LE TRIANGLE DE KONOHA (Kakashi x OC x OC)

Chapitre 123 : Les onsen

4057 mots, Catégorie: T

Dernière mise à jour 29/10/2025 10:01

Chapitre 123 : Les onsen


Après manger, nous remontons tranquillement à l’hôtel et mes camarades jouent avec la neige sur la plaine devant le bâtiment, se lançant des projectiles et se faisant tomber dedans à tour de rôle.

Lorsque Yume s’approche « discrètement » par derrière, je la laisse me foncer dessus jusqu’à la dernière seconde avant de l’éviter d’un pas, sans même sortir les mains de mes poches et elle s’éclate dans la neige toute seule, tête la première. Hanako éclate de rire comme rarement et je la regarde pour capter son beau visage rieur.

-         La vache Kakashi, qu’est-ce que tu es rapide, grommèle Yume en se relevant.

-         Oui, dis-je simplement en haussant les épaules.

-         Kakashi senseï est incroyable, il est l’un des ninjas les plus rapides de Konoha ! me vante encore Kiyowa.

Yuki éclate de rire :

-         Non mais sérieusement, combien tu la payes Kakashi ?! plaisante-t-il.

-         Cher, réplique-je.

Tous mes camarades rient à ma plaisanterie, décidemment, je suis hilarant avec eux il faut croire. Mais Yume n’est jamais bien loin pour casser l’ambiance :

-         Le meilleur ninja de Konoha… pourquoi ça ne m’étonne pas…, minaude-t-elle en venant à côté de moi.

-         Il a le look, c’est pour ça ! plaisante Shisui.

-         C’est clair, quel mystère, ce masque et ce bandeau…, continue Yume en se mordant la lèvre.

Je détourne la tête, encore gêné par son comportement, ne sachant ni quoi dire, ni quoi faire pour qu’elle me fiche la paix.

-         Et bien Yume, je ne suis pas sûre que tu aies besoin des onsen pour te réchauffer, lâche alors Hanako.

Nous tournons tous la tête vers elle, je suis abasourdi par sa réflexion et je me demande presque si j’ai bien entendu, comme tous mes camarades visiblement. Mais Yume ne le prend pas mal, au contraire, elle en rajoute une couche :

-         C’est vrai Hanako, ce n’est pas donné à tout le monde d’avoir aussi chaud, réplique-t-elle.

Mon dieu. J’ouvre des yeux ronds, choqué par sa vulgarité et la colère se répand dans mes veines tandis que j’attrape Kiyowa pour la trainer avec moi en direction de l’hôtel.

 Est-elle au courant qu’il y a une enfant parmi nous ?!

Pas assez grande pour avoir ce genre de discussion et pas assez petite pour ne pas comprendre l’allusion de Yume ! Ça me rend dingue, j’ai envie de lui faire manger de la neige avec violence.

-         Oups, papa n’est pas content, j’ai fait une gaffe ! pouffe Yume au loin.

Kiyowa se laisse faire docilement mais elle est rouge pivoine et ouvre de grands yeux, ce qui me tend encore plus.

-         N’écoute pas ce genre d’âneries Kiyowa, ce n’est pas comme ça qu’on devient une femme classe et élégante, grince-je entre mes dents.

-         Ne vous inquiétez pas senseï, il ne me viendrait jamais à l’idée de dire des choses pareilles. Même adulte je veux dire, me rassure-t-elle.

-         Tant mieux, continue comme ça.

*

Nous nous rejoignons aux onsen en début d’après-midi. L’ambiance est joyeuse, tout le monde est ravi de se réchauffer après la matinée gelée dans le village.  

Je me glisse dans l’eau chaude avec délice et je suis vite rejoins par Yuki tandis que Kiyowa prend le large, un livre à la main. Je me demande vaguement si elle ne compte pas aller se planquer quelque part pour lire tranquillement, ce que j’aurais sans doute fait à son âge alors je la laisse.

