The Way Of Ayumi
Nous sommes finalement arrivé au village.
J'avais malgré tout honte de mon comportement immature.
Kaito avait décidé de m'accompagner jusqu'au palais du hokage.
Quand il frappe à la porte et l'ouvre, il n'entre pas.
Il s'excuse avant de refermer la porte.
- Que ce passe t'il ? demandais je en m'adossant contre le mur
- Le hokage est avec des hôtes pour le moment mais il te demande de l'attendre bien gentiment cette fois-ci dit il en soupirant
- Mais où va-tu ?
- Ont à besoin de moi au village, malgré la guerre terminé il faut continuer nos services dit il en ébouriffant mes cheveux
- Je vois, on se voit ce soir alors ?
- Oui, ne rentre pas trop tard s'il te plaît, tu connais Kushina si elle ne mange pas tôt elle explosera se moque t'il
Un rire s'échappe.
Il rigole légèrement à son tour.
Il me fait confiance et ne reviens pas sur ce qui s'est passé.
Comme si tous ceci c'est effacé.
Il ne veux pas me mettre mal à l'aise.
Je lui souris une dernière fois avant de le voir disparaître.
Je m'adosse contre le mur et joue avec mes doigts.
**
Des secondes,
des minutes,
des heures passent.
Le soleil commençais à se coucher.
Mais que diable disent t'ils ?
Soudainement la porte s'ouvre.
Une dizaine de personnes quittent les lieux.
Ne faisant pas attention à ma petite personne.
Alors que le calme revient,
je m'approche de la porte entrouverte pour frapper mais la discussion m'interpelle.
- Comment a tu osé commettre l'irréparable ? Comment à tu pu ? cria l'hokage
Je regarde discrètement et constate effectivement que le hokage était dans tous ses états.
L'homme qui lui faisait face, était de dos pour moi.
Seul ses cheveux brun en bataille et des bandages sont dans mon champs de vision.
Qu'à t'il donc fait pour mettre l'hokage dans cette état ?
- Hiruzen, tu sais très bien que je l'ai fait pour le bien du village se soupira t'il
- Je ne vois rien dans cet acte quelques choses de bénéfique pour le village ! Tu à juste sacrifié des vies inutilement ! cracha t'il enragé
- Je conçois que ce village soit une force supplémentaire au nôtre mais ce clan là risquait de se rebeller contre nous ! Tu n'a donc pas vu la réaction de la dirigeante à la réunion ?
- Elle ne s'est pas rebellée ! Elle était simplement en désaccord avec ce que tu propose dit il en essayant de se reprendre
- Qui sait ce qu'elle réservait ? Sa fille est parmi nous, c'est peut-être une ruse ? un piège ? Je me méfie de cette femme et son clan dit il calmement
Mes membres tremblaient légèrement.
De qui parlent t'ils ?
- Sa fille est venue de plein gré et ce n'est en aucun cas une menace, ni sa mère, ni son clan apprend à voir les personnes différents. Il ne sont pas tous des ennemis Danzô !
- Ce que tu me dira, ne changera pas mon avis. De plus, ce qui est fait et fait, c'est plutôt à toi de changer ta vision des choses dit il sereinement
- Je ne veux plus te voir ici et n'essaye pas de commettre à nouveau ce genre de décision sans m'avoir consulté ou avoir mon approbation car la prochaine te sera fatal Danzô.Garde le dans un coin de ta tête et que je ne te revois pas ici dit il autoritairement
Je me ressaisis et reprit ma place initiale rapidement.
Ce Danzô.
C'est lui.
C'est lui, le coupable.
Il à profitez de cette guerre pour faire passer sous silence la décapitation de mon clan.
Il sort de la pièce et me regarde quelques peu surpris.
Je le fixe à mon tour.
Un regarde haineux.
Une envie de lui sauter dessus et l’assassiner ici même me traverse l'esprit.
Il ne me lâche pas du regard.
J'approche mon pouce à ma bouche.
Prête à en découdre avec cette bel enfoiré.
Cette ordure de première.
Une atmosphère hostile s'installe.
Une pulsion m'envahit.
Je me mord le doigt.
