LE TRIANGLE DE KONOHA (Kakashi x OC x OC)

Chapitre 121 : Le repenti de Kakashi

4280 mots, Catégorie: T

Dernière mise à jour 25/10/2025 12:11

Chapitre 121 : Le repenti de Kakashi


J’inspire un bon coup avant de me lancer dans mon long repenti :

-         Hanako, je te jure que si tu me demandes de me mettre à genoux pour m’excuser, de ramper à tes pieds, je le ferai. Parce que je suis, du plus profond de mon cœur, navré de t’avoir laissé tomber du jour au lendemain sans explication. J’ai pété les plombs, je n’étais pas moi-même, c’était trop, trop d’informations d’un coup, trop de pression, de culpabilité…

Elle fronce les sourcils :

-         Comment ça ? demande-t-elle.

-         Nous nous sommes disputés à propos de Sun, je t’ai avoué qu’elle faisait partie de la famille de Rin, et Hanako, ça ne m’excuse pas, mais dès que je parle de Rin, je pète les plombs. Je n’aurais jamais dû t’insulter comme je l’ai fait, jamais, et je m’en excuserai jusqu’à la fin de mes jours, dis-je avec force.

-         Kakashi… ce n’est pas le problème, je t’assure… Je ne t’en veux pas, je me suis doutée que tes mots avaient dépassé ta pensée, répond-elle.

-         Vraiment ? murmure-je.

-         Evidemment Kakashi… je suis partie en me disant que tu viendrais me voir dans la nuit, que tu gratterais à ma fenêtre comme tu l’avais déjà fait, j’en étais tellement sûre… mais… tu n’es pas venu, finit-elle dans un murmure tandis qu’une larme roule sur sa joue.

J’ai un mouvement en avant pour la réconforter mais elle recule vivement contre sa porte, m’arrêtant net, et je respecte son choix et ses limites en reculant d’un pas tandis qu’elle reprend :

-         Mais tu as préféré occuper ta nuit autrement, dit-elle d’une voix tremblante.

-         Il y a des choses que tu ne sais pas à propos de cette nuit-là…, chuchote-je.

Elle déglutit et affiche un air presque apeuré :

-         Comme ? couine-t-elle d’une voix tremblante.

-         Tu avais raison Hanako… dès que tu es partie, j’ai immédiatement voulu te courir après, venir chez toi, pour m’excuser…

-         Pourquoi n’es-tu pas venu alors ? demande-t-elle d’une voix brisée.

-         Parce que Sun m’a attrapé entre temps, et … et… elle m’a avoué son… amour, avoue-je piteusement.

Elle écarquille les yeux :

-         J’en étais sûre …, souffle-t-elle.

-         Oui, tu avais raison, et je t’ai traité d’idiote… Bon sang Hanako, si tu savais comme je m’en veux… ! geins-je.

-         Qu’est-ce que tu lui as dit ? Qu’est-ce que tu as fait ? demande-t-elle vivement.  

-         Je me suis barré… je n’ai pas pu faire autrement, je n’arrive jamais à faire autrement qu’à fuir lorsque je panique mon ange…

-         Tu l’as plantée comme ça ? s’étonne-t-elle.

-         Evidemment, parce que je savais que ce n’était pas réciproque, que ça ne le serait jamais, alors j’ai préféré fuir le problème pour y réfléchir, repousser le moment où je briserais son cœur. La culpabilité était insoutenable, mais j’étais incapable d’affronter ça ce soir-là… Alors je me suis isolé, je me suis flagellé dans un coin, j’ai retourné le problème dans tous les sens pendant des heures…

-         Et … ?

-         Et rien, je n’arrivais pas à réfléchir à Sun, je n’avais que toi en tête, que notre dispute, alors j’ai voulu régler d’abord nos problèmes, avant de m’occuper de ceux-là… C’est à ce moment-là que je suis venu chez toi, explique-je.

