La vraie quête du Héros du Temps: Vers l'ombre et le sable (Partie 3/3)

Chapitre 13 : Chapitre XII: L'enfer de la chaire (Censuré)

1204 mots, Catégorie: M

Dernière mise à jour 17/04/2017 19:34


Pendant deux jours Link souffrait comme il n’avait souffert durant tout son périple. À chaque fois la Gerudo lui posait la même question, et à chaque fois il répondait la même chose. Il tenta bien de mentir plusieurs fois afin que tout cela cesse, mais elle décelait facilement le mensonge dans sa voix…

Au bout du troisième jours de supplice, la même garde entra avec une petit flacon.

« Voila l’antidote… Avale ça et ferme ta gueule… »

Elle lui ouvrit la bouche et le força à boire le contenu. Il souffrait toujours autant mais son esprit se calmait peu à peu… Au bout d’une heure, tout le venin fut neutralisé. Les Gerudos le libérèrent de ses fers et l’emmenèrent dans une autre partie de la forteresse. Link s’attendait à une nouvelle salle de torture, mais ce n’était absolument pas le cas.

C’était une salle de bain, du moins il y avait juste le strict minimum : Une grande bassine en bois, du savon, une cheminée pour faire chauffer l’eau et un miroir. Une Gerudo était déjà à l’intérieur et remplissait la baignoire avec de l’eau fumante. 

« Déshabille toi ! Tu empestes ! »

Dit la chef en lui déverrouillant ses bracelet de fer mais elle ne toucha pas à son collier.

Link s’exécuta, il dut attendre nu plusieurs minutes le temps que la baignoire finissent de se remplir. 

« Puis je… »

« NON ! Ne t ‘approche pas de Missasska ! Sinon tu vas céder à tes pulsions de mâle dégénéré et tenter de la violer ! » 

Une fois qu’il eu l’autorisation, il se glissa dans l’eau chaude et demanda si elles pouvaient se retirer. Comme il s’y attendait, la réponse fut négative car elles ne voulaient pas prendre le risque que leur prisonnier se suicide. Il n’était pas gêné de se retrouver nu devant des femmes, mais plutôt d’être considérer comme une bête à laquelle on oblige de faire sa toilette. Après s’être savonné et sorti du bain, on lui lança un gros bout de tissu marron pour s’essuyer. 

« C’est bon ? Tu as fini ? » Demanda la chef.

« Heuuu... je… que… oui... »

« Très bien… Saradasa ! »

Avant même que Link ne put rouvrir la bouche, il se prit un nouveau coup par derrière qui lui fit perdre connaissance. 

Il se réveilla dans une autre pièce, plus précisément une chambre. Ses bras et ses pieds étaient attachés aux barreaux d’un lit tout à fait ordinaire, qui était le seul mobilier présent. Mais cela n’était pas tout, il était également bâillonné et sans vêtements. Une sangle de cuir, comme pour les chevaux lui maintenait le bassin fermement sur le matelas. Une Gerudo, vêtue uniquement d’une robe de chambre rouge et d’un gant à la main droite, attendait son réveil en lisant un livre sur l’unique chaise de la pièce. Constatant qu’il était revenu à lui, elle ferma son livre, soupira et s’approcha de lui. En s’avançant, elle, dénoua le noeud de sa robe, et la fit tomber au sol, elle était complètement nue en dessous. Elle n’avait pas des formes aussi généreuses que la garde qu’il avait affronté dans les cachots. Ses cuisses étaient extrêmement musclées, bien plus que celle de Link, de larges épaules, une poitrine complément plate et des abdominaux aussi puissants que ceux d’un homme entrainé. Son pubis était dépourvu de tout poil, la pilosité étant considéré comme un attribut masculin, il était formellement proscrit de posséder le moindre petit duvet. 

Link, surpris et encore désorienté ne fit que regarder la scène sans comprendre ce qu’il se passait.

« Ris Loh Doh Enh » Dit la femme en mettant la paume de ses mains vers le corps de Link. Une aura rose apparut alors la surface de sa peau et s’évapora en à peine quelques secondes.

C’était un sortilège qui les sensations, tout ce qui donne du plaisir fait souffrir et vice versa. Cependant le corps réagira normalement mais pas le ressenti.

La Gerudo abusa alors de Link afin de pouvoir donner de nouvelles guerrières. La souffrance qu’il endura lui causa un arrêt cardiaque. Habituée à ce que les hommes meurent durant l’acte elle réussi à le réanimer très facilement. Une fois qu’elle eut terminé, elle quitta Link en le laissant sur place.

« Nous ne pouvons pas tolérer que les mâles prennent du plaisir en nous souillant de la sorte ! Toi, tu nous sera encore utile… N’est ce pas formidable ? Les enfants du Héros du temps combattront au coté de son ennemi, le seigneur Ganondorf ! Imagine tes propres filles assassiner ceux que tu aimes ! »

« N…N…Non…Pitié… ne… »

« Tu n’as pas ton mot à dire… Dépêche toi d’être à nouveau opérationnel… Ta semence doit encore nous servir… Cependant je dirai aux suivantes de réduire un peu la puissance de notre sortilège… »

« M… Mais… Res… Ter….en…vie… »

« Les ordres ont changé, plus de questions sur la princesse, la seule consigne est de te livrer entier et vivant. Cependant nous n’avons reçu aucunes consignes dans quel état mental nous devons te rendre… »


***


La suite de la journée fut semblable à ces dernières minutes, il n’était plus qu’un objet pour assurer la relève Gerudo… A la nuit tombé Il fut jeté dans cellule comme un vulgaire cadavre, elles ne prirent même pas la peine de l’attacher… Il se retourna péniblement sur le dos. L’esprit complètement vide, il regardait le plafond totalement terrifié après avoir vu la mort en face pendant quelques secondes… C’est alors que Dark Link apparu devant lui, cette fois sans aucun bruit ni son sens du spectacle habituel…

« Tu as l’air bien amoché mon vieux… »

« Q… »

« Qu’est ce que je fais là tu dis ? Je suis venu te sauver pardi ! Je te l’ai dit je veux t’aider ! »

« M… »

« M’aider ?? Bien sur que je suis sincère ! Ne te force pas à parler, je lis dans tes paroles !! Je te propose plus de douleur, plus de peur ! Je te promet d’effacer tout ces problèmes ! Qu’en dis-tu ???? »

Link savait que c’était un piège mais il avait beaucoup trop mal pour refuser. Complément désespéré, il acquiesça du menton et avec un regard approbateur. Dark Link posa sa main sur l’épaule de son frère et l’enlaça…

« Ne t’inquiète pas… Je prends les commandes… » Dit-il en souriant de toutes ses dents.


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