu'il avait oublié quelque chose d'important. Il devait encore trouver quelque chose pour gâcher la résurrection de Voldemort et il savait quoi remplacer pour l'os du père. Il demanda à Bill de l'attendre avant de partir rapidement pour le cimetière.


  Avec un sourire narquois sur le visage, alors qu'il revenait après avoir échanger les os, Harry se demanda à quelle point le rituel de renaissance de Voldemort pouvait être gâché.




  Peut de temps après, ce fut le moment du match de Gryffondor contre Serdaigle. Les deux équipes marchèrent sur le terrains, Harry remarqua que les cheveux de Cho Chang étaient toujours légèrement verdâtre (Luna lui avait raconter ce que Fay avait fait), ce qui gâcha l'effet du clin d'œil coquin que Cho envoya à Harry. De toute façon il n'allait pas s'intéresser à elle une seconde fois, après ce qu'elle avait fait à Luna...


  Le match se déroula pratiquement de la même façon, sauf que Drago et ses sbires n'avaient pas tenté de saboter le match avec leurs imitations de Détraqueur.


  La victoire fut aussi douce que la dernière fois, et la fête dans la tour de Gryffondor dura encore plus longtemps. Quand le professeur Babbling entra pour dire aux étudiants qu'ils devaient allaient se coucher, elle fut surprise de voir Sirius (qui était venus assister au match avant d'être invité à la fête), qui légèrement ivre, jeta son bras autour de sa taille et l'attira pour l'embrasser devant tout les Gryffondors, qui sifflèrent et applaudirent devant le spectacle.


  Quand Sirius se retira finalement, le professeur Babbling était toute rouge et avait des teintes rose sur les joues.


- Et bien, je suppose que vous pouvez restez debout un peu plus longtemps, dit-elle.

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