Lady of the shadows

CHAPITRE 25 : La fin de Dorea et le début des hostilités

-         Je t’en prie, ne rend pas les choses plus compliqués, Dorea, fit Lady

-         Scorpius, fais quelque chose, nous étions amis, Hermione, tu étais mon amie, et tu l’es toujours, répondit Dorea, tenue prisonnière par Lucius qui ne comprenait pas leur conversation d’ailleurs la jeune Sarah non plus.

-         Dorea, je ne peux rien pour toi, nous devons vous tuer toutes les deux, le secret de Lady doit être conservé à tout prix.

-         Je ne le dirais pas à personne et Sarah non plus, laissez-nous en vie.

-         Il faut faire vite, s’écria Lucius.

-         Je suis désolée, Dorea, fit Lady en sortant de la maison.

Elle se retourna et la marque des ténèbres apparaître au dessus de la maison. Une larme coula sur la joue d’Hermione. Elle transplana dans une forêt, elle prit sa forme de louve et hurla à la mort. Puis elle se mit à galoper, oubliant ses moments difficiles, son pelage dans le vent, dans la liberté…

Lady sortit de sa rêverie et amena la petite Margareta, propre et sustentée devant le seigneur des ténèbres. Margareta tremblait, Voldemort était méchant alors que cette femme était plus gentille. Anita attendait devant la porte, et Lady et la fillette entrèrent dans la pièce…

-         Margareta est ici ! fit Lady dans un sourire.

-         Oui, je m’occupe d’elle tout de suite.

Quelques minutes passent où la petite fille se cacha derrière Lady et le seigneur des ténèbres, assis sur son fauteuil, avait les yeux fermés, réfléchissant et Lady attendait patiemment. Le Lord réfléchissait, que faire de cette gamine. Quand le ministère avait appris l’enlèvement de sa fille, il avait tout de suite, donnait sa démission pour la retrouver et ne pas avoir de pression supplémentaire. Voldemort n’avait plus besoin de cette gamine. Il ouvrit les yeux et vit la petite file cachée derrière la belle robe de sorcière en soie que portait Lady. Il se leva de son fauteuil.

-         Bonjour, chère enfant ! fit Voldemort

-         ………

-         Allons, il faut être poli, quand une personne vous dit « bonjour », il faut lui répondre, s’énerva-t-il.

-         Elle est intimidée, répondit Lady dans un sourire…

Voldemort se retourna vers Nagini, et lui dit quelque chose en fourchelang, Nagini glissa le long du sol, et s’approcha de la petite fille, qui se mit à crier et courut autour d’Hermione, sous le rire de Voldemort, le silence de Lady, bien qu’elle lançait un regard amer au seigneur des ténèbres.

-         Veux-tu rester avec Lady ou avec Nagini ? demanda-t-il en désignant le serpent sur le dos du fauteuil.

Lady emmena la petite Margareta hors de la pièce, puis elle se baissa vers elle, lui prit les mains et murmura :

-         Il faut que tu comprennes que tu ne peux plus rentré chez toi, mais nous allons te préparer une chambre, Anita ?

-         Oui, madame !

-         Prépare la chambre à côté de la mienne pour cette enfant.

-         Oui, tout de suite.

Thomas, en quatrième année à Poudlard, était devant la gazette des sorciers, il y avait de nombreux articles sur les décès, les meurtres, les disparitions ainsi que des conseils de sécurité. Ce matin-là, du dix-sept décembre, a quelques jours de Noël, Thomas assis entre Lily et Remus, s’écria :

-         Ce n’est pas vrai !

-         Quoi ? fit Lily inquiète en se tournant vers lui.