Il me regard étonné.
Du sang coule.
Mon sang.
Je commence à inscrit le kanji.
- Ayumi, viens ici nous devons parler dit l'hokage en me prenant par le bras
Je reviens sur terre.
Le dénommé Danzô disparût intrigué.
La porte se ferme dans un claquement.
Il soupire.
Je dévie mon regard.
- Ayumi, à tu é-
- Je suis désolée de ce que je fais, je suis désolée d'avoir blessée mes amies, je suis désolée d'être partie sans écoutez. Je suis désolée sincèrement dis je en m'abaissant
Je n'ai pas pu les retenir à nouveau.
Les larmes dégoulinaient.
Une main vient se poser sur ma tête.
- J'accepte tes excuses mon enfant dit il en se mettant à ma hauteur
Il me relève mon visage humide.
Je le regarde.
Un regard compatissant.
Il ne m'en voulait pas.
Je saute dans ses bras.
Continuant à pleurer à chaude larmes.
Telle une enfant qui venait de s'écorché le genou.
Il ne parut pas surpris.
Il resserre l'étreinte.
Tapotant légèrement mon dos.
Il ne dis pas un mot.
Comprenant ma souffrance, sûrement.
Je venais de perdre ma famille.
Au bout de quelques minutes, je me détache de mon supérieur.
Il me souri.
- Une équipe s'est rendu là-bas, si il y à le moindre petit quelques choses je t'en ferai part me rassure t'il
- Merci beaucoup et excusez mon geste déplacée dis je gênée
- Tu n'a pas à t'excusez, je comprend ton geste tout à fait. Je souhaite malgré tout qu'après cette petite escapade que tes idées sont claire ? me demande t'il
- Je suis assez perdue mais je sais que ma place est ici, parmi vous. dis je sûre de moi
- Tant mieux, je suis soulagé souri t'il
- Je vais me retirer.
Je le salue poliment une dernière fois et me dirige vers la porte.
- Encore une chose mon enfant, tu n'a rien entendu de notre conversation avec mon hôte ?
Je reste de marbre.
Une forte hésitation de révéler la vérité ou non m'envahit.
Que devrais je faire ?
Le lui dire ou non ?
Qu'est ce que cela va me rapportez ?
Une vengeance ?
Je ne sais pas.
Je suis complètement perdue.
Ce n'est pas vraiment la personne avec qui je voudrais révéler la vérité.
Mais il n'est pas dupe.
Je peux faire confiance.
Je peux lui faire confiance.
- Non, je n'ai rien entendue si ce n'est que vos cris répondis je calmement
- Je vois, excuse moi. Rentre chez toi et repose toi dit il avant de sourire tristement
Je ferme la porte.
**
Je sors finalement du palais.
Le soleil touchait terre, il commençait à disparaître.
Les lumières du village s'allument, la bonne humeur des villageois refait surface.
Malgré cette période difficile, ils gardent tous le sourire.
Pour remonté la pente.
Je marche d'un pas lent vers notre maison.
Ce que je venais d'entendre me tiraille l'esprit et me ronge les entrailles.
Une folle envie de vengeance me préoccupe.
Ce personnage est un meurtrier de première.
Je soupire.
Fatiguée de cette journée.
- Je dois lui en parler dis je concentrée
J'effectue quelques mudras et joint mes mains.
Une lumière bleu en jaillit.
Je les sépare délicatement.
Un oiseau bleu turquoise entièrement fait de chakras se tenait dans ma main.
- Transmet lui mon message, petit oiseau dis je en le l'incitant à s'envoler
Il déploie ses ailes et part vers sa destination.
Je le regarde s'éloigner avant de reprendre ma marche.
Traversant la foule de gens.
L'odeur de la nourriture et les conversations animés de certaines personnes ne passent pas inaperçue.
Cela m'arrache un fin sourire.
Combien même les horreurs de la guerre sont douloureuse, personnes ne s'arrêtent là.
Ils continuent de vivre comme si rien ne s'était passé.
Comme si c'était un cauchemars.
J'arrive finalement quelques minutes plus tard, devant le seuil de la maison.
