Rock 'n' ball

Chapitre 26 : Tout me ramène à toi

645 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 08/04/2017 19:57

Un refrain familier me rappelle,

Ce que j’ai laissé, ce que j’ai abandonné...

 

Je me souviens de notre route,

Toujours dressée vers l’horizon.

Je me souviens de nos doutes,

Des jours bercés par nos chansons.

 

Je me souviens de la mer belle azur,

Puis de cette tempête qui déchira nos âmes,

De ces hurlements d’airmure,

En jetant notre amour dans les flammes.

 

Nos chemins se sont séparés,

Je pense bien que tu en as pleuré.

Moi j’ai fait front pour ne pas craquer,

Mais aujourd’hui je n’arrête pas d’y penser…

 

Un refrain familier me rappelle,                              

Ce que j’ai laissé, ce que j’ai abandonné.

Et tout me ramène à toi !

Comme l’osselait buté,

Ou l’égoïste farfuret,

J’ai exprès loupé ton appel,

Et déchiré cette page de mon carnet.

Mais tout me ramène à toi !

Oui tout m’embrase de toi,

Même dans mon reflet, c’est toi que je vois !

 

Je sais que toutes les excuses du monde,

Ne suffiront pas à effacer ce que j’ai fait,

La façon dont je vous ai traité,

Toi, tes amis, tes rêves et tes promesses.

Mais avais-tu remarqué ma propre détresse ?

 

Tu peux me traiter de looser,

Tu peux me renier comme je l’ai fait,

Tu peux utiliser élecanon contre mon cœur,

Tu peux hurler que je suis un beau parleur.   (variante : Tu peux hurler que je suis une mauvaise sœur)

Pourtant jamais personne ne te ressemblera,

Autant que moi.

Pourtant quelques fois dans ses bras,

Tu penses à moi.

 

Un refrain familier me rappelle,                              

Ce que j’ai laissé, ce que j’ai abandonné.

Et tout me ramène à toi !

Comme l’osselait buté,

Ou l’égoïste farfuret,

J’ai exprès loupé ton appel,

Et déchiré cette page de mon carnet.

Mais tout me ramène à toi !

Oui tout m’embrase de toi,

Même dans mon reflet, c’est toi que je vois !

 

Pourras-tu un jour me pardonner ?

L’ai-je au moins mérité ?

Jamais personne ne me ressemblera,

Autant que toi…

 

Un refrain familier me rappelle,                              

Ce que j’ai laissé, ce que j’ai abandonné.

Et tout me ramène à toi !

Comme un caninos esseulé,

Ou le triste Créfollet,

J’ai exprès loupé ton appel,

Et déchiré cette page de mon carnet.

Mais tout me ramène à toi !

Oui tout m’embrase de toi,

Même dans mon reflet, c’est toi que je vois !

 

Un refrain familier me rappelle,                              

Ce que j’ai laissé, ce que j’ai abandonné.

Et tout me ramène à toi !

Comme l’osselait buté,

Ou l’égoïste farfuret,

J’ai cherché à retrouver celle,

Qui n’avait pour moi qu’amour et bonté.

Et tout me ramène à toi !

Oui tout m’embrase de toi,

Même dans mon reflet, c’est toi que je vois !

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