Tout est une question de volonté ! [Castiel x Daiki]
[PDV Daiki :
Maria est enfin de retour et bon sang ce qu’elle m’avais manqué ! J’adore Tetsu hein, mais bon au milieu de toute cette testostérone et malgré ça capacité à être très doué au combat, elle apportait quand même de la douceur dans nos vie et savait comment nous calmer quand on s’engueulait pour un rien, exactement comme des gosses et c’est ce qu’on était à l’époque.
Vous allez me dire que en 7 ans, les gens peuvent changer et ne plus être les mêmes et vous avez raison en soit, seulement, à la seconde ou je l’ai revu dans l’appart, son sourire angélique, son énergie et son p’tit caractère trempé, j’ai tout de suite su qu’c’était là même, la même j’vous dit…
(enfin… pas vraiment pour être tout à fait honnête.)
Une chose m’a vraiment pris au dépourvut quand je l’ai revu et putain, j’étais pas près.
Elle possédé maintenant une silhouette digne d’une déesse, sûrement du à ses différentes activités physiques.
Elle avait juste ce qu’il faut, où il faut et elle devait en faire baver plus d’un, et bordel, j’en faisais partie.
Ses yeux noisette au reflet vert pouvait t’envoûtai en une fraction de seconde, j’vous parle même pas de ses lèvres pulpeuse qui demande qu’à être embrasser.
Elle mesurait 1m72 et avait laissé pousser ses cheveux brun ,auparavant coiffé en carré plongeant ; atteignant à l’heure actuelle son bassin, étant mi-ondulé, mi-lisse, s’en dégageait une envie furieuse d’y plonger mes mains et d’en agripper une poignet pendant un pur moment de plaisir charnel.
Ce matin, quand je l’ai vu dans la cuisine, je l’ai trouvé terriblement sexy. En plus de sa, j’ai l’impression que la miss à affirmé son caractère, ce qui à le don de m’faire de l’effet.
Avant, un rien la gênait et maintenant elle m’invite limite dans son lit.
On arrive à hauteur du restau, on entend madame pester pensant que c’est un bar.
M : Les gars j’ai dit que je voulais manger, pas boire !
Je lui répond et après avoir clarifié la situation, on s’installe à une table ou elle commença à nous raconté son expérience au États-Unis. Elle nous raconta son ressenti et j’étais attristé quand elle nous confessa la douleur qu’elle avait ressenti à l’époque.
Elle se rappela soudain de quelque chose qui l’avait fait rire et voulait absolument nous le raconter.
Elle se mit donc dans son récit et arriver au moment de « l’attouchement sexuel », j’eus une monté de colère arriver, ma mâchoire se contracta une seconde et quand je posa mon regard sur Tetsu, je vis qu’il était dans le même état que moi.
Heureusement, notre énervement ne dura que quelque seconde, quand elle nous apprit qu’elle avait réussi à le maîtrisé comme une pro avant même qu’il est eu le temps de faire grand-chose.
Je souffla intérieurement de soulagement. Elle nous apprit qu’elle avait réussi à crées des liens avec des gens seulement après la majorité ( française bien sûr ) avec des musicien, mais surtout, avec les certains Matt & Daryl Ortega, dont elle est apparemment très proche, surtout de ce Daryl, qui à l’air d’avoir une relation ambiguë avec elle.
( petit pincement au cœur )
Comment peut on ne pas savoir qu’elle genre de relation on entretient avec quelqu’un ? Bref, ça me regarde pas. Histoire de la taquiner un peu je décide, de lui balancer de but en blanc.
D : Et niveau mec alors ? Toujours vierge la Marie ?
Erreur fatale, j’ai regretté ces mots à la seconde ou j’ai vu son regard passé de la noirceur à la séduction car, ça phrase tourna maintenant en boucle dans ma tête.
« Qu’est ce qu’il y a mon chou ? Jaloux à l’idée que je puisse ne plus l’être ? T'aurai voulu être mon premier peut être ? »
Ça avait eu le mérite de m'fermer ma gueule. N’ayant pour autant pas envie de perdre la face, je lui rétorqua essayant de paraître le plus naturel au monde.
D : Mmm qui sait ? Non, ça me ferai juste bizarre, c’est comme si j’entendais ma sœur parler de ses parties de jambe en l’air… beurk !
Pur mensonge, je l’avais jamais considéré comme une sœur et encore moins maintenant.
