Vampi'risque

Chapitre 3 : Deuxième chapitre

3461 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 17/09/2017 18:47

| Hors rapport avec la fiction.


La suite de la fiction se trouve aux États-Unis donc logiquement les gens parlent Anglais mais vue qu'il sagit d'une fiction française dans la logique des choses, je fais dialoguer les personnages en français.


C'est tout pour moi, bonne lecture !



Laissant place à un homme d'une quarantaine d'années très grand aux cheveux brun, aux yeux couleur noisette dont j'avais hérité, c'était bien lui, mon père.

Lorsqu'il posa son regard sur moi, ses yeux resta fixé, sa bouche resta entre-ouverte.


« E...Enayla ? » demande mon père.


Il m'avait reconnu, à ce moment là, je fus soulagée qu'il ne m'ai finalement pas oubliée.


« Oui, c'est moi. » répondis-je.


Il me prit dans ses bras à mon plus grand étonnement. C'était bizarre, plein de vieux souvenirs me remonter à l'esprit, de bons souvenirs.

Une fois qu'il m'ait lâché, il me fit immédiatement rentrer. Laissant place à une maison avec une décoration de très bon goût, des couleurs clairs et des meubles très modernisé. Nous entrons dans le salon, puis il me dit de m’asseoir. Il devait certainement avoir des questions à me poser et ça tombait bien, moi aussi.


« Tu veux boire quelques choses ? » me demande mon père.


Il semblait vouloir briser la glace, l’ambiance était comment dire... Tendu.


« Non merci ça va. » répondis-je.


Il prit un verre d'eau et il s'est assis sur le fauteuil placé en face de moi.


« Je suppose que tu as des choses à me raconter, cela fait ci longtemps... annonce mon père.

― Je ne sais pas trop par où commencer... répondis-je.

― Je t'écoute. me dit mon père.

― Je suis venue ici car j'ai étais affectée à l'université d'Athens... C'était mon dernier vœux...J'avais mis ce choix dans ma liste de souhaits de poursuites d'études car j'étais focalisé sur le fait d'être acceptée dans mes premiers choix d'université sauf que tout ne c'est pas passé comme je l'avais prévu. Ce n'est pas une coïncidence le fait que l'université soit dans la même ville où tu résides... J'ai fais de nombreuses recherches puis un jour, j'ai finis par te retrouver, j'ai finis par savoir où tu habitais. Jamais je n'aurais pensé me retrouver là aujourd'hui... J'avais mis ce choix sur un coup de tête... mais me voilà ici, face à toi. répondis-je à mon père à bout de souffle.

― Jamais je n'aurais pensé te revoir un jour Enayla. Si tu savais comme je suis heureux que tu sois là ! avoue mon père avec une mine triste.

― Tu es heureux que je sois là ? Pourquoi n'as-tu jamais essayé de me recontacté alors ? lui demandé-je.

― J'ai essayé de te recontacter Enayla ! J'ai envoyé de nombreuses lettres qui fut sans réponses, j'ai essayé de contacter ta mère mais mes appels fut toujours sans réponses, je suis même retourné en France, à notre ancienne maison où l'on vivaient avec ta mère et toi mais vous aviez déménagé alors j'ai finis par abandonner mes recherches en espérant te revoir un jour... tu as tellement changé, tu es devenue une si jolie jeune fille. répond mon père.

― Tu as contacté ma mère ? Pourtant elle me disait qu'elle n'avait jamais eu de nouvelles de toi... J'aurais dû m'en douter qu'elle mentait... Ça lui ressemble tellement... Pourquoi suis-je autant naïve ? Puis les lettres je ne les ai jamais eu, surement qu'elle les cachait... Qu'elle salope ! annoncé-je énervé.

― Je vois qu'elle n'a pas changée... répond mon père exaspéré.

― Et encore, tu ne l'a pas connu avec Arnaud... » annoncé-je à mon père.


Mon père émit un petit rire qui me fit à mon tour sourire.


« Bon, expliques moi Enayla, comment ça fonctionne pour te loger, tu as une chambre universitaire ? me demande mon père.

