Epidémie

Chapitre 1 : Equipement

Catégorie: T

Dernière mise à jour 10/11/2016 07:35

Bon, bah là je fais pas de commentaire de l'auteur, vous avez le mien à côté ^^

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Ils étaient tous dans le SUV, Lisbon conduisait, étant la seule personne connaissant leur destination, Cho était du côté passager, et VanPelt, Rigsby et Jane étaient à l’arrière.

Jane fût le premier à parler.

« - Où va-t-on ?

-On va à MidTown.  Répondit la patronne sans quitter la route des yeux.

-Et où exactement ?

- Vous verrez.

- Pourquoi avait vous dit que c’était une enquête difficile patron ? demanda VanPelt

- Eh bien…euh… Ce sera très dur psychologiquement, l’enquête devrait ne pas être plus dure que les autres. »

Ils n’eurent pas le temps de poser d’autres questions qu’ils étaient déjà arrivés.

« - Un…un collège ?! Ce n’est quand même pas un gamin qui est mort !!? » S’exclama Rigsby

Tous eurent peur de la réponse, même Cho serrait les poings et fermait les yeux !

« - Non non, ne vous inquiétez pas ! »

Ils furent un peu soulagé et suivirent leur patronne jusqu’au portail. Un homme grand aux épaules carrées s’avança vers eux.

« - Excusez moi, vous êtes bien les agents du CBI ?

-Oui c’est bien nous. Agent Lisbon, et voici les agents Cho, Rigsby et VanPelt. Et là c’est mon consultant, Patrick Jane.

- Principal adjoint Jenkins.  Accrochez vous bien, s’est vraiment terrible ce qui arrive.

- De quoi est ce que vous parlez enfin ?!! demanda Jane, énervé qu’on ne le mette pas dans la confidence.

- Eh bien… Quand vous entrerez, allez directement sur la gauche. Il y a des masques et des grandes poches. Prenez en un chacun et venez me voir quand vous serez prêt.

Lisbon se dirigea vers la pièce qu’avait décrite l’homme et attrapa quatre masques qu’elle distribua à ses agents et son consultant, avant d’en attraper un pour elle.

Elle commença à le mettre et s’arrêta en voyant que tout le monde la regardait, sans bouger, leurs équipements dans les mains.

« - Il faut que vous les mettiez.

-Pas tant qu’on ne saura pas ce qui se passe. »

Lisbon soupira et commença à leur expliquer.

« - Eh bien… Ce matin, un élève de quatrième a eu des grosses plaques rouge sur son torse et ses bras, alors qu’il était très pâle. Il est descendu à l’infirmerie et quand il a eu fermé la porte, un autre élève de la classe a eut les même symptômes. Au bout de deux heures, il y avait une cinquantaine d‘élèves enfermé dans les salles de permanence…

-Et qu’est ce qui s’est passé ?

- Trois heures après que les gamins avaient eu les plaques rouge, ils avaient des problèmes respiratoires et ils avaient soit trop chaud soit trop froid.

- il y a eu des morts ?!

- Pour l’instant il y en a un… Un garçon de 15ans asthmatique. Mais personne n’est au courant.

- Oh mon dieu… lâcha VanPelt

- Ils savent quelle maladie ils ont attrapé ?

- Non… Il cherche mais pour l’instant ils ne savent pas.

- Et nous, on travaille sur quoi ? demanda Cho en essayant de rester impassible.

- Un professeur a été retrouvé mort dans sa salle. »

Les agents acquiescèrent et s’habillèrent en vitesse.

« - Euh…Lisbon ?

-Oui ?

- on est coincé ici jusqu’à ce qu’ils guérissent tous les malades ? »

Lisbon hocha la tête affirmativement

« - Je suis désolée je ne vous ai pas laissé le choix…

-Hé Patron ! Même si vous nous l’aviez laissez, je suis sûr qu’on serait tous venu ! » essaya de la rassurer Rigsby.

Elle lui sourit faiblement. Le principal adjoint les rejoints.

« - Vous êtes prêt ?

-Allons-y… » Acquiesça Lisbon après avoir jeté un coup d’œil à ses collègue.

Ils attrapèrent tous une poche contenant une combinaison, des bouteilles d’oxygène et d’autres équipements dans ce genre, avant de suivre monsieur Jenkins. Teresa resta un peu en arrière.

Elle respira un grand coup, histoire de prendre du courage, et s’avança dans le hall du collège.

Cette enquête serait plus que pénible et très longue… Elle ne pouvait pas voir des adolescents souffrir, pleurer… Tout cela lui rappelait trop son enfance à elle.

Jane remarqua le trouble de sa collègue et posa sa main sur son épaule. Elle lui sourit faiblement, plus par obligation que par plaisir.

Son cœur loupa un battement quand elle entra dans une pièce pleine d’enfant en très mauvais état.

 

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Voili voilou !!!!

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