Je pouvais entendre Kushina se plaindre de mon retard ainsi que Kaitô qui essaye de la rassuré.
Ma lèvre inférieur fût prise de tremblement.
Les larmes menaçait de tomber.
Mais un sourire vient troubler ce tableau de tristesse.
C'est ma famille qui se trouve derrière cette porte.
Celle avec qui j'ai forgée ce que je suis.
Celle avec lequel mon avenir est tracé.
Je rentre sans frapper à la porte.
Retire brusquement mes chaussures.
Court pour les retrouver.
La lumière du salon ce fait grande.
J’accélère le pas.
Je vois alors Kaitô et Kushina debout me regardant incrédule.
Je m'arrête à leurs hauteur.
Les regarde, heureuse.
- Je suis rentrée dis je en souriant de toute mes dents
Ils sourient à leurs tours.
Heureux.
- Bienvenue à la maison disent ils en cœur
Les larmes roulent sur mes joues à nouveau.
Roulent silencieusement.
Malgré le sourire qui trônait sur mon visage.
Kaitô, s'abaisse.
Il pose ses mains sur mes joues et d'un geste doux retire l'eau salé.
Avant de les tirer délicatement, me souriant.
Kushina arrive à ses côté.
- Bon, maintenant qu'elle est là ont peux manger s'il vous plaît demande t'elle une mine boudeuse
- Oui, bien évidemment. Venez m'aidez à mettre la table les filles dit il en se redressant
J'essuie d'un revers de la main les larmes qui perlent sur le coin de mes yeux.
Kushina se saisit de ma main, souriant.
Je lui sourit à mon tour avant d'installez la table avec cette dernière.
Kaitô dépose les différents plats avant de s'installer auprès de nous.
Un repas familiale.
Un repas conviviale.
La bonne humeur et la joie était présente.
Tout allez pour le mieux, alors pourquoi ?
Pourquoi un creux s'est formé dans ma poitrine ?
Pourquoi ressentais-je cela ?
Pourquoi ais-je un nœud noué au fond de mon ventre ?
Pourquoi je jouais à la carte de l'indifférence ?
Alors qu'au fond, je suis encore toute bouleversée.
Le repas s'est finalement terminé.
Je me suis rendue dans la salle de bain, seule.
Je me regarde dans le miroir.
Les traits de mon visage étaient tirés et fatigués.
Mes yeux sont encore rouge à cause des larmes.
Mes cheveux noir ont encore énormément pousser.
Si, il continuait sur cette lancé il dépasserons ceux de Kushina.
Alors prise d'une pulsion, je me saisis d'une paire de ciseau.
Rassemble mes cheveux d'une poignée et commence à les découper.
Après quelques claquement de ciseaux, je me regarde à nouveau.
Mes cheveux arrivaient au dessus de mes épaules.
Il est temps de faire du changement.
Je rentre délicatement dans l'eau chaude.
Un soupire de bien-être.
Sentir l'eau chaude avait pour effet de décontracté mes muscles.
Je reste ainsi pendant longtemps.
A réfléchir de tout ce qui venait de ce passer.
Que devrais-je faire ?
C'est après quelques coups à la porte que je sortis de ma transe.
La voix de Kaitô résonna derrière la masse de bois qui nous sépare.
Je ne lui répond pas.
Je me savonne rapidement avant de verser une immense vague d'eau.
Je me sèche et m'habille d'une robe.
Je soupire.
Pourquoi me forgée une carapace ?
J'étais libre de montrer ce que reflète mon cœur mais je ne veux les inquiéter.
Je ne veux pas les tourmenter à nouveau.
Mais je sais que grâce à eux, le trou qui s'était formé en moi.
Se refermera.
Je sors finalement de la salle de bain.
Kushina qui passait par là, s'arrête net.
Ses yeux deviennent subitement rond face à ma nouvelle coupe de cheveux.
- J'arrive pas à y croire dit il en papillonnant des yeux
- Croire quoi ? demande Kaitô qui surgit soudainement
Je le regard du coin de l’œil.
Sa réaction se fit immédiate.
Ce qui est assez drôle, ayant une mèche de cheveux qui couvrait son œil droit et son attitude d'habitude calme changea.