Après leur avoir signifié que j'voulais changer de sujet, elle contourna la table et vint se mettre dans mon dos pour m’enlacer.
Petite victoire qui s’agrandit quand elle murmura tout près de mon oreille.
M : Fais pas la tête beau gosse, sache qu’c’est vous deux que j’aime le plus ! Alors remballe cette tête de déterré et montre moi ce magnifique sourire ravageur dont tu as le secret d'accord ?
Je souris discrètement à cette phrase sans que personne s’en aperçoive, puis me tourna vers elle et lui retourna un regard vainqueur, attrapa ses mains qui pendait devant mon torse avec ma main droite et lui embrassa la joue.
Je vous mentirez si je vous disais que j’avais pas ressenti une certaine satisfaction au contact de mes lèvres sur sa peau.
(Putain mais c’est quoi mon problème bordel?! Depuis quand j’ai envie de me taper ma pote d’enfance ? Je débloque complètement moi !! Je dois être frustré j’vois qu’ça)
Fin PDV Daiki]
On termine de manger, commandons trois cafés et continuons notre petite conversation.
M : Tetsuya… ?
T : Hum ?
M : Je sais que ça peut paraître abusé de te demander ça alors que je viens d’arriver hier, que tu as bien voulu que je vienne chez toi, même être en coloc, que tu vas mêm-
T : Maria ! Stop, respire. Qu’est ce qu’il y à ?
M : Matt, le gars dont je vous ai parlé viendra bientôt me rendre visite et… à la base vu que j’étais sensé être au dortoir, il aurait prit une chambre d’hôtel mais… vu que maintenant j’ai un « appart » je me demandais si ça te dérangerai s’il venait dormir à la maison ?
T : Ahahahah ! C’est pour ça que tu panique ma boxeuse ? J’te l’ai dit, c’est ton appart aussi maintenant, on fait 50/50 tu fais c’que tu veux. Tu veux invité ton pote, t’invite ton pote. Mais j’apprécie que tu me tienne au courant, d’ailleurs j’allais t’en parler. Vu que maintenant on va devoir ce partager un appart avec nos petite routine personnelle, ça on le verra ensemble au fur et mesure qu’on se côtoiera, par contre, quand on à des invités on préviens toujours l’autre. Ça évitera les surprises.
M : Deal ! Merci j’t’adore !
Je lui tape un énorme bisous sur la joue. Un serveur viens nous apporté nos cafés.
D : Mais il parle français ton pote au moins ?
M : Figure toi que oui car j’ai étais son « prof ». Alors il le parle pas parfaitement ou quoi mais ils se débrouille bien le bougre. Il m’aidait avec le jargon professionnel vu que je connaissais que le langage courant et moi en contre parti je lui apprenais ma langue. La France la toujours intéressé. Il vient justement visité et voir comment je vais au passage.
Nous les buvons rapidement et sortons du restaurant. Il est maintenant 14h00. J’avais pas vu le temps passer. Je le vois jamais quand je suis avec eux toute façon.
D : Bon moi j’vous laisse ici, j’vais comaté un peu avant d’aller au taf ce soir.
Je ricane à me rappelant le fait qu’il est mal dormi sur le canapé, faut dire aussi, il est plus grand que ce truc, faut pas s’étonner.
M : Tu me montre ou se trouve le dojo ?
T : Yep suis moi.
On rebrousse chemin repassons devant la fac, allons à ma voiture pour récupéré mon sac de sport et faisons le tour de la fac. Deux minutes plus tard nous arrivons devant le dojo « Onizuka ».
T : J’te laisse la ma boxeuse, j’ai des choses à faire, mais on se retrouve plus tard ?
M : Merci Tetsu, j’te tiens au jus.
T : A plus ma belle.
Il m’embrasse sur la joue, et rebrousse le chemin. Je rentre dans le dojo, m’avance vers ce qui semble être un accueil et observe l’endroit.
L’aura de la pièce et très solennel, tout en étant chaleureux. Le style japonais est très beau, des tatami était posé un peu partout dans un coin au fond tu dojo, un ring ce trouve pas très loin sur la gauche, quelque sac de frappe à proximité et toutes sorte d’équipement pour la boxe ainsi que des mannequins de bois se trouvé plus vers l’entrée. Pour finir il y avait des vestiaire et des douches tout au fond.