― Euh non, je ne pouvais pas m'en payer une mais je penses prendre une petite chambre d'hôtel en attendant de trouver un petit travaille qui me permettra de m'en payer une. répondis-je.

― Oublies ça, les hôtels ici sont pitoyable ! Tu vas rester ici ! La maison est grande. me dit mon père en souriant.

― Je veux pas taper l'incruste. annoncé-je à mon père.

― Comment ça taper l'incruste, t'es ma fille ! répond mon père en rigolant.

― Bon eh bien, c'est d'accord ! » annoncé-je à mon père.


Mon père me fit un sourire remontant jusqu'à ses oreilles puis me fit signe de le suivre à l'étage laissant place à un grand couloir où se trouvaient quatre portes. Il ouvrit la deuxième porte à droite, laissant place à une chambre toute simple aux couleurs crèmes dans les tons beiges toujours décoré avec bon goût.


« Bon, ici c'est la chambre d'amies normalement mais à présent, elle t'appartiendra. » me dit mon père


J'ai posé mes valises dans le dressing situé a côté de mon lit, j'étais complètement fatigué de ma journée dû au changement d’horaires.


« Veux-tu manger quelque chose ? me demande mon père.

― Non merci, si ça ne te déranges pas je vais dormir un peu, je suis épuisée dû au décalage horaires... répondis-je à mon père.

― Je comprend, reposes toi bien ! » me dit mon père.


A peine il fut sortie de la chambre, j'ai fouillé dans mes valises afin de trouver un short puis je l'ai enfilé, je me mis dans le noir complet, je me suis jeté dans le lit et je me suis endormie directement.

Je fus réveillée par la lumière de la chambre qui fut allumé brutalement, le fait que mes yeux passent du sombre à la lumière je voyais flou, j'ai alors vu une silhouette qui se tenait devant le grand placard qui était vers la fenêtre. Apparemment, la personne ne m'avait pas remarqué. Puis ma vue commençait à revenir petit à petit.


« Hum hum » me raclé-je la gorge pour signaler ma présence.


L'homme sursauta et se retourna immédiatement. Laissant place à un garçon dans ma tranche d'âge aux cheveux châtain claire et aux yeux vert, plutôt mignon, il semblait gêné mais aussi surpris.


« Mais...t'es qui ? me demande le garçon intrigué.

― Mais, toi t'es qui ? lui répondis-je.

― On ne répond pas à une question par une question quant-on est polie. rapplique le garçon.

― On ne rentre pas dans une chambre sans toquer lorsqu'on est polie. lui répondis-je fière de moi.

― Ouais sauf que de base, cette chambre n'est pas occupée d'habitude c'est bien pour ça que je te demande t'es qui. » dit le garçon.


Il commença à me taper sur le système lui.


« Je suis la fille à mon père. lui annoncé-je.

― Ça m'aide vraiment. répond-il en riant.

― Je t'ai répondus, maintenant à toi. lui dis-je.

― Bien écoutes, moi je m'appel Nelson et j'habite ici. répond-il.

― Hein ? Comment-ça ? lui demandé-je.

― Il y à quoi que tu comprends pas ? me dit-il.

― Pourquoi tu habites ici ? lui demandé-je.

― Eh mais t'es chiante toi un peu avec tes questions, je vis ici chez mon beau-père avec ma mère, c'est bon, c'est assez précis pour toi ? » répond-il avec un air ahuris.


Chez mon beau-père avec ma mère ? Je comprenais plus rien. Il avait refait sa vie ? Mais pourquoi il ne m'a rien dit ? Je suis sortie de la chambre et je suis descendu immédiatement en bas voir mon père qui était dans la cuisine entrain de cuisiner.


« Pourquoi tu ne pas pas dis que tu avais refait ta vie ? » lancé-je à mon père un peu agacé.


Il arrêta ce qu'il était entrain de faire puis il prit la parole.


« Enayla... Je viens de te retrouver, je ne voulais pas tout gâcher et j'avais peur que tu le prennes mal... me répond-il avec un petit air triste.

― Ce qui m’énerve tu vois c'est le fait de passer pour l'incrusteuse de service, je débarque comme ça dans ta vie alors que tu as refait ta vie, tu as déjà une famille. dis-je à mon père.

