Neverland

Chapitre 11 : Code bleu

1560 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 08/11/2016 04:39

Je fus réveiller par les premiers rayon de soleil passant par les petite lucarnes , je regarda autours de moi , cherchant un signe que Peter soit de retour mais rien ; j'ai encore un petit espoir de le trouver assoupie dans son lits , je m'avança fébrile jusqu'à la porte du dortoir des garçon je poussa celle-ci et regarda chaque lit un par un , seulement 7 être sont assoupie , le lit de Peter est vide, je sentit ma joue se mouiller , il lui est arriver quelque chose , je laissa passer un sanglot , ce qui réveilla Gab qui me dévisagea  Ils se redressa et vînt jusqu'à moi, le seul chose que je réussi à sortir est un « Peter... » le regard du jeune garçon se fit plus sombre.

  • Code bleu ! Cria-t-il à travers la pièce les 6 garçons qui dormait si paisiblement il y a quelques secondes étaient levai, droit au pieds de leurs lits. Chacun partie à ces occupations comme si cette situation avait été entraîner au cas où, Gab ouvrit un tiroir et me donna des vêtements, je les reconnu, c'est ceux de Peter.
  • Met, ça, tu fais à peu près ça taille, il te faut des vêtements solides, pas comme ce que tu portes.

Je regardai ces morceaux de tissus car c'en était, du coton, un tee-shirt vert et un pantacourt marron. J’alla dans ma chambre et me changea, on ne fait pas vraiment la même taille avec Peter, Gab n'a pas un bon sens de l’observation, le pantacourt me sert de pantalon et le tee-shirt de tunique, j’attachai mes cheveux avec un morceau de liane qui traîner la et enfila mes baskets noirs, que je portais en arrivant ici.

Je sortie de la pièce, tous sont prêt, je pense savoir ce qu'ils doivent faire si Peter disparaît, changer de planque, sur la table 6 panier sont poser ainsi que 6 canif et une épée, je vois mal c'est bout de choux sent servir.

  • C'est parti, chacun une arme et un panier. Je pris l'épée en même temps qu'un regard noir de Timothée qui la convoiter tant, non mon petit tu es trop jeune pour ça, j’enlevai le canif des mains de Guillaume, chacun d'eux prient un panier, seul Guillaume et moi n'en avait pas. C'est Paul et Florent qui partirent en éclaireur, ma boule au ventre continuer à grandirent, les garçons revinrent et nous fit signe de les suivre en nous disant que la voie était libre. Nous nous enfonçons dans l'épaisse forêt, sur le qui-vive Gab nous guida jusqu'à une grosse bute de terre, là il actionna un mécanisme et une petite trappe s'ouvrit sous nos pieds, nous descendons le long escalier dans l'obscurité la plus total, Ben, alluma une bougie arriver en bas. Leurs refuges ne sont constitués que d'une grande pièce avec une sorte de table et des lits, au fond une peau recouvre un passage, les garçons posèrent les paniers remplit de vivre.
  • Tu n'auras cas dormir dans la chambre à Peter Heaven. Fit Michel en me désignant la peau.

Je m’avançai jusqu'à celle-ci et passa de l'autre côté, j'allumai une bougie et observa cette petite pièce seul un monticule de couverture la meublée, je déposai mon petit sac ou à l’intérieure j'avais pris soin de mettre mes cahiers et mon cadre photo, je m'assis sur ce qui servais de lit et me mis à pleurer, qu'es ce que Crochet peu bien faire à Peter ? il faut aller le secourir, je sortie de la pièce en prenant soin de sécher mes joues, les garçons était attablée, c’est Gab qui préside.

  • On doit faire quelque chose. Fit Ben.
  • Oui, je propose que quelqu’un aille chercher Clochette, elle pourra nous aider. Repris Timothée.
  • Je me porte volontaire. Fis-je, je ne peux pas rester là les bras croiser, au grand étonnent de garçons.
  • Je vais te donner une carte, tu prendras aussi l’épée et un canif. Repris Gab.
  • Mais elle ne peut pas y aller, elle ne connaît pas l’île. Dit Timothée.
  • C’est elle qui ira, point à la ligne. Refit le petit chef. Il me donna le matériel, je me précipitai vers la sortie, je ne supporte pas cette endroit, une fois à l’aire libre mes yeux se mirent à couler à nouveau, je suis prise d’un grand dilemme. Faire ce que les garçons me demandent où aller chercher Peter seul chez Crochet, ce n’est pas la situation la plus simple mais je choisis celle-ci.

Me guidant du mieux possible dans l’épaisse forêt je fini par rejoindre le large, une barque était là posée sur le sable, plus loin le bateau de Crochet est amarré dans la mer bleu azure. Je montai dans la maigre embarcation et me mis à ramer de toute mes forces, une fête à lieu à bord, il célèbre leur capture. Je me rapprochai le plus possible de la coque du bateau pour ne pas me faire repérer et tendit l’oreille, Crochet parlait très fort, il s’exprimer à tous son équipage.

  • Mais chère amis, notre heure de gloire est enfin arrivée, le règne de Peter Pan sur le pays imaginaire sera bientôt fini et seul les pirates seront maitres à bord.

Tous l’équipage se mis à crier de joie, ils vont tuer Peter, je retenu un sanglot et chercha des yeux un endroit par lequel je pourrai monter à bord, rien pas une corde sur cette partie de la coque, un silence religieux s’installa à bord.

  • C’est l’heurs Peter. Repris le moustachu.

Je retenu mon souffle, que vont-ils faire ? je vie deux paire de bras passer par-dessus bord, aux bout, les deux hommes tenaient Peter accrocher à une ancre, ils vont le faire couler, je déposai la carte au fond de ma barque avec mon épée, il faut que je fasse quelque chose, les deux pirates lâchèrent prise, je vis Peter tombée sous mes yeux je poussai un crie étouffer, il passa juste à côté de moi, j’attrapa le bout de corde qui pendait au bout de l’ancre et fut entraîner au fond avec lui. Une fois qu’on eut touché le fond je sortie mon canif et m’attaqua au corde qui le maintenait attacher à ce poids de Plon, je me débâtai, lui avais les yeux fermés, je donnai un dernier coup de couteau dans la corde, celle-ci rompu, je pris la main de Peter et le fit remonter à la surface. Avec le peu de force qui me reste, je réussi à le placer dans le radeau, je montai à bord et plaça mon oreille au niveau de son cœur, je vis son ventre se soulever, j’entendais le bruit du battement, il est vivant, je les sauver, je lui caressai légèrement les cheveux et me mis à pleurer. On ne peut pas rester la si on ne veut pas se faire repérer, je me mis à ramer le plus silencieusement possible jusqu’au rivage, une fois accoster, je descendis Peter à bout de force sur le sable et m’affalai à côté de lui, soulagée et heureuse. Je l’entendis tousser, je me redressai et le regarda reprendre ces esprits lorsqu’il me vit murmura un petit « Heaven… » je m’approchai de son visage, il posa une main sur ma joue, je me mise à pleurer chaudement.

  • Tu ma sauver. Dit-il en souriant.

Je secouai la tête de haut en bas, il releva doucement sa tête et posa délicatement ces lèvres sur le miennes, je fermai les yeux et répondis à son baiser, je l’aime depuis le premier jour, aujourd’hui, je pense que c’est réciproque.

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