Elle ouvre des yeux ronds, dont quelques nouvelles larmes s’échappent :

-         Tu es venu chez moi ? Mais qu’est-ce qui t’a empêché de toquer ? demande-t-elle.

-         Rinko, annonce-je.

-         Rinko ?! couine-t-elle en écarquillant un peu plus les yeux.

-         Il m’attendait en bas de chez toi, il m’a… il m’a demandé… ce qu’il se passait entre nous.

Je suis incapable de lui dire ce que Rinko m’a réellement demandé. Il est hors de question qu’Hanako entende pour la première fois que je l’aime dans ce contexte affreux, alors qu’elle sort avec Shisui et que je l’ai quittée.

-         Quoi ?! s’exclame-t-elle en paniquant.

-         Je lui ai dit Hanako, ce soir-là je lui ai dit qu’il y avait plus que de la simple amitié entre nous, de mon côté en tout cas, que tu me plaisais, murmure-je.

Elle ouvre des yeux immenses, abattant le bout de ses doigts sur ses lèvres entrouvertes par le choc :

-         Et qu’est-ce qu’il a dit ??

-         Il m’a donné son feu vert, il m’a soutenu, il m’a dit qu’il m’aimait…, commence-je.

-         Son feu vert ?! couine-t-elle, de plus en plus choquée.

-         Oui… je me suis senti tellement coupable Hanako, parce qu’il ne faisait que de me dire qu’il allait m’aider à t’avouer que tu me plaisais, c’était un délire… Il me témoignait tellement de soutien, tellement d’amour… je n’ai pas réussi à supporter la culpabilité que j’ai ressentie à l’idée de ne pas avoir attendu son feu vert pour me rapprocher de toi… Apprendre que je l’aurais eu si je lui en avais parlé plus tôt… Entre notre dispute, Sun et Rinko, j’ai pété les plombs cette nuit-là. Le reste de ma nuit est flou, je ne m’en souviens même pas très bien, j’étais dans un tel état, j’étais si mal, je n’ai rien dormi. Au lever du jour, j’ai su que j’avais besoin de partir, de me cacher, de me renfermer … Alors je suis venu à l’hôpital, pour qu’au moins tu me pardonnes mes propos, ce que tu as fait… puis je t’ai laissé tomber, comme le dernier des abrutis, parce que je ne pouvais pas faire autrement vis-à-vis de Rinko, je me sentais trop mal.

-         Le reste de ta nuit est flou…, commente-t-elle d’une voix éteinte.

Je suis surpris qu’elle s’attarde sur ce détail parmi mon discours, ça me parait lunaire après les révélations que je viens de lui faire. Et encore, le meilleur est à venir, elle n’est même pas encore au courant que j’ai mis les choses au clair avec Sun ni que j’ai tout déballé à Rinko.

-         Oui, on s’en fiche Hanako, cette nuit n’a aucune importance pour moi, tranche-je, impatient de lui raconter la suite.

-         Et bien elle en a pour moi ! s’exclame-t-elle d’une petite voix.

-         Je sais, je sais bien Hanako, je suis désolé… Mais je fonctionne comme ça, je n’ai pas pu m’empêcher de fuir, tu me connais, m’obstine-je.

-         Tu n’as vraiment rien à me dire sur ta nuit ? insiste-t-elle.

-         Mais … non… ? Puisque je te dis que cette nuit n’a pas d’importance, attends la suite…, réponds-je sans comprendre.

-         Tu ne me diras rien de plus sur ce que tu as fait cette nuit-là ? demande-t-elle froidement.

-         Et bien non, c’est très flou… et je veux te parler de la suite, répété-je.

Elle hoche la tête et son expression froide m’inquiète, j’ai l’impression de passer à côté de quelque chose mais je ne vois pas. Alors je lui explique ma semaine chez Obito, dans le mal absolu, puis ma semaine avec les genin, éliminant la petite compétition pour trouver son nom et j’en arrive enfin à ma confrontation avec Sun.

Cette étape lui redonne un peu de chaleur, ses yeux s’animent et je sais qu’elle est heureuse :

-         Tu as vraiment rejeté Sun ?! couine-t-elle de sa petite voix adorable.

