La bataille du souterrain.

Chapitre 11 : New-York.

1262 mots, Catégorie: K+

Dernière mise à jour 18/03/2019 13:11

New-York.


-Au revoir maman.

Toriel serra Frisk contre elle, la jeune fille se retira pour observer ses amis. Tous le monde était là, y comprit Grilby, Muppets, Napstablook et tout les autres.

-Nous serons bientôt de retour, dit-elle.

Papyrus fit signe de sa main en souriant, avant de monter avec son frère et Undyne dans l'avion qui allait les mener à New-York. Frisk fut la dernière à monter. Au hublot, les 4 amis virent le reste de leur famille leur faire signe d'au revoir.

-Nous reviendrons vite, dit Sans à Frisk.

Cette dernière sourit et répondit aux signes de ses camarades.

-Oui, dit-elle. Nous ne seront pas long.

L'avion décolla, laissant au sol les monstres qui continuèrent de dire au revoir et bonne chance à leurs amis, maintenant partis.

Dans l'avion, le trajet allait être long.

-J'AI UN PETIT CREUX, dit Papyrus à Undyne. TU CROIS QU'IL SERVE DES SPAGHETTIS ICI UNDYNE ?!

-Je ne crois pas qu'on serve des spaghettis dans un avion Paps, répondit la femme-poisson.

A côté d'eux, Sans et Frisk s'étaient assis côte à côte. La jeune fille parla avec le petit squelette.

Deux heures passèrent. Alors que Papyrus mangeait des cacahouètes, Frisk s'était endormie et reposa sa tête contre l'épaule du squelette, qui sourit légèrement en l'observant discrètement. Soudain, Undyne se pencha vers le hublot, écrasant les genoux de Papyrus en mettant ses mains dessus pour se soutenir.

-AIE !!! cria le grand squelette, en écrasant son sachet de cacahouètes avec sa main, faisant valser les fruits secs sur les sièges.

-Eh, fit-elle. Je crois qu'on arrive !

-UNDYNE, MES CACAHOUETES.

Sans se décala légèrement lorsque Frisk se réveilla et les 2 regardèrent pas leur hublot, pour voir l'avion descendre et virent la statue de la liberté au loin, puis la ville de New-York.

-<<Chère passagères, chers passagers, nous entamons notre descente vers l'aéroport de Newark, de Manhattan. Nous vous demandons de rester assis durant toute la durée de l'atterrissage. Merci de votre attention>>.

L'avion se pose sur la piste et les passagers en descendent. Le petit groupe prit leurs bagages et sortirent du bâtiments.

-C'est, Manhattan, dit Undyne.

-C'EST IMMENSE.

Papyrus se plia les genoux en se tenant la tête.

-Relax frérot, dit Sans.

-Asgore a dit qu'il avait contacté quelqu'un ici pour nous guider, dit Undyne.

Soudain, une voiture claxonna à leur attention, le groupe s'approcha, tandis qu'un homme, portant des habits classiques, une veste brunes sur une chemise blanche, un jeans et des chaussures noires, ainsi qu'un chapeau.

-Bonjour, dit l'homme en s'adressant au petit groupe. Vous devez être Mlle Frisk.

Il tend sa main pour serrer celle de Frisk.

-C'est exact, répondit la jeune fille. Et vous, vous êtes ?

-Horas, Horas Vagner. Je suis membre d'un groupe de personne dont le but est d'aider la cohabitation entre les monstres et les humains. Nous assistons les monstres dans leur nouveau départ au 4 coins du monde. C'est un honneur de vous rencontrer en personne, Mlle.

-C'est vous qui devez nous aider ? demande Undyne.

-Tout à fait, mes supérieurs m'ont demandé de vous suivre et de vous aider si possible. Nous devons nous rendre à votre hôtel, une chambre y a été réservée.

Horas ouvrit la porte arrière et Frisk entra dans la voiture, avec les 2 frères squelettes, Undyne s'installa à l'avant, à côté de l'homme, qui démarra. Frisk commença à activer le radar.

-Donc, commença Horas. Mes supérieurs m'ont dit que vous cherchiez une personne, détenant une âme de magie, avez-vous des indices sur son identité.

-AUCUN ! dit Papyrus.