Il se précipite vers moi avant de me secoué comme un pommier.
- Princesse ! Vos cheveux ! dit il en examinant mes cheveux en long en large
Kushina quant à elle, tombe à la renverse.
Tourmentée.
Un rire s'échappe de mes lèvres avant de se transformer en fou rire.
Je ne m'attendais pas du tout à cette réaction de leurs parts.
Ils me regardent incrédule.
- Je ne pensais pas que mes cheveux avait une telle importance dis je en me calmant
- Eh bien, je dois dire que je ne pensais pas que tu allez te les coupé répondis Kaitô en se redressant
- Je ne comprend pas pourquoi tu t'es coupé les cheveux dit Kushina en se tenant la tête
- Ce n'est rien du changement sa fait du bien de temps en temps, ils repousseront dis je en prenant Kushina par les épaules
- Mais je dois avoué qu'avec cette coupe ton visage et tes yeux ressortent mieux souri Kaitô
Je me contente de lui sourire avant que Kushina se saisisse de mon visage et de me regardez dans les yeux.
- Tu ne t'es pas coupé les cheveux pour une autre raison particulière n'est ce pas ? me demande t'elle soudainement
- Non, Kushina je te jure c'est une décision soudaine qui m'a pris c'est pour cela que je l'ai est coupé ! soupirais-je
- Tant mieux alors dit elle en partant dans la salle de bain
Je rigole de ses petites manières.
Je suivi alors Kaitô jusqu'à la terrasse derrière, il étendait le linge.
L'été pointait le bout de son nez.
Une légère brise fit virevolté le linge ainsi que ma chevelure.
Je soupire une énième fois, mon regard dévie sur l'horloge.
Aie ! Je vais être en retard.
Je me redresse.
- Kaito, je peux sortir ? demandais je en lui tirant le tee-shirt
Il détourne ses yeux sur ma petite personne avant de poser une main sur ma tête.
- Tu peux mais ne rentre pas trop tard dit il en me tendant un parchemin
Je le regarde les yeux pleines d'étoiles avant de me saisir du parchemin.
Il en avait pris soin.
Je lui sourie avant de me dépêche d'enfiler mes chaussures et sortir.
Je saute de toit en toit.
L'air frais me caresser désormais la nuque.
C'est vrai que je devais me faire à cette sensation maintenant que mes cheveux sont court.
J’accélère la tendance tout en appréciant ce moment.
Arrivée au sommet des têtes de pierre où les grands hokage étaient immortalisées.
Je m'installe sur le bord laissant mes jambes pendre au dessus du vide.
Je prit le parchemin entre mes mains avant de réunir mes doigts.
Ma flûte en sortir.
Je dois dire que ma mère ma plus au moins forcée au départ pour que je joue d'un instrument.
C'était une sorte d'initiation dans notre village, il fallait au moins jouer d'un instrument, savoir danser et si aucun de ses points n'est pas acquis il fallait chanter.
C'est tout naturellement que je pris la flûte.
Une grande flûte en métal. Depuis que cette objet éclatant à croiser mes prunelles, j'en suis tomber amoureuse.
Le simple son qu'il produit me faisait frémir.
De plus, c'est un moyen efficace pour se détendre.
Je soupire un grand coup avant de porter l'objet en métal à mes lèvres.
C'est ainsi que la mélodie fût transportée par le vent.
Je me laissais transporter par les notes que j'effectuée.
Une impression que tous le village m'entendent me rend quelques nerveuse.
Mais je ne laisse rien paraître, c'est un moment délicieux que je dois savourée.
Je continue ainsi pendant quelques minutes avant d'arrêter.
Des applaudissement retentit dans mon dos.
Je me retourne un sourire gênée.
- Tu joue magnifiquement bien dit il de son sourire habituelle
- Merci, sa faisait un moment que je n'avais pas jouée et sa me manque dis je en la faisant disparaître
Il me rejoint en laissant ses jambes pendre dans le vide.
Je le regarde avant de baisser le regard.
Il prit alors une mèche de mes cheveux la caressant délicatement.