-         Oui, j’ai été très clair, comme tu me l’as demandé, je lui ai dit que ça n’arriverait jamais, assure-je.

Elle repose ses doigts sur ses lèvres et je me demande si elle ne me cache un petit sourire cette fois. Je ne peux pas m’empêcher de passer mon pouce sur sa joue tendrement pour effacer les larmes qui y sont encore accrochées et elle me laisse faire.

-         Il n’y aura plus de problème de jalousie avec Sun, c’est terminé cette fois, conclus-je.

-         Et alors après ça ? Tu as réussi à aller voir Rinko… ? demande-t-elle d’un ton détaché, sans vraiment y croire.

Là par contre, je la scie en deux. Lorsque je lui reporte ma conversation avec Rinko, elle est abasourdie, je me demande même si elle va retrouver la parole un jour mais elle me prouve que oui :

-         Alors ça y est ? Rinko sait vraiment tout ? Il n’y a plus à cacher tout ça à Rinko ?! souffle-t-elle.

-         Oui, et je suis navré de lui avoir tout balancé sans avoir ton accord mais…

-         Je m’en fiche ! Bon sang Kakashi ! s’exclame-t-elle, toujours en état de choc.

-         Oui, confirme-je en hochant la tête, moi aussi choqué de me dire que c’est fait.  

-         Oh mon dieu… Rinko est au courant…, murmure-t-elle en regardant dans le vague.

Elle relève alors des yeux assassins sur moi et je ne m’y attendais pas tandis qu’elle fulmine d’une seconde à l’autre :

-         Tu te rends compte Kakashi ! Tu as attendu de tout gâcher entre nous pour aller dire les choses à Rinko ! Bon sang je te déteste !! crie-t-elle.

-         Je sais mon ange, je suis désolé ! m’exclame-je.

-         Ne m’appelle pas comme ça ! Tu as perdu ce droit lors de cette fameuse nuit « floue » ! crache-t-elle venimeusement.

-         Pardonne-moi, bordel je comprends, pardonne-moi Hanako ! m’exclame-je tandis que les larmes me montent aux yeux.

-         Tu te rends compte du mal que tu m’as fait cette nuit-là Kakashi !

-         Je le sais ! J’étais tellement mal ! Je souffrais tellement Hanako ! Je n’ai pas pu faire autrement que de tout envoyer bouler, de me couper de mes émotions !

Elle se met à pleurer plus fort :

-         Et mes sentiments à moi Kakashi ?! Qu’est-ce qu’on en fait ?! Tu me laisses tomber comme une merde ! Tu passes le reste de ta nuit à … à … faire je ne sais quoi, je ne sais où ! crie-t-elle.

-         Je t’en prie, pardonne-moi ! crie-je en me laissant tomber à genoux devant elle en attrapant l’une de ses mains.

Mais elle la retire avec violence :

-         Tu m’as brisée Kakashi ! J’étais au plus mal, j’étais complétement brisée !

-         Je ne recommencerai plus jamais ! Je ne ferai plus jamais cette connerie ! Je ne te laisserai plus jamais tomber ! supplie-je. 

-         Et je dois te croire sur parole ?! Parce que je n’aurais jamais dit que tu pourrais me faire ça, jamais ! Je me sentais tellement en sécurité dans notre relation, j’avais tellement confiance en toi ! Je t’ai ouvert les portes de ma confiance, de mon cœur ! Et tu as tout foutu en l’air Kakashi ! Tu m’as faire perdre confiance en toi, en les hommes, en moi, en tout ! Je suis tombée de tellement haut que j’ai bien cru que je ne m’en relèverais jamais ! Je me laissais presque mourir en t’attendant chaque jour, en attendant que tu viennes me récupérer pour me réparer et tu n’es jamais venu ! Tu préférais aller noyer ton chagrin de ton côté plutôt que de m’aider dans le mien et tu oses revenir la bouche en cœur pour que je te pardonne ! Ça n’arrivera jamais Kakashi ! Je ne te pardonnerai jamais ! Je ne te ferai plus jamais confiance !

