Lady of the shadows

Chapitre 20 : La vérité, la famille et l’amour…

1862 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 09/11/2016 07:51

CHAPITRE 20 : La vérité, la famille et l’amour…

Septembre 1972, commença et Thomas entra dans sa deuxième année, ses camarades James, Sirius, Remus, Peter, Lily et Severus également. Après le cours de Défense contre les forces du mal, Lily et Thomas se trouvaient dans la bibliothèque pour faire leur devoirs, et les soirs dans la salle commune, depuis leur première année, Lily lui parlait des moldus et de leur monde et Thomas, lui expliquait le monde magique et certains de ses mystères.

 

Cet après-midi là, alors qu’ils travaillaient leurs devoirs, Dumbledore entra dans la bibliothèque.

- Thomas, tu veux bien me suivre dans mon bureau, s’il te plait, demanda la directeur dans un sourire.

- Oui, j’arrive, lui répondit-il, je reviens Lily attend-moi, fit-il à la jeune fille.

- D’accord, répondit Lily

 

Thomas suivit le directeur, celui-ci lui demandait comment se passaient les cours, le jeune garçon répondit très bien. Ils arrivèrent devant la gargouille.

- Dragées, fit le professeur Dumbledore.

La Gargouille s’écarta, et ils montèrent. Dans le bureau, Alberoth attendait son frère et son fils Thomas.

- Papa, fit le jeune garçon surpris.

- Bonjour Thomas, nous avons quelque chose à te dire, veux-tu t’asseoir ? fit le frère d’Albus.

- Que se passe-t-il ? demanda Thomas en s’asseyant, il regarda Alberoth assis à ses côtés et Albus en face de lui.

- Tu sais que je ne suis pas ton père, commença Alberoth.

- Oui, tu me la dit, il y a longtemps ! répondit e jeune garçon.

- C’est que je ne t’ai pas tout dit…

- Ah ! Qu’y a-t-il d’autre ? interrogea Thomas.

- Tu as été abandonné devant la porte de la tête du sanglier, et on ignore par qui, expliqua Dumbledore dans un sourire bien veillant pour le rassurer.

- De toute façon, cela ne change rien, vous êtes ma famille pour toujours, même si j’aimerais savoir qui sont mes vrais parents, fit le jeune garçon dans un sourire.

- Nous pourrions sans doute le découvrir, dit Dumbledore les yeux pétillants de joie, je ferais tout ce que je peux pour savoir, promit-il.

 

Le jeune Thomas quitta le bureau du directeur et alla directement à la bibliothèque retrouver Lily. Cette dernière était en compagnie de Rogue. Il s’asseya à leur côté et Severus partit presque aussitôt.

- Qu’est ce que j’ai fait ? demanda Thomas surpris.

- Il n’aime pas les Gryffondors, répondit Lily

- Ah !

- Au fait, le directeur, il te voulait quoi ?

Thomas la regarda un moment, puis lui expliqua tout sur son abandon et adoption par les Dumbledore. Il vit dans les yeux de la jeune fille de la compassion et de la tristesse.

- Je t’aiderais à les trouver si tu veux, proposa la jeune fille.

- Merci répondit Thomas dans un sourire.

 

Lucius Malefoy, Bellatrix Lestrange, Igor Karkaroff et Dolohov Antonin attaquèrent un village moldu, il s’agissait de la première mission des trois nouvelles recrues. Détruire quelques infâmes moldus, un passe-temps agréable pour les mangemorts.

Un membre de l’ordre au hasard, il lança son patrons pour signaler un danger, et se rua dans la bagarre. Mais seul contre quatre mangemorts, il ne fit pas le poids, il fut torturé, Lucius voulait le tuer, mais Antonin l’en empêcha. Ce serait un cadeau pour Lady. Dolohov le stupéfixia et ils transplanèrent à l’arrivée des aux membres de l’Ordre.

 

Lady, assise sur un fauteuil, dans la bibliothèque, lisait un livre quand Bellatrix entra dans la pièce et avança d’un pas rapide vers elle.

- Lady, nous sommes revenus du village, nous avons ramené un membre de l’ordre. Dolohov vous la garder.

- Ah ! Conduis-moi à lui.

Bellatrix ouvrit la porte et marcha le long d’un couloir suivit par Hermione. La jeune Lestrange ressemblait à sa mère Druella, on ne pouvait le nier. Lady repensa à ses deux amis, Dorea et Druella qu’elle n’avait pas revu depuis plusieurs années.. Dorea ne s’était jamais joint à Voldemort, ni à Dumbledore. Quand à Druella, elle avait passé ses années à élever ses trios filles dont une marchait devant elle.

- Qui êtes-vous pour le seigneur des ténèbres ? demanda Bellatrix soudainement.

- Pardon ! réplique Lady

- Non, excusez mon insolence, Lady ! fit la jeune Lestrange en baissant la tête.

- Oui, conduisez-moi voulez-vous ! dit Hermione.

- Oui, tout de suite !