-         Ecoute ! Le ministre Hazelnoot a donné sa démission, hier soir, suite à l’enlèvement de sa fille. Son remplaçant n’est autre que Barthemius Croupton, dans un poste intermédiaire, le temps que Vous-savez-qui soit arrêté. Ce dernier se faisait de plus en plus de victimes. Croupton a décrété la loi martiale, les aurors ont eu l’autorisation de tuer. Ce n’est pas possible, ce qui nous rendait diffèrent les mangemort est entrain de disparaître, fit-il en relevant les nez de son journal et crois celui de Lily.

-         Je suis d’accord avec toi, répondit Lily tristement.

-         Moi, je suis d’accord avec Croupton, ils font tous les tuer d’ailleurs, on devrait commencer par les Serpentard et le groupe de Rogue, dit James.

-         Potter, comment oses-tu dire ça, s’écria Lily.

-         On voit que ce n’est pas ta famille qui s’est fait tuer, il y a quelques mois, ma tante et la fiancée de mon cousin sont mortes. Alors mois, je dis qu’il faut le tuer, fit James en colère et triste.

-         Tu n’es qu’un idiot, fit Lily en quittant la able, en colère.

-         Alors là, je te dis bravo, Potter, on voit que tu n’as pas beaucoup réfléchit à ce que tu dis, pauvre crétin, Lily est sur la liste des gens que veut tuer Voldemort (une grimace de tous les élèves qui avaient entendus dire son nom) Et elle a une âme bienfaisante et veut sauver tout le monde !

En marchant dans le couloir, le jeune Dumbledore essaye de retrouver Lily quand il croisa Rogue.

-         Non, je ne l’ai pas vu, mais elle est peut-être sur le bord du lac, elle y va souvent quand elle a un coup de cafard, fit-il sans sourire.

Tous les deux, en silence, descendirent au lac, Lily était debout et lançait des cailloux dans le lac en pestant contre Potter.

-         Lily, appela Thomas doucement

La jeune fille sursauta et se retourna pour voir les deux garçons inquiets. Elle revint vers ses deux amis en souriant.

-         Ca va mieux ? s’écria-t-elle

-         On voit ça ! commenta Thomas, lui aussi en souriant, mais Severus lui ne riait pas trop.

Les trois amis retrouvèrent vers le château pour leur cours de potions avec le professeur Slugorn. Ils entrèrent dans la salle, James et Sirius étaient assis l’un à côté de l’autre, derrière eux se tenait Remus et Peter. Thomas et Lily s’installèrent devant et Rogue rejoignit ses amis de Serpentard.

-         Aujourd’hui, nous allons étudier la goutte du mort-vivant. Qui peut me dire ce que c’est ?

La main de Lily se leva, et le professeur la regarda et l’invita à répondre dans un sourire.

-         Il s’agit d’un somnifère, si on a la main, un peu trop lourde, il peut vous plongez dans le sommeil éternel.

-         C’est très bien, ouvrez vos livres page 18 et essayez de réussir cette potion.

Pendant une heure, les élèves faisaient bouillonné les chaudrons, versaient les ingrédients dans la mixture, touillaient et tournaient les liquides. Puis le professeurs Slugorn leur demanda de cesser leur travail et passa dans les rangs pour voir leur travail.

-         Potter et Black, c’est bien !

-         Remus, bravo !

-         Petitgrow, il faudra améliorer cela, mais c’est un peu mieux que la dernière fois, mon garçon.

Il passa prés de nombreux sans faire de commentaire, il arriva vers Rogue.

-         Rogue, vous avec un talent pour les potions, tout comme notre charmant Lily, fit-il en regardant la jeune fille dans un sourire. Laissez-moi un échantillon et vous pouvez y aller.

James, Sirius, Peter et Remus étaient dans un passage secret et discutaient.  Ils regardaient la carte du maraudeur.

-         On vient juste de la finir, fit Sirius contente

-         Elle est super bien, réussit ! Au fait, bravo Peter, pour avoir trouver cette salle, ajouta Remus

-         Il faut qu’on fasse quelque chose pour Rogue, s’écria James, qui était resté silencieux jusque là.

