The Way Of Ayumi

Chapitre 3 : Kushina

1871 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 15/04/2017 00:03




Depuis la découverte de la mystérieuse force de mes aînées,

une soif de d'apprendre à la maîtriser m'envahit.

J'en n'ai parler avec Kaitô,

l'histoire,

mes envies,

mon objectif.


Il cautionnait mes dires.

Il m'avais expliquer également son rôle maintenant que je connaissez la vérité.

Il serait mon sensei afin que je puisse maîtriser la puissance de cette force mais aussi à maîtriser ma force actuelle.

Il devait m'enseigner toutes sorte de technique de ninjustû et genjutsû.


Je le rejoignais à la clairière qui se situait non loin de la maison.

L'entraînement durait jusqu'à ce que le soleil embrassait la terre, pour devenir rouge oranger.


Bien évidemment Minato est au courant de tous cela, je n'ai pas hésité à lui raconter.

Il m'avait réconforté et rassuré sur certaines suggestion de ma part.


C'était bel et bien un véritable ami.


Il y à également une personne qui m'intrigue au plus au point.

Kushina Uzumaki.

Sa présence au village à suscité de nombreuses discussion au sein du conseil du hokage.

Comment suis-je au courant de tous cela ? 

L'agitation autour du hokage est grande, diverses personnes inconnues du peuple ont fait surfassent.

Je ne l'ai connaissez pas.

Mais eux, connaissent énormément de choses sur nous c'est certain.

Combien même, la venue de cette fille de mon âge, suscite autant travail,

je voulais faire sa connaissance,apprendre à la connaître.

Nous pourrions partager tellement de choses.


C'est pour cette raison qu'en ce moment même je me dirigeais au bureau de l'hokage.

J'étais peut-être, indécise de mon initiative mais mes pas étaient décidés.

J'avais peur de la réponse.

J'avais peur des réactions.

J'avais peur de faire une erreurs.


Mais maintenant que je suis devant cette porte.

Je ne peux plus reculer.

Je déglutie avant de soupirer.

Une vague de courage m'envahit, je frappe à la porte.

Après avoir eu l'autorisation, je rentre et me poste devant le bureau du hokage.




- En quoi puis-je t'aider mon enfant ? me demanda t'il


- J'aimerais vous demander quelques chose dis je confiante 



Voyant que je n'étais pas venue pour des choses futiles.

Il m'accorda toute son attention.

Il soutenait mon regard attendant ma requête.



- Eh bien voilà, depuis que Kushina à intégrer le village j'ai toujours voulu mieux la connaître.

C'est bien la seule personne, qui je pense, peux me comprendre vous savez.

J'ai des amies, vous les connaissez mais j'ai besoin d'une personne comme elle, en plus de cela c'est une fille.

Je dois dire que l'espionner n'ai pas quelques chose de bien mais je voyais sa détresse, sa solitude.

Je sais qu'elle vit seule et j'aimerais vous demander de l'héberger chez moi comme cela, elle ne sera plus seule dis je en le suppliant du regard 




Je me baisse tout en fermant les yeux.

Le suppliant mentalement.

Je ne sais pas si mon action est stupide ou autre mais je ne regrette rien.

Je sentis alors une pression sur mes cheveux.

Je me redresse et croise les pupilles de notre supérieur.

Un regard pleins de compassion.

Suivi d'un sourire rassurant.



- Tu est vraiment une gentille fille dit il 



Je lui sourie comme simple réponse.



- Ecoute moi, je trouve ta proposition très intéressante et bienveillante de ta part.

Je vais juste régler deux trois choses avant de te le confirmer, d'accord ? 


- Oui ! dis je joyeuse 


- Tu peux prendre congés mon enfant dit il en se relevant 



Je le quitte pour me diriger vers la porte.



- Merci ! dis je avant de fermer la porte 








**






Alors que je venais de terminée une séries de tire de shuriken et de kunai suivi d'un combat avec mon propre clone.


Seule.

Essoufflée.

Fatiguée.


Dans la clairière, où chaque soir après les cours, je m'entraînais.

Kanto n'avais pas pu venir, sa mission est plus longue que prévue.

Minato, devait rentrer plus tôt, histoire de famille.

Mikoto, avait obligation de ne pas rentrer trop tard le soir.


Oui, c'est bien la seule fille avec qui je me suis liée d'amitié.

Sûrement grâce à sont calme et ses paroles pleines de sagesse.

Il suffisait d'un regard pour nous comprend avec cette dernière.

Malheureusement, elle était surchargée de responsabilités.


Je me laisse tombée de fatigue.

Cela faisait plus d'une semaine depuis ma proposition et toujours rien.


Si ce n'est que le fait que Kushina à était au courant de notre discussion puisqu'elle est venue me demander des explications.

Je lui avais expliquer calmement que je voulais simplement mieux la connaître étant " étrangère " toutes les deux.

Nous avions bien plus de point communs que nous l'avons imaginer.

Mais la seule réponse qu'elle me donna fût le silence puis elle partit en courant.

Laissant ses cheveux balancer au gré du vent.

Je ne pouvais pas lui en vouloir après tout, elle doit se poser des questions à mon sujet.



Mon esprit étant plongé dans mes pensées ce qui n'est pas le cas de mes réflexes.

J'évite à temps quelques shurikens qui se plantèrent à l'endroit où étais-je étendus quelques minutes plus tôt.

Je me redresse rapidement et me met en position de combat comme me l'avais appris Kantô.

Je reste vigilante tous en sortant des kunais à mon tour près à m'en servir.