 

Elles arrivèrent, Voldemort était là, le membre de ‘ordre était encore stupèfixié et Dolohov se faisait torturé. Lady s’avança vers Tom et plaça sa main sur celle de Voldemort qui tenait la baguette et murmura à son oreille :

- C’était un cadeau pour moi, je peux l’avoir, fit Hermione dans un souffle avec les yeux pétillants et un beau sourire.

Voldemort leva le « Doloris » et Dolohov se remit à genoux et implora son maître.

- Pardon, Pardon, Maître.

- Ca ira, laissez-nous seuls, ordonna Voldemort, et apporter cet homme dans une cellule.

 

Bellatrix et Antonin quittèrent la pièce et faisait ce que Voldemort avait ordonné.

Tom posa son regard sur Hermione, elle était magnifique, il sentit un désir naître en lui. Il s’approcha d’elle et la prit par les épaules et écrasa ses lèvres sur celle de Lady. Cette dernière approfondit le baiser et ils firent l’amour à même le sol.

- Il faut que j’aille voir de prisonnier ! fit-elle en se rhabillant.

- Tu as hâte de jouer, Lady, dit Voldemort en attrapant une des longues mèches de cheveux et humant le parfum qu’ils dégageaient.

- Oui, répondit-elle en se levant.

Voldemort fit de même et Lady quitta la pièce d’un pas souple. Elle alla vers les cellules et trouva son « jouet ». Le sort de Stupèfixion avait été levé, il était assis sur une pierre, la tête dans les mains. La Lady entre dans la pièce sans bruit.

- Vous pleurez ? demanda-t-elle.

Le membre de l’ordre sursauta et vit Lady. Elle semblait fragile, avec sa petite taille, si il était debout, il pourrait la dominer facilement, mais en même temps, on pouvait sentir une grande puissance émanait de son corps. Lady regarda le membre de l’ordre, elle força l’accès à son esprit, il était doué en occlumancie, mais Lady n’abandonne pas, elle le lâcha l’emprise.

- Vous avez peur ? demanda-t-elle à nouveau.

- Non, s’écria-t-il en levant les yeux vers les siens.

- Vous savez ce genre de choses m’ennuient, je suis lassa de ses batailles.

Elle doutait peut-être pourrait-il la convaincre d’abandonner Voldemort de combattre aux côtés de l’ordre.

- Pourquoi vous battez-vous ? demanda l’homme.

- Quel est votre non ? interrogea Lady

- Vincent McLogan, répondit-il.

- Ah ! Et vous pourquoi vous battez-vous ? dit-elle.

- Pour la liberté, pour la vie, pour la famille, pour l’amour.

- Ce sont de biens nobles causes, l’amour, fit-elle d’une petite vois en rêvassant.

Elle sortit de la cellule et s’adossa au mur, elle ferma les yeux. Que venait-il de se passer pendant l’espace d’une seconde, elle avait vu le visage de Ron, cela ne pouvait pas être possible. Hermione l’avait oublié, Hermione était morte, elle avait disparu pour laisser place à Lady, pour être aux côtés de Tom et satisfaire son ambition, devenir une grande sorcière. Alors que venait de faire Ron, ici ? Et maintenant ? Alors qu’elle n’avait pas pensé à lui depuis presque trente ans. Elle ouvrit les yeux et se mit à marcher vers sa chambre. Elle entra Sarah était entrain de nettoyer la salle de bain avec l’aide d’un elfe de maison.

- Vodka, appela Lady.

- Oui, maîtresse, répondit le petit elfe.

- Vas me chercher mon repas, je vais manger dans ma chambre, ordonna la maîtresse.

- Tout de suite, maîtresse, fit la petite créature en s’inclinant et en disparaissant.

- Sarah ? fit Lady

- Oui, madame.

- Es-tu amoureuse ? demanda la « femme » de Voldemort.

- Non, répondit Sarah rapidement

Elle avait menti, Lady le sentit et surtout le vit dans son attitude et l’entendit dans sa voix.

- Menteuse ! Qui est-ce ? redemanda Lady dans un sourire, mais le regard froid, n’acceptant pas le mensonge.

- Adrian Potter, s’écria-t-elle comme si son nom pourrait faire peur à Lady.

- Oh, le fils de Doréa et Charlus. Je l’ai tenu dans mes bras qu’il était bébé, fit Lady se remémora ce moment avec un sourire.

- Ce n’est pas vrai ! s’énerva Sarah.

- Tu me traites de menteuse, s’exclama Lady avec colère, et le regard glacial sur la jeune fille. Endoloris, lança la femme.

La jeune Sarah s’écroula sur le sol, tremblant et gémissant. Elle leva le sort et appela un mangemort.

- Lucius, mets-là dans uns cellule, j’en ai assez.

- Oui, Lady, fit le jeune Malefoy en courbant l’échine.

Il traîna la jeune fille, inconsciente jusqu’à une cellule adjacente de celle de Vincent McLogan.

Laisser un commentaire ?