Destin Scellé

Hiruzen Sarutobi était un vieil homme, ça tout le monde le savait, et tout le monde le respectait pour ça, et aussi parce que qu'il était le Sandaime Hokage du village de Konoha. Il avait participé à bien des guerres, et très certainement tués beaucoup d'ennemies, mais malgré cela, il restait incroyablement Naïf. Oui, il était Naïf de croire que tout problèmes quel qu'ils soient pouvait se régler tranquillement par la parole autours d'une tasse de thé fumante, ou bien, il avait était bien Naïf de croire qu'Orochimaru ne trahirait jamais le village caché du feu pour une soif quelconque de pouvoirs, Or c'était arriver. Puisque L'Homme-Serpent les avait bel et bien tous trahis.Et malgré que le temps passa, et que ses erreurs se retournèrent contre lui, il avait commis une énième faute. Celle de croire que les villageois ne se comporteraient jamais mal envers l'hôte du neuf queue, et que au contraire, ils feraient leurs maximum pour qu'il se sente chez lui, comme tout autre enfant normale. Et cette fois-ci, il avait encore échoué.

"J'ai encore échoué" pensa t-il tristement.

Il poussa un soupir las, et commença à signer quelques centaines de papiers qu'il avait à remplir à cause de son rôle d'Ombre du Feu.. Oui, il savait très bien pourquoi il devait remplir une tonne de paperasse. Il n'avais pas su garder les choses en mains, les stabiliser, ou même les apaiser. Non, à la place, il se retrouvait avec une mort d'enfant sur les bras. Le pire était que le corps n'était pas là. Il y avait bien des tonne de flaques de sang, ainsi que quelques cheveux couleur or, et des tissus blancs et oranges, mais aucun corps, donc impossible de savoir s'il s'agissait vraiment du neuf queues bien que le troisième en était certain. Une personne apparut soudainement devant lui. D'après sa taille, il devait bien s'agir d'un enfant de dix ans tout au plus. Le garçon -puisque s'en étai un- s'inclina devant l'homme, et prit la parole.

-Nous avons un problème Hokage-sama...

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Dans l'autre monde, c'était effervescence. Des rumeurs courraient comme quoi un prince été né, ou encore qu'un mort avait pus garder son enveloppe corporelle. Or, seul les plus grands héros le pouvaient. De plus, on pouvait apercevoir diverses personnes plus ou moins impotentes aller et venir dans la gigantesque demeure du maître de l'autre monde. Ce dernier était en ce moment même en train de faire les cents pas devant une porte d'un blanc immaculé sur laquelle était inscrit "Infirmerie"

Il frappa furieusement contre la porte tout en vociférant comme quoi étant le dieu de la mort, il avait tout les droits de pénétrer dans la pièce. Ce à quoi répondait l'infirmier, qu'il pouvait éventuellement aller se faire foutre chez les grecs, dieu ou pas..

Le maître grogna, et foudroya du regard la pauvre porte qui finalement n'avait rien fait de mal.

-Kiti, hurla t-il à travers les couloirs de la forteresse.

Une silhouette apparut devant le maître de l'autre monde. Elle s'inclina et souria doucement. Elle avait de cours cheveux blanc et de grands yeux couleurs fauves. Sa peau halé lui donnait un air de petite princesse.

-Que puis-je faire pour mon stressé de père? demanda t-elle doucement.

Le dit stressé lui souria tendrement et la fixa sérieusement.

-Kiti-chérie, tu est grande maintenant hein?

La petite fille hocha énergétiquement la tête, et souria fièrement.

-Bien, tu vas avoir un petit frère, dit t-il simplement, puis il ajouta: C'est un mortel, tu comprend ce que cela signifie N'est-ce pas?

-Ouai! Maudir-sama vas le ... Ben il vas le maudire.

-Oui, et c'est pour cela que tu devras lui venir en aide à chaque instant. En ce moment, il est très... Enfin, tu verra pas toi même. soupira t-il.

