Le remède à mes crises

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Un monstre me fonce dessus et je lui coupe la tête avec mon épée. Il part en poussière. Soudain, une flèche fonce sur moi. Je hurle.

-NICO!

Je me réveille en sursaut et frappe l'individu qui ce tien devant moi par réflexe. Le sang gicle. Je m'aperçois que c'est Will. Je me lève et cours chercher une guenille. Je reviens et la pose sur son nez.

-Merde, je suis tellement désolé Will!

-Ça va. Ça va.

Je soupira de soulagement et regarda son nez. Il n'est pas cassé. Oh, merde. Je fait de l'hypervetilation. Je repense alors au rêve que j'ai fait.

-Pourquoi t'es dans mon bungalow Will?

-Tu as réveillé toute la colonie en hurlant comme ça. Ça fait trente minutes que tu crie. On a même appelé Hazel par message iris pour qu'elle essaie de te réveiller, rien à faire alors ils m'ont demandé d'éssayer moi. Puisque je suis ton petit ami, peut être que ça marcherait. Ça à juste trop bien marché.

Je me releva et alla chercher un verre d'eau pour Will. Je lui tendit et il le prit pour le poser par terre près de lui.

-Et toi, ça va?

Je hocha la tête sans conviction. Il se rapprocha et me regarda dans les yeux. C'est ce moment que choisi Annabeth, Percy, Jason et Piper pour entrer. Jason lâcha un:

-Merde! Ça va Will?!

-Pas mal.

Ils me regardèrent tous à l'attente d'une explication. Je détourna le regard et le posa sur mon lit mouillé de sueur. Je serra les dents et me lança:

-C'est des souvenirs.

Ils froncerent les sourcils. Percy et sa grande intelligence dit:

-C'est pas supposé être joyeux un souvenir?

-Pas quand ils viennent du tartare.

Percy et Annabeth eurent un regard compatissant. Je fis un vol d'ombre. J'atteris devant un cimeterre. J'entra et me dirigea vers la tombe de ma mère.

-J'ai encore fuit maman. Je ne serais jamais capable d'affronter en face mon problème. Que dois-je faire?

-Tu dois provoquer plusieurs crises de suite. Je sais que tu souffre Nico mais tu dois le faire. Demande à Will de t'aider.

-Merci mère.

Je me releva et resta debout en pyjama. Il faud que vous sachiez que mon pyjama est juste un pantalon ample noir. Le soleil se leva lentement et je fit un nouveau vol d'ombre pour revenir dans mon bungalow. Je claquais des dents et j'étais frigorifié. J'allais sûrement avoir de la fièvre et Will allai me chicaner. Encore.

Ah, justement quand on parle du loup. Il est là, le visage déformé par l'inquiétude et la colère. Je recula d'un pas mais Will fut plus rapide. Il me gifla. Tellement fort que je suis tombé par terre. Will s'excusa et m'aida à me relever.

-T'es qu'un idiot.

Il lâche ça comme ça lui. Je le contourne et vas dans la salle de bain. J'ouvre le robinet d'eau chaude de levier. Je met mes mains dans cette source chaude pour les réchauffer. Des frissons prcoururent mes mains. Je serra et desserra les poings pour les réchauffer plus rapidement.

Je leva les yeux dans le miroir en face de moi et vit Will, assied dans mon lit, regardant ses mains. Je regarda ensuite moi reflet dans le miroir et vit des traces noires qui parcouraient mon visage. Je cessa de respirer m'asperga le visage d'eau brûlante. Je me reregarda dans le miroir et vit que les traces couraient toujours sur ma peau. Elles formèrent un mot. Je le lit et cria en me tapant le font de mes mains.

Will arriva en courant. Je tomba à genoux et me griffa le visage, toujours en criant. Cela doit être terriblement terrifiant pour Will. Celui-ci m'attrapa les poignets et m'immobilisa par terre. Je continua à me débattre et me cogna la tête à plusueurs reprises par terre, m'ouvrant le crâne. Will me cria dessus et Percy, sortit de je ne sais où, m'immobilisa les pieds tandis qu'Annabeth s'occupa de tenir ma tête fermement à terre. Des larmes commencèrent à couler sur mes joues. Je serra les dents en gémissant. Mes yeux bougèrent à une vitesse surhumaine, les souvenirs m'assaillants. J'entrevis Léo, Jason, Piper, Hazel et Frank quelques secondes avant de resombrer dans ma crise. Je me mit alors à parler en Italien, pensant parler en français.