Sans lui tapa dans le bras avec son coude.

-AIE !

-Pour l'instant, répondit Undyne. Nous ne savons rien, nous ignorons même s'il s'agit d'une fille où d'un garçon.

-D'après le docteur Gaster, poursuivit Frisk. Les âmes de magie peuvent se fixer à des enfants ayant entre quelques mois et 16 ans.

-Donc, les enfants touchés ne sont pas nés avec l'âme ? continue d'interroger Horas.

-Non, dit la jeune fille. Certains peuvent avoir été des enfants normaux un temps, mais ça n'empêcherait pas les âmes de se lier à eux.

-Il se peut aussi que certaines âmes ne se soient pas liées à un humain, dit Sans. Et dans ces cas là, nos chances de les retrouver seraient encore plus réduites.

-Et aussi, dit Undyne. Les humains touchés ont continué de grandir après cela. Nous risquons de devoir chercher encore plus loin.

La voiture finit par se garer, laissant tout le monde descendre.

-Bienvenu à l'hôtel Stenoza, dit Horas en montrant de ses mains le bâtiment face à eux. Nous allons défaire vos bagages, et ensuite, nous aviserons sur la situation.

Le groupe accepta d'un signe respectif de toutes les têtes. Alors qu'ils entrèrent dans l'hôtel, 2 silhouettes les observèrent depuis le toit d'un autre bâtiment.

-Alors Raychym ?

L'une des silhouettes, celle de Lycantya, s'adressa à l'autre individu, une sorte de géant rouge, mesurant au moins 3 mètres de haut, et possédant des cornes de rhinocéros et des excroissances sur son dos et ses avant-bras.

-Ils sont entrés dans l'hôtel, nous ne pouvons plus les voir, mais je peux les entendre.

-Bien, répondit l'hybride mi louve, mi squelette.

Cette dernière sortit une sphère bleutée.

-Cet orbe que m'a donné Mana masquera ta présence, reste ici et informe-moi Raychym, je vais informer le seigneur Wizargs.

-Bien, à tes ordres Lycantya.


Pendant ce temps, Frisk et les autres avaient finit de décharger leurs bagages.

-Bien, dit Horas. Ceci est une suite de luxe 5 étoiles. Je loge dans une chambre plus petite, quelques étages plus bas. Si vous devez me contacter, voici mon numéro.

Il tendit son numéro, inscrit sur un papier, à Frisk, qui le prit. Alors qu'Horace sortit de la pièce, Frisk se tourna vers Sans, qui été entrains de rebondir sur le matelas gonflable.

-Sans, voyons, dit Frisk. Tu crois que c'est le moment de faire le pitre.

-FRISK A RAISON SANS, ON DOIT ELABORER UN PLAN.

Papyrus mit son poing contre son torse.

-UN PLAN BRILANT, DESTINE A RETROUVER LE DETENTEUR DE L'ÂME D'INTEGRITE. J'AI LE PLAN QU'IL FAUT !

-J'espère que c'est mieux que ta barricade, par que celle-là, je l'ai encore sur l'os.

-Au lieu de faire des blagues, pense à une idée.

-C'est quoi ton plan Paps ? demande Undyne.

-On crie haut et fort qu'on cherche une âme humaine bleue.

Sans se frappa le visage.

-Autant dire à nos ennemis qu'on est là, et qu'on cherche des âmes perdues.

-Sans à raison Papy, dit Frisk en voulant réconforté son ami, déçu. Mais on va trouver un moyen de contacter celui ou celle qui détient l'âme.


Pendant ce temps, Noémia était montée dans sa chambre et regarda le miroir qui s'y trouvait.

-Pourquoi ? dit-elle. Pourquoi je n'arrive pas à me faire des amis, à m'intégrer.

Soudain, le miroir commence à bouger, comme si la paroi réfléchissante était devenue liquide. La jeune fille recula légèrement, tout en gardant son attention sur l'objet. Sa main se remise à briller et elle vit à nouveau le cœur bleu au creux de sa main.

-Mais qu'est-ce que … ?

Soudain, le miroir explosa et Noémia tomba au sol, après avoir reçut un éclat tranchant près du poignet droit.


A SUIVRE.



Laisser un commentaire ?