-         Ouais, tu as raison, répondit Sirius.

Ils sortirent et partirent à la recherche de Rogue, mais ils croisèrent Thomas dans le couloir du troisième étage, il avait été voir son oncle, le directeur, Albus Dumbledore.

-         Qu’est ce que vous faites ici ? demanda le jeune Thomas.

-         Nous sommes à la recherche de Rogue, répondit Sirius.

-         Pour le tuer ? fit Thomas sans sourire

-         Bien sûr que non, s’écria James.

-         Ah, ça me rassure, il doit être dans sa salle commune, non, fit Thomas.

Pourtant, James et les autres l’avaient vu sur la carte du maraudeur, il devait se trouver au troisième étage.  Thomas s’éloigna du groupe, que faire pour Rogue ?

-         Oh, et puis après c’était son problème ! pensa Thomas

Il s’inquiétait pour ses parents biologiques, d’après les premiers indices de son oncle, ce serait des mangemorts.

Thomas ne savait que penser, dans un sens savoir ses parents, des mangemorts le chagriner beaucoup mais en même temps. Ils l’avaient laissé à Alberoth, peut-être pour se protéger. Il arriva devant le portrait de la Grosse Dame.

-         Le mot de passe ? demanda-t-elle

-         Courage, répondit-il dans un sourire.

Le portrait s’ouvrit et il entra dans la salle commune des Gryffondor. Il y retrouva Lily, assise sur une table entrain de faire ses devoirs.

-         Coucou, fit-il derrière elle.

Lily se retourna vivement en sursautant.

-         Tu m’as fait peur ! s’écria-t-elle.

-         Oh, désolé ! s’excusa-t-il.

Thomas s’asseya à côté de Lily, il regarda le mur en croisant et tortillant ses doigts d’un geste inquiet. Lily comprit qu’il voulait parler. Elle plia ses affaires et se leva en lui tendant la main.

-         On va marcher un peu !

-         Oui,  fit-il en prenant la min de la jeune fille.

Ensemble, ils quittèrent la salle commune pour se rendre dans le parc.

Lady était dans la chambre de la petite Margareta, la petite fille était recroquevillée dans un coin de la chambre, opposé à la porte. Lady s’approcha d’elle.

-         Tu es en sécurité personne ne te feras du mal, d’accord.

-         Je veux voir maman, osa la petite fille.

-         Je t’ai déjà expliqué que tu ne pouvais pas sortir du château, c’est ici ta maison maintenant, expliqua Lady.

La chambre de la petite fille était très bien aménagée avec du rose et du blanc sur les murs de la moquette sur le sol. Il y avait de nombreux jouets pour la petite fille ainsi qu’une bibliothèque avec des contres et des manuels scolaires.

-         Je vais continuer à t’enseigner la magie, Margareta, si tu le souhaites, dit Lady dans un sourire, en s’éloignant de la petite fille et s’approcha de la bibliothèque, et passant ses doigt sur les livres

Voldemort entra dans la pièce, la petite fille se cacha derrière Lady en criant. Le lord sourit et Nagini entra derrière lui.

-         Je me doutais que tu serais là avec elle, tu aurais voulu avoir des enfants, Lady ?

-         Enfants, répéta-t-elle.

Lady eu un violent mal de tête, elle entendit un cri de bébé, puis une voix la voix de Tom.

-         Hermione, ça va ? demanda-t-il inquiet.

-         Tom, murmura-t-elle avant de s’évanouir.

Voldemort prie Lady dans ses bras et sortit de la chambre, pour la ramener dans la sienne, il se passait quelque chose, c’était la deuxième fois en quelques mois ce n‘est pas normal, que se passe-t-il ? Il regarda Lady, allongée, elle était vraiment belle, mais elle manquait de cruauté, elle était incapable de tuer, cela l’exaspère. Il soupira et caressa le doux visage d’Hermione. Puis il sortit de la pièce.