Lady of the shadows

CHAPITRE 37 : Les premières missions et le début d'un amour

James, Lily et Sirius s'étaient rendus au quartier de l'Ordre du Phénix, il n'y avait que Marlène et Elphias. Les autres tel que Maugrey, Shackebolt, Bones, Dearborn, Meadnos et Jones travaillaient au ministère dans différents services, comme les aurors, ou la police magique. Quand à Peter, il était rentré chez lui, ainsi que Remus, à cause de la pleine lune, il ne voulait mettre personne en danger.

Ils passèrent l'après-midi à discuter quand Bones qui travaillait à la justice magique transplana pour les avertir que les Mangemorts attaquaient un village moldus.

Ils allèrent tous pour protéger les moldus et chasser les Mangemorts, quand ils arrivèrent, il y avait quelques aurors, mais il était très peu nombreux. La plupart avait peur, quand Voldemort exercé une pression sur eux et leur famille. Ils combattirent encore et encore, et enfin les Mangemort transplanèrent, il y avait de nombreux morts, des moldus et trois aurors. Les attaques avaient fusé de tous les côtés.

Sirius, James et Lily rentrèrent au quartier général, épuisé, Marlène et un autre Auror restèrent pour effacer la mémoire de moldus. Marlène était d'un côté du village, quand un Mangemort arriva derrière elle.  Il s'agissait de Lucius Malefoy...

-         Bonsoir Marlène ! fit-il

-         Lucius, murmura la jeune fille, en se retourna vivement sa baguette à la main.

-         Oh, doucement, tu ne voudrais pas tuer un sorcier désarmé, s'écria Lucius

-         Donne-moi une bonne raison, pour ne pas te stupéfixier et te livrer aux aurors !

-         Et bien, pour le bon temps !

-         Le bon temps ? fit la jeune fille, surprise

-         Le temps où toi et moi, avions de charmantes conversation sur l'oreiller.

-         Lucius, tu... mais elle ne put finir sa phrase, Lucius l';avait pris dans ses bras, et lui avait arraché sa baguette des mains.

Il l'a fit transplaner chez ses parents, elle reconnut son ancienne chambre, elle pouvait entendre les cris de ses parents, qui hurlaient sous la torturer. Elle s'écarta des bras de Lucius et se rua vers la porte, mais celle-ci était fermé et elle se retrouvait sans défenser.

-         Lucius, laissez-les ! cria-t-elle

-         Non !

Il s'approcha d'elle et la jeta sur le lit, il attacha ses poignets, à l'aide d'un sort, au dessus de sa tête.

-         Lucius, arrête, je t'en pris, ne fais pas ça ! s'écria la jeune fille

Le jeune Mangemort déshabilla Marlène et commença à la caresser. La jeune femme se débattait dans les tous sens, et entendait toujours ses parents criaient, puis plus rien !!

Marlène ouvrit les yeux, elle était en sous-vêtement, Lucius était débout face à elle. Il ne souriait pas, il avait l'air de ne pas aimer ce qui se passait. Il quitta la chambre.

Marlène se débattait dans tous les sens pour se détacher, mais elle n'y parvint pas, et Lucius revint un moment plus tard, avec un autre Mangemort. Ce dernier regarda Marlène, avec un désir non dissimulé, mais Lucius l'empêcha de faire quoique se soit. Et le Mangemort sortit de la pièce, en colère. Malefoy s'essaya sur le lit et dit :

-         Je suis obligé de le faire, Marlène

-         Non, tu n'es pas obligé, on a toujours le choix, répondit-elle

-         Pardonne-moi !

Il se releva et pointa sa baguette sur la jeune femme et un rayon vert la frappa et le rendit son dernier soupir.

Lucius transplana dans son manoir, et s'enferma dans sa bibliothèque, il repensa à Marlène, cette douce jeune fille qui avait su lui rendre au monde, ses couleurs et ses jolis sons.

Lucius ferma les yeux et se remémora sa jeunesse.

Il était dans un champ de blé, en compagnie de Marlène, il avait dix sept ans et elle quinze. Elle riait, son rire était plein de vie et de chaleurr. Pendant ces deux semaines pendant lesquelles, il avait vécu avec l'amour de Marlène, avait été les plus belles de toute sa vie.

-         Lucius, tu es un sacré farceur, fit la jeune fille en riant.

Il lui sourit et l'embrassa.

Pendant ces deux semaines, il avait oublié qu'il était un Serpentard, un futur Mangemort, et qu'elle était une Gryffondor, un futur membre de l'Ordre du Phénix. Il était un garçon et elle, une fille. Jusqu'à ce fameux dimanche, où Scorpius était arrivé, il avait voulu tuer la jeune Marlène, mais Lucius l'en avait empêcher.

-         Je reviens, promis ! avait-il dit à Marlène en l'embrassant.