 Yuki entretient la conversation tout seul et je n’ai que quelques approbations à donner en attendant l’arrivée des autres. C’est Yume qui nous rejoint en premier, dans son maillot de bain absolument indécent et je me retiens à grande peine de lever les yeux au ciel lorsqu’elle s’agite devant nous inutilement pour se mettre « en valeur », du moins selon ses critères, mais mon agacement est vite dissipé par l’arrivée d’Hanako.

 C’est bien simple, je ne peux plus détourner le regard. Elle est stupéfiante dans son nouveau maillot, elle l’est de toute façon encore bien plus sans, mais il vaut mieux que je ne pense pas trop à ça actuellement.

Mon dieu qu’elle est belle, je n’arrive définitivement pas à détacher mon regard d’elle. Je m’absorbe tout entier dans la contemplation de sa perfection, jusqu’à ce que je remarque enfin qu’elle se tient bizarrement, les deux mains sur ses seins. Lorsqu’elle croise mon regard, elle me fait signe de venir timidement du menton alors je la rejoins rapidement, curieux au possible, surtout lorsqu’elle rougit quand j’approche.

-         Je peux te demander un service ? marmonne-t-elle.

-         Bien sûr, réponds-je.

-         Tu peux accrocher le haut dans ma nuque ? Je n’y arrive pas correctement toute seule, il est soit trop serré, soit pas assez… En général, une fois qu’il est accroché à la bonne taille, on détache simplement la ficelle au milieu du dos pour le mettre et l’enlever, mais comme je viens de l’acheter…, se justifie-t-elle.

-         Il n’y a pas de problème, réponds-je.

Je lance un regard à Shisui dans le bassin, sans trop comprendre pourquoi elle ne lui a pas demandé et je me décide à lui poser la question.

-         Pourquoi me demandes-tu ça à moi ?

-         Parce que même si je te déteste actuellement, c’est moins gênant si c’est toi qui le fais plutôt que n’importe lequel d’entre eux, réplique-t-elle en rougissant davantage.

-         Pourquoi ? demande-je en me glissant dans son dos.

-         Attache ce foutu maillot de bain Kakashi ! siffle-t-elle d’un ton sans appel.

Dès que mes mains touchent son dos, elle frissonne et je m’émerveille de ce spectacle. Je lui fais encore de l’effet visiblement, sa tête me déteste mais pas son corps et ça me rend plus heureux que jamais. Je ne commente pas et attache son haut doucement, me souvenant de la règle numéro trois de maitre Jiraya sur les compliments.

-         Tu es sublime dans ce maillot Hanako. Ils se trompent tu sais, ils n’ont rien compris à ta beauté, commente-je tranquillement.

Elle se retourne et m’interroge du regard alors je m’explique :

-         Ils voulaient te faire acheter le rouge pour qu’il mette en valeur ton corps parce qu’ils ne se sont pas rendu compte que c’est ton corps qui mettrait en valeur n’importe quel maillot, dis-je doucement.

Elle rougit jusqu’à la racine des cheveux, complétement renversée par mon compliment.

-         Merci Kakashi…, bafouille-t-elle.

-         De rien, dis-je sobrement.

Je m’éloigne sans ajouter quoi que ce soit, laissant planer l’effet de mon compliment. Je regagne ma place et Yume me regarde avec gourmandise, me faisant craindre le pire.

-         Kakashi, franchement… wouah, il n’y a pas d’autre mot, commente-t-elle en glissant ses yeux sur mon torse.

-         Merci je suppose.

-         Il nous éclipse tous, ronchonne Yuki avec humour.

-         Le commandant suit un entrainement rigoureux pour ce résultat ! commente Shisui en riant.

-         Arrêtez, vous allez le faire rougir, lance Hanako en se glissant avec nous.