J'écoute attentivement, le vent soufflé, me murmurant sereinement aux oreilles.

Je me retourne soudainement et lance mon kunai.


Il saute à temps et l'évite.

En le voyant, je soupire rassurée.

Croyant réellement à un danger.



- Eh bien eh bien, tu à progresser depuis ton arrivée dit il en m'offrant un sourire 


- Je devrais te tué pour la frayeur que tu ma faite, Hiro dis je en retombant sur mes fessiers 


- Allons ne fait pas l'enfant, un peu d'adrénaline ne fait pas de mal dit il en s'asseyant en face de moi 


- Voyons, nous avons le même âge donc le " ne fais pas l'enfant " garde le pour toi dis je en criant avant de faire la moue 



Nous nous regardons quelques secondes avant d'exploser de rire.

Rire de notre insouciance.

Rire de nos bêtises.

Rire, juste rire.



Voyant la nuit tombée, Hiro me propose de me raccompagner jusqu'à la maison.

Je lui avais recommander de rentré et de ne pas se soucier de moi mais il m'a confirmé qu'il n'avait pas de couvre feux.

J'accepte.

Le trajet fût mouvement.

C'est vraiment un ami joyeux comme mystérieux.

Arrivée à destination, je lui propose à mon tour une tasse de thé.

Il accepta à son tour.


Il s'installe au salon pendant que je mis l'eau à chauffé.

Je me dépêche de prendre rapidement une douche.

Je sortis rapidement vêtue d'une robe blanche.

Je ne me soucie guère de ce que je porte.

Je me dépêche de courir dans la cuisine pour préparer le thé.

J'avais à ma disposition une mini tabouret pour atteindre le plan de travail.


Ceci fait, je retourne au salon qui était ouvert sur la terrasse.

Je m'installe et dépose la tasse ainsi que quelques biscuit à la disposition de mon ami.



- Je ne pensais pas que tu savais faire tous cela dit il en se moquant de moi


- Et moi, je ne savais pas que tu pouvais être aussi sage que tu en n'a l'air dis je en tirant la langue 


- On ne s'ennuie donc jamais avec toi dit il en rigolant 


- Jamais dis je fièrement 


Nous discutions encore tout en grignotant.

Puis il décide de rentrer jugeant qu'il se faisait très tard.

Je propose d'attendre Kantô qui ne devrait pas tarder pour le raccompagné.



- T'en fais pas, le quartier des Uchiwa n'est pas loin dit il en se redressant 


- Tu en n'est certain ? insistais-je 


- Tu à oubliée à qui à tu affaire ? dit il fièrement 


- Uchiwa Hiro, le baka du village me moquais-je 



Il fit semblant de se sentir vexé avant de me rassuré à nouveau.

Je le raccompagne jusqu'à la porte.

Alors qu'il s'apprêter à partir, il se retourne vers moi et me fit une pichenette.



- Aie ! dis je en me massant le front 


- Les robes te vont bien au faite ! dit il avant de disparaître dans la pénombre et la foule


- baka ! hurlais je avant de réaliser ses propos 



Qu'il peut-être bête.

Un sourire se dessine sur mes lèvres malgré tout.

Au moment de retourner à l'intérieur, j'entendis des pas.




- Princesse Ayumi ? dit il surpris de me voir au pas de la porte 


- Kantô dis je contente de le revoir 



Alors que j'allais rejoindre Kaitô, je m'arrête net.

Voyant une silhouette de ma taille près de lui.

Une expression de surprise s'installe.



- Kushina ? dis je en la regardant 


- Ils ont acceptent votre proposition et votre amie également dit Kaitô d'un sourire 



Mes yeux s'écarquillent.

Je saute de joie tout en allant dans leurs direction.

Je pris impulsivement ses mains tout en les balançant.

Elle ne dis rien, gênée, timide.



- Dis donc princesse, combien de fois dois-je vous le répétez ? Ne sortez jamais pied nus dit il d'un air désespéré



Je ne l'écoutais même plus.

J’entraînais déjà ma nouvelle amie chez elle.

Lui présentant chaque pièce de la maison.



- Et là c'est ta chambre et ont est juste à côté, regarde ! dis je en faisant coulisser la porte 



Elle ne dis rien non plus.

Je me calme instantanément.

Je m'excuse.



- Tu n'a pas à t'excuser, c'est moi dit elle finalement


- Je ne te suis plus dis je perdue 


- Eh bien, tu à la gentillesse de me proposer d'hébergée chez toi alors que ne connais strictement rien de moi.

Je suis une étrangère.


- Où est le problème ? Tu est considérer comme une personne du village tu sais malgré les moqueries des autres.

Tu verras, tous ceci est futile et si j'ai faite cette demande, c'est parce que j'ai senti qu'ont avait besoin de se connaître dis je en souriant 


- Merci..dit elle en souriant à son tour



C'est alors que Kaîto rentre dans la chambre.

Il l'a rassure à nouveau et lui explique clairement qu'à partir de maintenant c'était un membre de notre famille à part entière.

Nous nous considérons comme une famille.

Après avoir éclairci ce point, nous avions préparer notre dîner tous ensemble avant de le dégustez sous les rires de Kaîto.


Le soir même, nous discutions avec Kushina.

Elle était beaucoup plus à l'aise et ouverte.

Nous nous racontions des anecdotes amusante ou bien triste.

Des choses qui nous concernait, des choses pour apprendre à ce connaître.


Nous nous endormons finalement l'une à côté de l'autre.














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