- Tu t'es coupée les cheveux ? dit il quelques peu surpris
- Sur un coup de tête, j'avais besoin de changer dis je en soupirant
- Je comprend, tu traverse une période difficile. Tu ravale tes sentiments pour ne rien montrer aux autres mais tu ne peux rien me cacher.
- Je sais bien même Kaitô voit à travers moi, j'ai l'impression que vous lisez en moi comme un livre ouvert dis je posant ma tête sur son épaule
- C'est vrai. Au faite, ta technique de l'oiseau messager est de plus en plus impressionnante et performante dit il en changeant de sujet
- Merci dis je en souriant légèrement
Il ne dit plus rien laissant le vent venir prendre les peines qui me consumaient.
Effectivement, mes larmes s'envolent dans le néant avant de disparaître en milles éclats de lumières.
Nous regardons malgré cela, la vue qui s'offrait à nous.
Les couleurs que notre village nous offrait, la fumée des stands, les bruits qui se mélangeaient.
Un magnifique tableau se dessine devant nos yeux.
Je pris alors mon courage à deux avant de me redresser correctement lui faisant face.
- Tu sais, tout à l'heure je suis allez voir le hokage et j'ai surpris une discussion à mon égard.
Il me fixe intensément, soutenant mon regard pour que je continue.
- Son hôte à profitez de la guerre pour exterminé mon clan du village car selon lui c'était une menace trop grande. Il pensait que je suis venue ici en étant un espion soupirais je
Il ne me fait aucunement confiance, je sais bien que ce n'est pas lui qui à le dernier mot mais qui me dis qu'il n'est pas quelques d'important, dans l'ombre. Il ne m'effraie pas.
Mais sachant que c'est lui qui est à l'origine de la fin de mon clan, je dois t'avouer que j'ai envie de le tuée, de faire coulé son sang, de le voir mourir dans d'atroces souffrances, je-
Il mit fin à mon monologue en mettant sa main sur ma bouche, m'obligeant à me taire.
Son regard dure témoigne des mots rude que j'employais.
Je baisse le regard à nouveau.
Il soupire avant de retirer ses mains.
Il me prit le visage et me regarde droit dans les yeux.
- Depuis quand souhaitons la mort à quelqu'un combien même il peut-être dégueulasse. Je te comprend parfaitement mais ne te laisse pas envahir par tes émotions.Imaginons que tu te soit venger et alors ? Qu'est ce que cela va t'apporter ? La satisfaction d'avoir tuée quelqu'un ? Ais confiance aux personnes qui t'ont donner leurs paroles. Le hokage n'est pas n'importe qui, il prendra les mesures nécessaire pour te protéger pour que cette personne ne s'approche pas de toi. Je te protégerais. Tu ne dois plus te focaliser sur la vengeance même si cela fait mal. Désormais, tu à une famille ici. Tu fais partie de cette famille. Apprend à allez de l'avant même si c'est douloureux. Tu dois te construire un avenir heureux. Tu verras, ais confiance dit il en me prenant dans ses bras
Je craque.
Il avait trouvé les bons mots.
Pour me rassurée, m'apaisée et me donner espoirs.
Je resserre notre étreinte.
- Merci. Merci Minato.
Ont se séparent.
Je lui souris, il fait de même.
Après quelques minutes où le temps reprit sa course, il me propose de me raccompagnée.
J'accepte, après tout c'est à ça que sert les amies.
Ils nous prête main forte même dans les moments dure.
Peut-être que la vie n'est pas aussi douloureuse ?
Seul le temps nous le dira.
Arrivée au seuil de ma porte.
Je le remercie à nouveau avant de le voir partir.
Je lui fais un dernier signe de main avant de rentrer chez moi.
Kushina m'attendait devant la porte de pied ferme.
En voyant sa mine, je pouvais dèja connaître la suite.
- Je te jure qu'on à fait que parler dis je en levant les mains
Elle pose durement ses mains contre ses hanches et prit un air colérique.
Je soupire.
- Alors dis moi ce que tu lui à racontez et maintenant !
- Désolée dis je en disparaissant devant elle
Je venais d'arrivée dans le salon, j'avais anticiper le cas Kushina depuis le retour. Minato à malgré tout accompagné mon clone.