Mais Yume tourne la tête vers elle et je sens qu’elle va encore nous scier, ce qui ne rate pas :

-         En tout cas toi, je ne sais pas comment tu pouvais imaginer une seule seconde rentrer dans le maillot de Kiyowa ! Tu as des formes qui ne sont pas celles d’une enfant ! rigole-t-elle.

Hanako se décompose en rougissant puis s’éloigne dans l’eau pour fuir Yume, suivie par son petit chiot de Shisui, à mon plus grand malheur. Ils s’installent à une quinzaine de mètres pour discuter tous les deux, et nous les observons en silence quelques minutes en nous détendant dans l’eau chaude.  

-         Bon sang, qu’est-ce qu’elle est belle…, soupire finalement Yuki à voix basse.

-         Oui, affirme-je doucement.

-         Quand on aime les formes sûrement…, réplique Yume d’un air détaché.

Je lui lance un regard agacé, je la trouve un peu trop insistante sur les courbes – divines – d’Hanako, et maintenant que cette dernière m’a signalé hier soir que ça ne lui faisait pas plaisir, je commence à me demander quel est le foutu problème de Yume.

Elle est effectivement différente d’Hanako, elle est fine comme un brindille et très musclée. Je ne critique pas mais ce n’est tout simplement pas ce que j’aime, je préfère la poitrine et les hanches plus voluptueuses de ma déesse, associées à un dos et des abdos légèrement dessinés… elle est parfaite bon sang... Stop Kakashi.

-         Tais-toi donc, tu rêves d’une poitrine pareille ! la tacle Yuki.

-         Sûrement pas, je préfère largement être sportive et affutée ! réplique Yume, vexée.

-         Elle est sportive, regarde-là ! C’est juste comme il faut, elle a vraiment ce qu’il faut où il faut ! dit-il d’un ton appréciateur qui me rend légèrement jaloux.

Il a le mérite de rendre Yume muette et je commence à me demander si elle n’est pas effectivement un peu jalouse d’Hanako… Je ne vois pas l’intérêt pour elle de jalouser Hanako parce que nous la complimentons alors que je suis persuadé qu’elle trouverait largement des hommes qui préféreraient son corps élancé et athlétique mais bon…

Je ne comprends rien aux femmes de toute façon, Hanako me le dit assez, alors j’abandonne ces pensées pour profiter du spectacle sous mes yeux en ignorant les commentaires de Yuki sur le corps de ma déesse, qui est un peu trop au centre des conversations à mon goût.

Elle rit avec Shisui au loin et il lui lance un peu d’eau dessus, la faisant couiner.

 Je me demande pourquoi elle ne lui a pas demandé de nouer son maillot… soutenant que ça aurait été « plus gênant » que si c’était moi… Cela veut-il dire qu’ils n’ont rien fait ? Je ne peux pas m’empêcher d’espérer que ce soit le cas, j’essaye de me répéter que ça ne me regarde pas et que je devrais arrêter de la fixer comme ça une bonne fois pour toutes.

Mais je n’y arrive pas, c’est une vraie torture, je me perds dans mes souvenirs avec elle et je frémis au simple souvenir de ses frissons, que je sème à ma guise sur elle dès que je l’effleure. Je pense à toutes les fois où j’aie eu la chance d’embrasser sa peau réactive, de promener mes lèvres le long de son corps en déclenchant sa chair de poule…

 Elle croise alors mon regard lubrique qu’elle connait par cœur et rougit furieusement, me ramenant à la réalité avec un coup de pied aux fesses qui me permet d’enfin détacher mes yeux d’elle. Je suis mortifié de m’être fait attraper et pourtant, elle choisit ce moment plus que gênant pour revenir vers nous.

 Mon cœur accélère lorsqu’elle se glisse juste à côté de moi sur le banc du bassin et que Shisui prend place à sa droite. Je n’ose plus bouger une oreille, ravi qu’elle soit venue à côté de moi sans me cracher du venin à la figure alors qu’elle vient d’intercepter mon regard intéressé… Ma bonne humeur grimpe en flèche jusqu’à ce que Yume se plante face à moi dans la minute qui suit.