― Mais Enayla, ne dis pas n'importe quoi, serte j'ai refait ma vie mais tu fais partie de ma famille, tu es ma fille ! répond mon père.

― Oui je le sais mais je ne veux pas déranger... annoncé-je à mon père.

― Jamais tu dérangeras, jamais ! » répondit mon père.


Au même moment, Nelson fut son entré dans la cuisine.


« Oh bonsoir Nelson, je te présente ma fille Enayla, elle vient d'arriver aujourd'hui et elle s'installe ici afin de suivre ses études qui par ailleurs se déroule dans ton établissement. Je n'avais pas fait le rapprochement jusqu'à maintenant. dit mon père en rigolant.

― Salut Andrew, ah mais on à déjà fait connaissance tout a l'heure. » répond Nelson en me souriant.


Son sourire narquois commençait à me taper sur les nerfs. Mon père m'avertit que le repas allez bientôt être prêt et que Carly allait bientôt rentrer, Carly c'est la mère de Nelson, ma belle mère.

J'ai profité du temps avant le repas pour allez sur mon téléphone afin de prendre des nouvelles d'Anissa, la conversation fut bref.

La porte d'entré s'ouvrit, une jolie blonde d'une quarantaine d'année entra surement que ça devait être Carly. Je me leva, elle semblait concentré sur la lettre qu'elle était entrain d'ouvrir jusqu'au moment où elle leva la tête et finit par me voir. Elle semblait intrigué puis mon père est venu se placer à côté de moi. Il fit les présentations et partit dans la cuisine avec Carly surement pour lui expliquer en détails la situation.

Venu l'heure de passer à table, je me sentais un peu gêné puis Carly brisa la glace.


« Alors, dis moi Enayla, tu te plais ici ? me questionne Carly.

― Euh, à vrai dire j'ai pas tellement visité le coin donc j'ai pas trop pu me faire un avis. répondis-je poliment.

― Oh je vois, tu verras le coin est sympa bon les gens pas toujours mais c'est un peu partout pareil, il y a des personnes aimables comme d'autres un peu moins. » répond-elle en souriant.


Je souris en retour, Carly était une femme d'une gentillesse, j'étais contente que mon père ait une femme aussi aimable.


« Au faite, demain soir je vais à Covington, je pars camper avec Damon et Andy au lac. annonce Nelson.

― Et tu comptes rentrer quand ? l’interroge Carly.

― Surement dimanche. répond Nelson.

― Bien. » répond Carly.


Le repas se termina dans le calme et la sérénité, je me suis levé pour aider à débarrasser, mon père m'expliquait que demain il travaillerait toute la journée ainsi que Carly alors il fallait que je me débrouille puis je suis sorti dans le jardin pour allez fumer ma cigarette.

Je me suis perdu dans mes pensées quand tout à coup quelqu'un venu s’asseoir à côté de moi. C'est pas vrai, Nelson. Il va pas me lâcher celui là.

Il me regarda bêtement.


« Quoi ? lui demandé-je.

― Jamais j'aurais pensé avoir une sœur. dit-il en riant.

― Je ne suis pas ta sœur. répondis-je.

― C'est tout comme, je vais t’emmerder autant. me dit-il.

― Tu ne sais pas à qui tu t'attaque. répondis-je.

― Allez, arrêtes de jouer la fille aussi froide qu'un glaçon, je sais qu'à l’intérieur tu dois être faite de guimauve. » me dit-il.


J'ai lâché un petit rire. Eh merde, j'avais ri à sa remarque maintenant, il va croire que je l'aime bien. Je repris mon sérieux.


« Je ne suis pas faite de guimauve, je ne suis pas quelqu'un de faible qui craque vite, crois moi. lui dis-je.

― Je te pousserais à bout alors. » dit-il avec un sourire moqueur avant de rentrer à l’intérieur.


Je sent que ça va être une guerre sans fin, malgré qu'il soit chiant je crois que je l'apprécie, j'aurais pu tombé sur une belle famille qui m'aurais même pas adressé la parole. Je m'en sors pas si mal.