-         Je sais ! Je sais Hanako, j’ai vraiment merdé ! Et je suis prêt à attendre le temps qu’il te faudra pour que tu me pardonnes un minimum, sanglote-je.

-         Je ne pourrai plus jamais te faire confiance, je suis sérieuse, chuchote-t-elle alors d’une voix éteinte.

-         Je ne te demande pas ça, je ne te demande rien, simplement de me laisser essayer d’être au moins ton ami …

-         Et bien bon courage pour devenir mon ami, parce que même pour ça, il te faudra drôlement ramer, dit-elle durement.

-         Alors je ramerai, je ramerai toute ma vie Hanako, mais je ne peux pas m’éloigner de toi sérieusement, c’est impossible, j’ai l’impression que tout mon univers tourne autour de toi… si je dois ramper à tes pieds pendant des années, je le ferai, mais je veux faire partie de ta vie, même en ami que tu méprises si c’est tout ce que j’ai le droit d’avoir, dis-je tristement.

Elle fixe le sol, l’air complétement abattue, épuisée par notre conversation, par ma personne, par ce que je lui ai fait tandis qu’elle parle si bas que je l’entends à peine :

-         Tu as tout gâché Kakashi… je te déteste, je te déteste vraiment de m’avoir fait ce que tu m’as fait. Tout ce que tu m’as fait, même les choses que tu n’as pas envie de me dire il faut croire.

Je ne comprends même pas de quoi elle parle, mais je comprends qu’elle me déteste vraiment, et ça me fait tellement de mal que je baisse la tête pour laisser les larmes rouler sur mes joues tandis qu’un long silence s’installe, rompu par nos petits sanglots étouffés.

Je finis par redresser la tête :

-         Je te comprends Hanako et tu as tous les droits, tu peux bien faire ce que tu veux de moi, de notre relation… C’est toi qui décides. En tout cas je serai là, pas bien loin… et si tu as besoin de quoi que ce soit, ou si un jour tu me détestes moins, tu n’auras qu’à me le dire et je serai là, dis-je tristement.

-         C’est trop facile Kakashi, vraiment trop facile, répond-elle avec un air dégouté. Tu me brises, puis tu me dis simplement que je n’aurai qu’à revenir si j’en ai envie…

-         Je ne sais pas quoi faire d’autre…, réponds-je avec sincérité.

Elle secoue la tête :

-         Alors ne fais rien Kakashi, c’est là que tu es le meilleur. Ne fais rien du tout et attend simplement que ça te tombe tout cuit dans le bec, mais je te préviens, ça n’arrivera pas, je ne reviendrai jamais, je ne te vois même plus comme la même personne, comme le Kakashi contre lequel je me blottissais, que je câlinais pendant des heures… je ne peux même plus te regarder en face, feule-t-elle.

Je baisse encore la tête, incapable d’affronter ses mots qui me tuent. Je me raccroche à l’espoir qu’elle me dise ça parce qu’elle est blessée mais que ce n’est pas vrai, qu’elle arrivera un jour à passer au-dessus.

Mais visiblement, mon mutisme ne lui convient pas, puisqu’elle décide de me torturer un peu plus :

-         Je préfère te prévenir, je sors plus ou moins avec Shisui, dit-elle d’une froideur de glace.

Aïe. Voilà qui est confirmé, même si ça paraissait évident.

-         Je m’en doutais. Ça a l’air d’être un homme très bien…, murmure-je faiblement.

-         Il ne m’abandonnera jamais lui en tout cas.

-         Je ne pense pas effectivement, conviens-je.

-         Et il ne me trompera jamais, continue-t-elle.

-         Sans doute, chuchote-je en reniflant tristement.

-         Je pourrai passer une vie sereine, dans la confiance absolue avec lui, siffle-t-elle.

-         Oui, certainement, admets-je.