-         Même aux onsen tu gardes ton bandeau et ton masque… mais que caches-tu là-dessous ? minaude-t-elle en se rapprochant de moi.

-         Si tu savais ! pouffe Yuki.

Je ris un peu avec lui, nerveusement, parce que Yume est pratiquement en train de se glisser entre mes jambes et que je suis extrêmement mal à l’aise.

-         Mais j’aimerais bien savoir oui ! répond Yume avec détermination.

Elle lève alors les bras pour tenter d’enlever mon bandeau, me choquant un peu plus et j’attrape ses mains au vol brutalement. Personne ne s’est jamais permis une chose pareille à part Hanako et il est hors de question que ça change.

-         Doucement mon loup…, susurre-t-elle.

J’en lâche ses mains de dégoût et elle rit à gorge déployée, je ne sais même pas quoi lui dire sans être virulent. Je ne sais pas comment la gérer bordel ! Elle est tellement envahissante et audacieuse, je n’ai jamais rencontré quelqu’un comme ça, je n’ai pas l’habitude d’avoir à gérer ça, je ne sais pas comment je peux réagir sans passer pour un salop.

-         J’ai fait peur à mon loup ? minaude encore Yume en se rapprochant.

Je ne réponds toujours pas, la dévisageant comme si elle était cinglée lorsqu’une petite main possessive se pose sur ma cuisse, sous l’eau. Je suis tellement choqué que je tourne lentement la tête vers Hanako en fronçant les sourcils, me demandant si elle est folle de faire une chose pareille alors que Shisui est à côté d’elle. Je m’apprête à l’interroger du regard mais lorsque je vois ses yeux, mon cerveau déconnecte.

Elle me lance un regard si brûlant par-dessous ses cils de biches qu’elle allume tous mes nerfs. Je connais ce regard, je ne pourrais jamais me tromper ou l’oublier, elle me le lance à chaque fois que nous nous « câlinons » alors autant dire que ma tension grimpe en flèche. Je me perds dans ses sublimes iris roses qui me semblent aussi doux qu’incandescents, mon mélange préféré au monde, et elle caresse lentement ma cuisse, marquant son territoire sous le nez de Yume qui ne voit rien. A ce stade, je ne peux officiellement plus sortir de l’eau sans me taper la honte de ma vie.

Nous nous regardons encore quelques secondes, je me noie complétement dans ce qu’elle dégage, cette énergie féminine puissante qui me transcende et m’appelle lorsqu’elle détourne le regard pour fixer Yume de ses yeux les plus froids en un claquement de doigts.

-         Visiblement oui, tu lui as fait peur Yume. Les loups, ça s’apprivoise, on ne les caresse pas du premier coup, lance alors sèchement Hanako à la surprise générale et particulièrement la mienne.

Yume tourne un regard mauvais comme la pluie sur elle, avant de lui répondre avec sa classe sans pareille :

-         Ne t’inquiète pas pour moi, les loups remuent la queue quand je m’approche, ils ne s’enfuient pas en courant !

Je m’attends à ce qu’Hanako se décompose, mais pas du tout :

-         Peut-être que tu n’attires que les chiens… J’ai bien l’impression que les loups sont plus sauvages que ça, ils ne sautent pas sur le premier bout de viande qu’on leur tend, ils sélectionnent une proie de qualité et la chassent longuement.

Nom. De. Dieu.

Personne ne moufte, tout le monde est tendu autour de nous et Hanako arrive enfin à fermer le clapet de Yume, qui rit un peu jaune avant de s’éloigner. Yuki et Shisui regardent Hanako comme s’ils ne la connaissaient pas tandis que je la dévisage, plus amoureux que jamais.