J'ai terminé ma cigarette puis je suis rentré à l'intérieur et je suis parti me coucher.

Je fus réveillé par une musique de style électro qui résonnait depuis le salon, j'ai regardé le réveil il affichait onze heures dix neufs, putain ça commence bien la cohabitation avec un "frère". Je suis descendu en pyjama rien à foutre, j'étais vêtu d'un shorty et d'un t-shirt blanc. Je suis arrivé d'un pas déterminé dans le salon, je comptais bien imposer ma loi, le matin on respecte le sommeil des autres. Une fois dans le salon, j'ai vu Nelson assis sur le canapé qui était dos à l'entrée du salon.


« Nelson, t'es sérieux là putain de merde tu m'as réveillé ! » Hurlé-je


Tout à coup, sans que je comprenne ce qu'il se passait deux mecs qui semblait être dans la tranche d'âge à Nelson sortirent de la cuisine ouverte qui donnait au salon. Ils me dévisageaient de la tête au pied, l'un était châtain au yeux noisette puis l'autre était brun aux yeux d'un bleu à en être hypnotisé d'ailleurs lui me relooké avec un regard encore plus insistant et avec un sourire en coin.

Sur le coup, j'ai pas assumé pas du tout d'être descendus comme ça.

Nelson se retourna et se mit a rire.

Le brun s'approcha de moi et prit la parole.


« Nelson, tu nous présente pas ? » demande le brun en me regardant droit dans les yeux toujours avec un sourire en coin.


Encore un qui à un sourire insolent. C'est une mode ici ?

Nelson se leva.


« Voici Enayla, ma nouvelle demi sœur. Enayla voici Damon qui se tient devant toi et Andy qui est assit sur le fauteuil. dit Nelson.

― Salut ! dit Andy joyeusement en levant la main.

― Nelson, tu peux dire à ton pote d'arrêter de taper des fixes comme ça, ça pourrait être presque effrayant. dis-je en parlant de Damon.

― Damon t'as entendus madame. répond Nelson en riant.

― Je suis effrayant. répond Damon en souriant.

― Ok il est vraiment bizarre, je remonte. dis-je.

― Tu peux t'adresser directement à moi tu sais, je te déstabilise à ce point ? me demande Damon.

― Redescend Beckham. répondis-je à Damon en partant.

― Oh ce qu'elle t'a envoyé ! crie Andy.

― Madame s'affirme enfin, jolie short au passage ! » me dit Damon en riant.


Le niveau de gêne avait atteint son max là, il est pas déstabilisant en lui même, son regard lui oui est déstabilisant.

J'ai pris mes affaires et je suis parti dans la salle de bain prendre une douche et me préparer.


Point de vue de Nelson.


« Ça t'arrives parfois de contrôler tes pulsions ? demandé-je à Damon.

― Elle est super mignonne. répond Damon en passant sa langue sur ses lèvres.

― N'y penses même pas Damon. lui dis-je.

― Mais quoi, me dis pas que tu n'y as pas pensé toi, sa peau est d'une pureté, je n'imagine même le goût de son sang. répond Damon pensif.

― Fermes là Damon, que je ne te vois pas t'approcher d'elle ni même tenter quelques choses, vraiment. » lui dis-je un peu agacé.


Damon ria et s'approcha de mon oreille.


« Sinon quoi mon ami, qu'est-ce que tu comptes faire dis moi ? » me demande Damon sûr de lui.


A ce moment là, j'aurais aimé lui dire le fond de ma pensé mais à vrai dire, je ne faisais pas le poids contre lui, il était bien plus fort que moi dû au fait qu'il soit plus anciens, qu'il se nourrisse plus souvent que moi mais aussi dû fait que se soit lui qui m'ai transformé, il nous a transformé, Andy et moi.


Flashback.