La jeune fille avait attendu, mais il n'était jamais revenu, puis elle était rentrée dans l'Ordre, et avait combattu les Mangemort. Elle avait gardé espoir, qu'un jour, elle puisse ramener Lucius dans la lumière, mais finalement, c'est lui qui l'avait envoyé dans les ténèbres à tout jamais.

Après on départ, Lucius avait été amenée devant le Seigneur des Ténèbres, il avait reçu sa marque, il n'avait pas pu retrouver voir Marlène, avec cette marque sur le bras, il avait besoin d'un peu de temps. Puis Voldemort lui avait confié plusieurs missions, et à chaque mission finie, à chaque meurtre qu'il est vu et commis, il pouvait de moins en moins retourner vers Marlène..

Jusqu'à ce soir, où il l'avait tué la seule femme qu'il ai jamais aimé. Il prit la bouteille de Whisky Pur-feu, il s'en versa un verre et but d'une seule gorgée, puis en versa un autre.

Après l'enterrement de Marlène et ses parents. La plupart des membres de l'Ordre était révolter, et remonter à bloc. Il se retrouvèrent au QG, James, Sirius et Lily discutaient..

-         Comment peut-on être aussi cruels, commenta James assis sur le canapé au côté de Lily.

-         Marlène a été retrouvé en sous vêtement, vous croyiez qu'elle a été... ? fit Sirius

-         Oh non ! s'écria Lily, en se cachant le visage derrière ses mains. James passa son bras derrière la jeune fille et la calla contre lui.

Maugrey Alastor entra dans la pièce, il avait un triste tête.

-         Qu'est-ce qu'il se passe ? demanda Sirius

-         Sarah Fenwick vient de recevoir la main de Benjy dans un paquet. Il y avait un mot, qui disait où étaient entrée les autres morceaux. Nous sommes allés sur place, Benjy était en morceaux..

-         C'est pas possible, il faut les arrêter, s'écria James

-         Comment va Sarah, la femme de Fenwick ? demanda Lily

-         Elle ne vas pas bien du tout, répondit Alastor

-         Qu'est ce qu'il s'est passé ? interrogea Sirius

-         D'après moi, Fenwick se serait retrouver au mieux d'un champ de bataille, il a croisé un bête féroce, et comme s'était la pleine lune, nous pensons à un loup-garou.

-         Ils sont entrain de tuer les membres les uns après les autres, commenta James

-         Vigilance constante ! fit Maugrey en sortant de la pièce.

Thomas était dans les archives des sorciers, il cherchait des traces de sa mère et de son père. Il connaissait le nom de Tom Elvis Jedusor, son nom apparaissaient dans les archives de Poudlard, et nul part ailleurs, il faisait chou blanc, et il ne pouvait pas interroger ses anciens camarades, ils étaient soient morts, soient Mangemort.

Il rangea les feuilles, quand une jeune sorcière arriva et le bouscula, faisant tomber toutes les feuilles qu'elle tenait.

-         Oh pardon, je suis maladroite, s'écria la jeune fille en se penchant pour ramasser

-         Attendez, je vais vous aider, fit-il en se penchant à son tour.

Il fit un tas avec les feuilles et les rendit à la jeune fille.

-         Tenez !

-         Merci, répondit-elle dans un sourire

Elle avait de longs cheveux châtains, avec de magnifiques yeux marrons. Elle était de petite taille, environ 1m50, à la carrure assez fine. Elle portait une robe de sorcière noire, douce et légère pour l'été.

-         Vous cherchez quelque chose ? demanda-t-elle de sa bouche fine

-         Oui, mais je n'ai pas trouvé, répondit-il

-         Peut-être qu'il faut que vous arrêtiez de chercher. Ma mère disait que plus on cherche, mois on trouve, les choses finissent toujours par réapparaitre un jour.

-         Oui, peut-être, répondit Thomas

-         Au fait, je m'appelle Amalia Johnson, fit la jeune fille

-         Et moi, Thomas Dumbledore, répondit le jeune homme

-         Je suis enchanté de vous rencontrer, dit-elle

-         Moi de même !

Ils passèrent l'après-midi à discuter, elle avait des parents moldus, très compréhensible, elle avait fait ses études à Salem, une école dans le nord de l'Amérique. Il lui avait aussi parler de lui, et de son père adoptif, et de sa raison dans les archives, mais il ne mentionna pas le nom de ses parents biologiques. Avec elle, c'était facile de parler. L'après midi c'était bien passé, il avait été très agréable, à se promener sur le chemin de Traverse. Et au moment du départ de la jeune fille, ils se fixèrent un autre rendez-vous pour la semaine prochaine. Thomas rentra chez lui, tout heureux, si il n'avait pas retrouver sa mère, il avait rencontrer une fille super.