-         Et tu t’en fiches ?!

Je relève le nez pour la regarder :

-         Non je ne m’en fiche pas Hanako. Je suis content que tu te sois trouvé quelqu’un de bien, c’est tout ce que je te souhaite sincèrement…, articule-je malgré le mal que ça me fait.

-         On dirait que tu t’en fiches, on dirait que ça ne te fait rien !

-         Ce n’est pas le cas, ça me fait mal au cœur, mais je n’ai pas mon mot à dire après ce que je t’ai fait. Je n’ai même pas mon mot à dire tout court. Je veux juste que tu sois heureuse et qu’il te traite bien, réponds-je sans comprendre sa colère actuelle.

Elle me dévisage un moment et je vois que ça ne lui convient pas du tout. Je ne sais pas ce que j’ai bien pu dire de mal alors que j’ai l’impression d’avoir été justement très gentil et compréhensif pour dire qu’elle me balance à la figure qu’elle est avec quelqu’un. J’aimerais bien l’y voir…

Ses yeux s’enflamment d’une colère noire :

-         Tu es vraiment un gros con Kakashi !! hurle-t-elle avant de me claquer sa porte au nez.

J’attends une petite dizaine de minutes devant sa porte, au cas où elle revienne, mais elle ne le fait pas alors je retourne dans ma chambre, la mort dans l’âme. Je pensais vraiment que cette discussion changerait les choses, particulièrement le fait que Rinko ne soit plus un obstacle entre nous, mais je me rends bien compte que Rinko est le dernier de ses soucis. Il n’avait finalement pas dû exagérer, j’ai véritablement brisé Hanako en me comportant comme le dernier des égoïstes, en faisant passer ma peine et ma culpabilité avant sa tristesse.

Evidemment qu’elle me déteste, qu’elle ne me fait plus confiance… je l’ai littéralement abandonné. Je n’ai pas le monopole de la souffrance, je ne sais pas comment j’ai pu me dire qu’elle me pardonnerait alors que notre relation était si forte, si fusionnelle, bâtie sur la confiance et notre complicité, notre besoin constant d’être l’un avec l’autre… Comment ai-je pu croire que je ne lui laisserais pas de marques en la lâchant pendant des semaines alors que nous sommes incapables de nous éloigner l’un de l’autre plus de trois jours depuis que je la connais… ?

Elle a raison, je suis beaucoup trop passif à lui dire que j’attendrai qu’elle me fasse un signe. C’est moi qui la blesse et c’est encore moi qui attends paresseusement qu’elle me pardonne… non, ça ne va pas. Elle a raison, je dois me battre, quitte à me faire envoyer bouler, quitte à ce qu’on se prenne la tête, quitte à me prendre des dizaines de piques dans la tête tous les jours comme aujourd’hui…

Il faut que je lui montre activement que je suis là, que je la veux, que je l’aime… Peu importe son Shisui de malheur, je vais tenter de la reconquérir. Cet objectif me donne de la force, un but, une raison de me lever le matin.

Je récupérerai Hanako, peu importe le temps que ça prendra, je dédierai ma vie à la récupérer puisque je ne peux de toute façon pas vivre sans elle. Maintenant, tout est sorti, je me suis excusé comme il faut je crois, je lui ai dit tout ce qu’elle ne savait pas, nous sommes prêts à repartir sur de bonnes bases, des bases saines, sans Rinko qui plane au-dessus de nos têtes.

Si j’arrive à la récupérer, elle ne sera plus simplement mon amante cachée, elle pourra être plus, beaucoup plus, ma petite-amie, l’amour de ma vie au grand jour, sans secret et sans culpabilité.

Je retrouve le sourire à cette perspective, fin prêt à tenter d’améliorer les choses entre nous. Alors après une douche rapide, je me glisse au lit avec mon « livre de pervers ».

  Je décide de le reprendre du début, les bases de la séduction, comment agir pour réussir à séduire une femme, lisant plus sérieusement que jamais les précieux conseils de maitre Jiraya.

 

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