Point de vue de Clove

On attend qu'un coup de canon résonne, mais rien. Les jours passe, mais c'est aujourd'hui que l'on entend la voix de Claudius déclarer

• Un festin est présent à la corne d'Abondance! Vous avez tous besoins de quelque chose.
• Je vais y aller, toi tu surveillera mes arrière, ça te va ? je propose.
• Oui si tu veut, mais tu règle son compte a cette fille du douze.
• Daccord !
• En route…

Nous sommes cacher dans les buissons, on vois la fille du cinq qui cours prends son sac et pique un sprint vers la forêt. J'aurais du la poursuivre ! Mais elle va trop vite. C'est au tour de la fille du douze de courir, je la vois qui part à gauche. Je me met sur son chemin et lui jette un couteau qui lui atterrit dans le frond. Je lui saute dessus nous roulons dans l'herbe. J'arrive enfin à la coincer, mes genoux sur ses épaules. Je commence

• Ou est Joli cœur ? Oh je vois tu est là dans le but de l'aider ? C'est mignon… Quesqu'il y a dans ton petit sac à dos ? Des médicaments pour Joli cœur ? Dommage il n'en profitera pas… Cato sais qu'il la eu…

Katniss bouge et se débat. Je continue:

• Arrête ça ne sert à rien, c'est fini pour toi, comme pour ta pathétique petite allié. Comment elle s'appelait ? Rue. On l'a tuer, et maintenant ça va être ton tour !

J'ouvre ma veste et je choisi un couteau bien aiguiser… Je reprend :

• Par ou allons nous commencer ? Je crois… Je crois que je vais commencer par ta bouche.

Je commence par lui taillader la lèvre droite, mais je sens que l'on me soulève du sol ! Puis je vois Trhesh, le garçon du onze. Il me plaque contre le mur et me demande:

• Tu l'a tuer, la petite fille ?
• Non, non ce n'est pas moi !
• Si, tu l'a taillader à mort comme tu allais le faire avec elle !

Je vois la pierre qu'il tiens dans sa main. Je cède à la panique.

• Cato ! Cato ! je hurle

Trhesh abat sa pierre contre ma tempe…

J'ai la tête qui tourne. Le souffle coupé, je suis étendue sur le sol. Je sent que ma poitrine ne se soulève pas comme avant, les battements de mon cœur ce font plus faible, moins fréquents. Comme si on m'écrasait. Temps. Battements. Autour de moi, tout est flou. Non. Non ! Je ne peux pas mourir, pas maintenant ! J'ai besoin de plus de temps… J'entendrais presque ma soeur ainé me dire: "Tout le monde à besoin de plus de temps, idiote". Au loin, Cato hurle mon prénom, plus fort à chaque fois. Cato. Mon prénom, dans sa bouche, est comme du miel pour mes oreilles. Il arrive vers moi, essoufflé. Il se penche, plus près, encore plus près. Toujours plus près. Il prends ma main dans la sienne et la sert aussi fort que possible. "Ne me laisse pas, je t'en supplie…" Il me sert trop fort. Je pourrais presque entendre mes os s'effriter. Ils sont en miettes, broyé. Est ce que j'ai toujours une main, au moins ? Je n'ai aucune envie de le laisser. Ses larmes tombent sur mes joues, elles m'inondent. Je comprends alors que je ne peux être sauvée. Plus maintenant. C'est trop tard. Il n'y a même plus de lumière dans ses yeux bleus. C'est vide. Comme mon cœur. Il a comprit qu'il n'y avait rien à faire. Je parviens à murmurer: "Je t'aime…". Même si mes lèvres sont pâteuses, gonflées. Ma langue est trop lourde, dans ma bouche. Il n'a même pas l'air de le remarquer, il s'en fiche. Je voudrais lui crier de rester avec moi pour toujours. Mais cette possibilité n'est plus envisageable. Il presse ses lèvres douces contres les miennes. Ses larmes redoublent de plus belles: "Moi aussi je t'aime, Clove. Fait de beaux rêves…". Il repousse une mèche de cheveux qui venait de tomber devant mon visage. Il embrasse mon front. C'est alors que je me sent partir, peu à peu. Je plonge mon regard dans ses merveilleux yeux bleu, je prends une dernière bouffée d'air frai et ferme les yeux. Je tombe. Je tombe ! La chute est trop violente, mon cœur s'arrête, ma respiration ce stop net et c'est la fin… J'espère que Cato me vengera, qu'il fera souffrir Trhesh.