 Je connais le côté lionne d’Hanako, je l’adore même. Bon sang, il n’y a rien que j’aime plus que lorsque je sens qu’elle est jalouse, qu’elle me protège férocement des femmes comme c’est déjà arrivé avec Sun ou Hinari, qu’elle sort son caractère de feu simplement pour me garder pour elle. Ça me fait tellement de bien après cette situation horrible entre nous que mon cœur se serre :

-         Merci de m’en avoir débarrassé, souffle-je.

C’est loin, très loin de ce que j’aimerais véritablement lui dire, mais c’est la seule chose que je puisse lui dire devant tout le monde.

-         Il n’y a pas de quoi, répond-elle avec suffisance.

-         Je ne te savais pas si féroce, commente Shisui, impressionné.

-         Bah, j’ai bien vu que Kakashi était mal à l’aise. Et puis elle nous met tous mal à l’aise non ? répond-elle.

Tout le monde acquiesce tandis qu’elle se rappuie l’air de rien contre la paroi du bassin et je glisse ma main jusqu’à la sienne sous l’eau pour la remercier. Je la caresse du bout des doigts jusqu’à voir ses petites joues se colorer et tous mes espoirs renaissent à vitesse grand v puisqu’elle ne m’envoie pas me faire voir.  

*

Ce n’est que lorsqu’Hanako s’en va pour aller se préparer pour la fête de ce soir que mes idées s’éclaircissent et que je cherche Kiyowa des yeux. Je manque de m’étrangler de rire lorsque je la trouve : elle lit tranquillement dans un coin du bassin, avec juste ses petites mains qui sortent de l’eau. Elle a l’air au top et ça me rend heureux.

Je la laisse tranquille et me décide à sortir mais Yuki m’emmène mystérieusement avec lui dans un coin de la pièce.

-         Tu me fais une blague ? demande-je avec hésitation.

-         Oh non ! répond-il joyeusement.

Il passe le coin d’un mur, qui parait absolument anodin comme ça et je me retrouve dans une pièce toute en roche brute, où un beau bassin à plusieurs profondeurs s’avère être caché, avec de magnifiques cascades qui se jettent dedans. On se croirait dans une grotte, le seul indice qui prouve que nous ne sommes pas dans l’une d’elles est une haute fenêtre étroite, de toute la hauteur de la pièce, dévoilant le paysage enneigé au-dehors qui sublime le tout. J’en suis absolument émerveillé :

-         Mais qu’est-ce que c’est que ça ?! m’exclame-je.

-         C’est la source chaude originelle. Celle autour de laquelle tout l’hôtel a été construit, c’est d’elle qu’il tire son nom d’ailleurs. Le bassin à côté est artificiel, mais elle, est réelle, m’explique-t-il fièrement.

-         Mais pourquoi personne ne vient ici ? demande-je sans comprendre.

-         Parce que personne ne la connait, c’est un secret à découvrir soi-même…, dit-il.

-         Et tu l’as trouvé tout seul ? m’étonne-je.

-         Mes parents sont les propriétaires de l’hôtel, précise-t-il en riant.

Je ris et nous nous installons tous les deux dedans. L’eau est bien plus chaude que dans le bassin et l’ambiance beaucoup plus cosy et intime. Si j’avais su, je serais venu ici tout de suite :

-         Pourquoi prends-tu la peine d’aller dans l’autre pièce alors que tu as ce petit paradis à disposition franchement ? soupire-je.

-         Pour ne pas dévoiler le secret, je voulais quand même le montrer à mon équipe D mais Hanako est déjà partie, m’explique-t-il en riant.

-         Si je ne viens pas à la soirée ce soir, tu sauras où me trouver ! dis-je en fermant les yeux.

Il rit plus encore et nous restons là tous les deux, à discuter un moment. C’est un chouette garçon, je regrette mon attitude un peu froide du début, mais je ne sais malheureusement pas fonctionner autrement…

-         On emmènera Hanako, nous aurons forcément l’occasion, dis-je lorsque nous nous levons pour partir.

-         Mais oui, forcément. Ce n’est que le deuxième jour et il y en a cinq ! me dit-il en souriant.

 

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