Kaitô à attendu mon retour toujours à la terrasse avec son thé, qu'il m'a proposé d'ailleurs et que j'ai acceptée avec joie.
Depuis l'incident, Kushina ne cesse de croire qu'il se passe quelque chose avec Minato, j'ai beau lui dire le contraire elle ne me croit pas.
J'en suis sûre qu'elle est tomber sous son charme et n'ose l'avouer. Je l'imagine bien surtout que depuis le début, elle le rabaissait.
Je sourire face à cette pensée.
- AYUMIIIII !! dit elle en débarquant plus qu'énervée
Je déglutis difficilement.
- Le piment rouge est de retour chuchotais je à Kaitô
Je n'ai le temps d'en rajoutée que je la vois courir à toute allure, je prend mes jambes à mon cou et court à travers la maison pour échapper à ses griffes.
Je n'ai pas pu m'empêcher de rire face à cette réaction qui devient habituelle.
Au bout de quelques minutes, elle me rattrape et me saute dessus sans gêne.
M'écrasant sous sa force titanesque, je n'ai pas pu contenir mon fous rire plus longtemps.
- Arrête de rigoler ce n'est pas du tout drôle s'écria t'elle en faisant des gestes
- D-désoler mais tu aurais du voir ta tête dis je en essuyant les larmes
- Oh ! Mais tu te paie ma tête en plus dit elle m'ébouriffant les cheveux
Ont se chamaille.
Puis ont finit par rigoler ensemble de notre bêtise.
Je me confie également à cette dernière, lui expliquant ce que j'avais avouée à Minato.
Elle parut gênée mais je la rassurais. Elle ne devait pas s'en vouloir.
- Tu aurait du en parler à Kaitô aussi dit elle en faisant les gros yeux
- Je ne veux pas l’inquiéter, je n'aime pas le voir triste dis je en lui tirant la langue
Puis nous discutions d'autres choses jusqu'à l'épuisement.
Les portes du rêves étaient ouvertes.
**
J'ouvris mes paupières difficilement.
Je me redresse avant de bailler en retirant quelques mèches rouges.
Je regarde mon amie qui dormait encore paisiblement.
Je me relève discrètement et sors sans un bruit.
Les portes menant à la terrasse étaient ouverte laissant les rayons du matin pénétraient à l'intérieur de la maison.
Je m'installe dans l'herbe fraîche.
Je voulais absolument voir se lever de soleil.
C'est alors que je sentis une ombre s'installer à mes côtés.
Je ne dis rien et savoure la vue que nous offre la nature.
- Que me vaut votre visite de si bon matin, hokage-sama ? demandais je en regardant le ciel
- Eh bien je viens admirer se magnifique lever de soleil répond t'il en croisant les mains derrière son dos
Je le regarde en laissant un léger rire s'échapper. Il n'était pas venue pour cela puisque de son bureau il avait une meilleur vue.
Kaitô arrive au même moment avec un plateau de thé.
- Hokage-sama ?
- Bonjour mon cher Kaitô dit ce dernier en souriant
- Voulez-vous du thé hokage-sama ? demande Kaitô
- Pas pour cette fois merci de m'avoir proposé, je viens simplement remettre cette missive dit il en me tendant le papier
Je la pris tout en remerciant notre supérieur qui disparût la minute suivante.
Je reste perplexe devant ce bout de papier.
Kaitô m'invite à le rejoindre près de lui, ce que je fis.
Il me sert une tasse de thé et m'invite à ouvrir cette étrange lettre ou ni nom ni prénom y figure.
C'est alors que je décide de me concentrée un minimum pour voir que c'est un sceau qui est imposé.
Seul les personnes de notre clan peuvent le voir et le faire.
Je concentre un minimum de mon chakra sur mon index et le pose délicatement sur le papier qui s'évapore dans un feu de couleur bleu laissant ainsi le contenus de la lettre à mes pieds.
Kaitô me regarde fièrement.
<< Chère Ayumi,
Je voulais te prévenir que je suis encore en vie.
J'aurais aimée venir mais je ne peux quitter le village.
Il à besoin de moi.