Je terminais mon verre d'une trêve, Andy était bien attaqué, tout comme moi. C'était notre première soirée étudiante et franchement, c'était le feu ! Les filles étaient toutes aussi jolies les unes les autres, la musique était bonne, l'alcool coulait à flot tout roulait. Andy et moi on en revenait pas de participer à ce genre de soirée car nous étions pas tellement dans le groupe des gens populaire et pourtant cette soirée à changé notre vie à jamais. Cette géante fête était organisée par Damon Salvatore qui était arrivé depuis trois semaine dans notre classe, le courant était vite passé entre nous, mais lui, il voulait faire partir des gens populaires et organiser la plus grosse soirée de l'année, c'était son but pour atteindre son objectif alors ce que Damon à voulu Damon l'a eu. Une fête du tonnerre comme il disait si bien et c'était le cas !


« Eh Andy, il est où Damon au faite ? demandé-je.

― Je ne sais pas, tout à l'heure je l'ai vu monter avec deux dernière année à l'étage mais j'ai pas fais gaffe si il était redescendu. répond Andy.

― Viens on va voir. » lui dis-je.


Nous montions à l'étage tant bien que mal puis nous sommes entré dans toutes les pièces que l'on pouvait trouver sans aucune trace de Damon.


« Mais il est où ce con ? demande Andy en rigolant.

― On est pas rentré dans celle-ci ? demandé-je à Andy en désignant la porte avec ma main.

― Je ne sais pas. » répond Andy.


J'ouvris la porte et je fus outré par ce que je découvris, Andy en tomba même dans les pommes.

Une vraie boucherie, il y avait le corps d'une fille qui était affalé parterre, il semblait sans vie, il y avait du sang partout et Damon, je ne savais pas trop ce qu'il faisait à cette fille qu'il tenait fermement en tout cas elle saignait. J'ai fermé la porte ce qui alerta Damon de ma présence, lorsqu'il me vue, il lâcha le corps de la fille et s'approcha de moi sans que je le vu se déplacer. Autour de sa bouche, c'était remplit de sang, je commençais à m'affoler, je ne comprenais pas ce qu'il se passait.


« Da...Damon qu'est-ce que tu fais ? » lui demandé-je d'une voix tremblante.


Il me prit fermement, je le suppliais de ne pas me faire de mal.


« Damon, ne me fais pas de mal s'il te plait je ferais tout ce que tu veux mais ne me fais pas de mal, ni a Andy s'il te plait, Damon on est tes potes, on a était les premier qui sont venu te parler, ne nous fais pas de mal. » le supplié-je.


Son visage changea, il semblait reprendre sa forme normal mais pas totalement.


« Ça t'arrives jamais de la fermer ? Tu fais un peu de la peine à me supplier tel une petite vierge égarée. me dit Damon.

― Qu'est-ce que tu vas nous faire ? lui demandé-je un peu effrayé.

― Cela dépend de ce que tu me répondras. dit Damon.

― Comment ça ? l'interroge avec une voix tremblante.

― Et bien, ça te dirais de devenir puissant, que tout le monde s'écarte sur ton passage, que les filles soient à tes pieds et d'avoir l'éternité devant toi ? me demande Damon en s’essuyant la bouche.

― Ça m'engage à faire quoi ? lui demandé-je.

― A devenir comme moi. répond-il.

― Mais qu'est-ce que tu es exactement ? lui demandé-je.

― Un vampire. » me répond-il avant de fendre la nuque.


Je me suis réveillé dans un endroit glauque, Andy était à côté de moi, ça sentait le renfermé puis trou noir.

Je fus réveillé une seconde fois, ainsi que Andy mais ce coup ci, nous étions plus nous même. Damon nous avaient transformé, nous étions nous aussi des vampires.


Fin du flashback.


Point de vue de Enayla.


Je venais de raccrocher ma conversation skype, j'étais avec Anissa qui était plus déprimée que jamais, Jackson venait de la larguer et pas en douceur. J'ai bien dû mettre plus d'une heure et demi à essayer de la consoler en vain. Quand me venu des pensées très étranges, je me suis mis à repenser à l'ami de Nelson, Damon. Pourquoi suis-je entrain de penser à lui, dans le genre lourd ce mec il est en haut de la pyramide, j'ai essayé de penser à autres choses lorsque je fus sortis de mes pensées par quelqu'un qui frappa fortement à la porte de ma chambre, ce qui me fis sursauter.

Je suis parti en direction de la porte, j'ouvris, c'était...









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