Un sourire prit place sur les lèvres de la fillette, tendis que ses yeux brillèrent de joie.

-Alors on vas p'u être tout seul? demanda Kiti.

-Oui princesse, il sera votre petit frère, et vous devrait le traiter comme tel.

La dite princesse souria et approuva vivement tendis que son père s'était remis à cogner contre la pauvre porte...

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En ce jours, au village de Konoha avait lieu une marche funèbre en l'honneur d'un enfant. Or peut de personne étaient présente. On pouvait les compter sur les doigts d'une main.Le Sandaime lâchât un soupir triste alors qu'il déposait un bouquet de rose noire sur la pierre tombal du neuf queue. Derrière lui, un petit garçon de cinq ans, tenait un bouquet de coquelicot à la main. Le Sandaime s'approcha de lui, et lui fit un sourire triste.

-Et bien mon petit Sasuke, on dirait bien que nous somme les seuls à nous préoccuper de Naruto..

L'enfant ne dit rien, et déposa simplement le bouquet sur la tombe de blondinet. Au bout de quelques minutes de silence, le noiraud se retourna vers on Hokage les yeux brillant.

-Dite Sandaime-sama... Naruto... Il est heureux ou il est?

Hiruzen souria tendrement à l'Uchiwa, et s'accroupit devant lui.

-Et tu heureux avec ta famille?

-Oui, répondit t-il les sourcils froncés, ne comprenant pas de quoi voulait parler le vieille homme.

-Alors oui, Naruto est auprès de c'est parents, donc, je suppose qu'il doit être heureux.

-Je vois...

-Je peut te poser une question Sasuke?

-Nh.

Le Hokage souria devant l'éloquence de l'enfant, et poursuivit.

-Pourquoi des coquelicot?

Un micro-sourire étira les lèvres de l'enfant alors qu'il murmurait mystérieusement:

-Comme ça...

-Je vois... Et bien mon petit, je te laisse, j'ai des tas de papiers à signer... Passe le bonjours à ta famille, et ne t'en fait pas trop pour Naruto... Je suis sur que d'ou il est, il pense à toi.

Il commença à partir, mais au dernier moment, il se retourna.

-Sasuke... Si jamais tu à d'autre douleurs au codeur... A cause de ce qui s'est passé... Préviens moi, cela pourrait être très importent...

Sasuke hocha distraitement la tête, et fourra ses mains dans ses poches. La vie sans le petit blond allait être beaucoup moins drôle... Loin de là, sur la tête des quatre du feu, un homme en apparence vieux et à la chevelure blanche fixait la tombe de l'enfant tristement. Il s'en voulait. Il s'en voulait énormément. Il avait voulus emmener le petit avec lui dé la bataille contre le renard fini, mais le conseil le lui avait interdit, et il n'avait pas pu insister... Or, puisqu'il étai sa seule famille vivante, il s'était promis que dé qu'il serais en âge de comprendre pour le renard, il lui apprendrais la vérité sur ses origines & cie. Mais maintenant c'était trop tard. Et il s'en voulait terriblement de ne pas avoir insisté auprès du conseil. L'homme fixa une dernière fois la tombe, tendis que des larmes coulèrent sur ses joue.

-Pardonne moi Minato, j'ai échoué... Moi, Jiraya le sannin, je n'ai pas su protéger ton fils...

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Dans l'autre monde, plus exactement dans la demeure du roi, et encore plus exactement dans l'infirmerie, un enfant de quatre ans à peine, peinait à ouvrir les yeux. Un gémissement de douleurs sortit de sa gorge tendis qu'il essayait de bouger. Mais du point de vus de ses muscles, il en était hors que question.

Un nouveau gémissement franchit es lèvres de l'enfant, et aussitôt un homme au teins cadavérique fut à ses côtés. L'infirmier commença à lui parler, lui demandant son nom et son prénom, ainsi que son âge et tout la baratin que demandaient habituellement les médecins. Quand il reprit entièrement conscience, la première chose à la quelle il pensa fut...

-J'ai faim... Y'a des ramens?