Dorénavant, j'aimerais que tu porte un masque dès que tu quitte le village.
Tu sais que nous avons un ennemis qui veux la mort de notre clan.
Maintenant il ne reste que toi et moi, j'aimerais que tu prenne tes précautions.
Au plaisir de te revoir ma fille.
Natsumi Onitsuka >>
Je suis soulagée que ma mère soit vivante mais une pointe de déception se reflète sur mon visage.
La lettre disparaît en un grain de sable bleu avant de faire apparaître un petit masque kitsune bleu ornée de fleur de couleur rose.
Il était petit, il recouvre simplement le haut de mon visage. Je soupire.
Soudain de larges bras m'entoure et le menton de Kaitô se pose sur mon épaule.
- Tu est déçue n'est-ce pas ? me demande t'il
- Hm répondis je en baissant le regard
- Tu t'attendait à beaucoup d'affection et qu'elle te le montre hein ? dit il en me prenant dans ses bras
- Oui. Elle n'est même pas fichu de m'adresser des mots doux ! J'ai l'impression qu'elle à écrit à un compagnon d'arme et non à sa fille dis je en resserrant l'étreinte
C'était peut-être égoïste de ma part de penser cela mais j'était tout de même plus importante que le village.
Je voulais qu'elle vienne me voir, me prendre dans ses bras et me rassurer. Qu'elle me dise qu'elle tenait à moi comme l'avait fait Kaitô.
Mais, elle n'a rien fait de cela.
- Sa fait 7 ans que je ne suis pas revenue au village et elle n'est même pas venue me voir, ni prendre de mes nouvelles si ce n'est pas moi qui le fait ! Sa seule excuse c'est le village ! criais je hors de moi
Je ne voulais pas pleurer, c'était inutile.
J'étais juste en colère.
En colère contre ma mère.
Il me frotte le dos tout en se balançant de droite à gauche.
Ma colère retombe bien plus vite que je ne le pense.
- Pour te dire vrai, je ne sais pas ce que tu ressent réellement, j'ai vécue heureux avec mes parents. Quand ils sont morts, j'ai ressentis un grand vide et la solitude ma aidé à avancé soupire t'il
- La solitude n'est pas une solution...répondis je d'une petite voix
- La première fois que je me suis occupé de toi, tu à comblée ce vide même étant enfant ton sourire redonnait espoir. Plus je m'occupais de toi, plus je m'attachais à l'être que tu était dit il nostalgique Cela m'a rappelé ma petite sœur, je m'occupais d'elle également et comparé à toi, elle était sage comme une image. Je me rappel qu'à l'époque, j'étais très protecteur, encore pire qu'avec toi. Quand je te voit j'ai l'impression de la voir quelques parts, quand j'ai sû que tu quittait le village pour ailleurs j'ai demander à t'accompagnais. Je me devais accomplir cette mission et personne d'autres, c'est comme si, depuis le début j'étais destiné à te suivre, même si m'a vie en dépend dit il le regard lointain
Je l'écoute attentivement.
Il parlait rarement de son passé.
Il parlait rarement de ce qu'il ressentait.
Je sourie.
Je me redresse et le regarde dans les yeux.
- Merci Kaitô, merci pour tout dis je en sautant à son cou
Il rigole légèrement de ma réaction.
En ouvrant les yeux, je vis la porte de la chambre s'ouvrir laissant place à une Kushina encore à moitié endormie, les yeux humides signifiait qu'elle avait fait un mauvais rêve.
- Vous êtes dèja lever ? dit elle en baillant
Je me détache de Kaitô qui me souri avant d'intimé à Kushina de venir auprès de nous.
Il la prit dans ses bras. Elle parut surpris en devenant rouge pivoine.
Mais au bout de quelques secondes, elle resserre l'étreinte tout en remerciant Kaitô.
Je sourie face à cette image.
J'en suis sûre maintenant.
Le pouvoir de Kaitô est de lire dans nos pensées, il est toujours là quand ont à besoin de lui.
Il sait toujours quoi dire et quoi faire.
Je les rejoints finalement en entourant mes petits bras autours d'eux.
Il est vraiment formidable.