-Angoscia Disperazione, la paura, la morte, tutti riuniti in un unico luogo. Tartaro è e sarà sempre nella mia testa, Moin che mi aiuti. Aiutami. Per piecere.(Souffrance, déséspoir, peur, mort, tous réunis dans un même lieu. Le Tartare est et sera toujours dans ma tête, à moin que vous m'aidiez. Aidez-moi. S'il vous plait.)

-Nico, nous sommes là! Reviens nous!

-Per piecere!

-Annabeth! Que dit-il?!

-PER PIECERE!!!

-Je ne sais pas Will!

-Donne moi un calmant! Ma trousse de secours est cachée dans le placard à droite de la porte!

J'entendis des bruits de pas qui couraient puis je retourna dans mes souvenirs. Achlys me souriant et me disant que j'étais parfait, un chien des enfers me sautant dessus, la faim écrasante, la souffrance dévastatrice, tout.

Puis, après une petite douleur au bras, plus rien.

Je me réveilla à l'infirmerie, attaché au lit par des liens en cuir. Un gros mal de crâne me prit. Je gémis et Will arriva. Il me sourit gentiment et m'embrassa. Je répondis à son baisé avant qu'il ne recule et pose la main sur ma joue. Il mit un miroir au dessus de moi et vit des traces de griffes sur la peau de mon visage. Je grommela quelques mot avant de dire:

-Tu pourrais me détacher s'il te plait?

-Non.

-Pourquoi?!

-Quand tu dormais, tu as dit que ta mère t'as dit qu'il fallait créer plusieurs crises de suites pour que ça cesse.

J'eu une moue terrifiée. Will me prit dans ses bras et dit :

-Pardonne-moi. Léo, tu peux y aller.

Mon amour se poussa et je vis une colonne de flamme fuser. Mes souvenirs me percutèrent en plein visage.

Mort et destruction, feu et souffrance, solitude et larmes, cris et désespoir, sang et poussières, tous, sans exception, m'éclatèrent en plein visage. Après ce qui me semblait plusieurs jours, la crise cessa. Je me calma et relâcha mes muscles endoloris. Une grande fatigue m'enveloppa avant que je me fasse gifler par Will.

-Merde Will, dis-je d'un ton fatigué, je peux pas dormir?

-Ta crise a seulement durée vingt minutes.

-Seulement! Tu ne sait pas ce que ça fait d'être dans mon état Will!

Il gigota, mal à l'aise, percutant mon épée, qui se cassa la figure par terre.

-Oups.

-Oups. OUPS! T'AS DIT OUPS! T'AS PAS HONTE!

Il rougi et dit:

-Bon continuons.

Il me mit une pierre de souffre sous le nez et je repartis dans mes souvenirs, criant à m'en déchirer la gorge. Une demis heure plus tard, j'étais de retour pour ensuite repartir encore et inti-de-suite. Will me fit subir ça encore une vingtaine de fois jusqu'à ce que:

-Will, dis-je en pleurant, j'en peux plus.

Mes poignets et mes chevilles saignaient et ma langue me faisais atroceemtn mal. Je tremblais d'épuisement et j'étais mouillé de sueur. Oh, n'oublions pas le mal de crâne.

Will serra les dents et me regarda me démener pour me détacher.

-Per piecere, s'il te plait.

-Je ne peux pas Nico.

-PER PIECERE!!! PITIÉE, STOP!!!

Il me regarda avec douleur et s'approcha de moi. Je me ratatina sur moi même. Il sembla attristé que j'ai peur de lui.

-Per piecere, murmurais-je. Per piecere.

Il tendis sa main vers moi et caressa ma joue. Je me détendis à ce contact. Il me souris et me détacha. Je me redressa en gémissant. Je me leva debout mais retombât sous la douleur de mes muscles endoloris. Autrement dit, je me suis bien cassé la gueule. Will passa sa main sous mes épaules et me porta jusqu'à mon bungalow. Je peinais à rester éveillé. Will me posa sur mon lit et se coucha à côté de moi. Je m'endormis tout de suite, sachant que Will me protègerais. Dans mon rêve, le fantôme de ma mère dit:

-Tu as réussi! Tu ne feras plus jamais de crises! Tu es brave d'avoir fait ça!

Quand je me suis réveillé, Will me regardais avec insistance. Je bailla et m'étira. Je ne pus m'empêcher de l'embrasser. Il me regarda étrangement. Je lui souris et me colla sur lui, savourant sa chaleur et son odeur. Il m'embrassa sur la tête et je dit:

-Merci Will.

Il me serra dans ses bras.

Cette fic n'a aucun sens désolé. Mettez dans les reviews quel est le mot que vous pensez que Nico avais sur le front.