J’attends quelque minutes que quelqu’un vienne vers moi, tout en regardant les quelques personnes qui s’entraîne. On me coupe d’un coup de mes réflexions, je me tourne et fait face à un vieil homme au regard neutre, mais qui dégagé une énorme sagesse.
???? : Bonjour mademoiselle, que puis-je faire pour vous ?
M : Bonjour monsieur, j’aimerai si possible parler au responsable des lieux.
???? : Et bien vous l’avez devant vous mademoiselle, je suis Maître Onizuka.
M : Oh ravi de vous rencontrer Maître, je viens donc vous voir car, je suis originaire d’ici et viens tout juste de revenir après sept ans d’absence. Un ami ma signalé à mon retour que votre dojo avait ouvert ses portes ici il y a de cela 4 ans. Je viens donc vous voir car je pratique la boxe et le Krav maga depuis mes 12 ans, j’en ai 24 maintenant et j’aimerai énormément travailler dans votre dojo, si bien sur vous m’en donné la chance. Je travaillais déjà dans un dojo là où j'habitais à New-York.
Maître Onizuka me regarda droit dans les yeux et me fixa intensément comme s’il cherché à sonder mon âme, je lui fit un sourire doux et professionnel.
MO : Vous avez une tenue de sport sur vous.
M : Bien sûr.
MO : Suivez moi.
M : Si je puis me permettre qu’allons nous faire ?
MO : Vous testez.
Je souris à cet phrase. Génial ça faisais un bail que j’avais pas beaucoup exercé avec un pro, enfin quoi que vu l’âge et la carrure du Maître je suis pas vraiment sûr de me battre contre lui.
MO : Les vestiaires sont ici, je vous laisse vous changé, quand ce sera fait rejoignez moi sur les tatamis.
M : Merci Maître.
Je le vis sourire furtivement puis se tourner et partir en direction des tatamis.
Je rentre dans les vestiaires, personnes. Parfait.
J’enfile mon mini short de sport, ma brassière noire, enroule mes bandage prévu à cette effet autour de mes jointure et mes poignet puis sors en direction des tatamis.
En me rapprochant j’aperçois un homme plutôt grand, 1m85 a vue d’œil. Tailler comme les militaires. Cheveux court châtain, plaquer à l’arrière grâce à un serre tête intracrânien.
Ils sont en pleine discussion et ne m’ont pas encore vu. J’me demande qui ça peut bien être.
J’arrive enfin à leur hauteur et Maître Onizuka prend la parole.
MO : Mademoiselle… ?
M : Artfielya. Maria Artfielya
MO : Maria, je te présente Jarod.
Il me fait un rapide salut de tête que je lui rend aussitôt.
M : Enchanté.
J : De même.
MO : C’est lui qui va te tester.
Je le détaille un instant, neutre, il me regarde en retour sans bouger.
Je laisse alors sortir sans le vouloir un léger souffle du nez suivis d’un petit sourire en coin.
OK, le Maître rigole pas. Il à compris direct que j’étais pas une midinette, impressionnant.
Impeccable allons-y.
Jarod ayant capté mon sourire, plissa légèrement les yeux une lueur joueuse dans le regard, plutôt sexy et afficha un sourire suffisant.
Ok mon pote, on va jouez. Par contre je vais devoir être très prudente. Je ne le connais pas, je ne connais pas ces compétences, ni ses faiblesses et avec sa carrure de militaire j’imagine qu’il est doué, surtout si le Maître à décidé de le faire m’affronter.
On se place tout les deux sur les tatamis, l’un en face de l’autre. On se cogne rapidement les poings pour signifié qu’on est prêt.
On se jauge mutuellement en se tournant légèrement autour pendant quelque secondes.
Je fais de légère feinte, presque imperceptible pour voir sa réaction.
Je le vois à peine tressaillir et plisser légèrement les yeux. Ok, il est bien sur ses gardes. Essayons autre chose.
M: Tu travaille ici ?
Je le vois baisser sa garde pendant une seconde, sûrement surpris à cause de ma question est c’est à moment la que je décide d’attaquer.
Je me jette sur son bras gauche de mes deux mains, vais pour le faire basculer par dessus mon épaules, seulement il fût plus rapide que moi et m’entraîne avec lui au sol grâce à l’élan, se retrouvant du coup à califourchon sur moi.
Toujours dans l’action je frappe du poing sa jambe gauche ce qui lui fait desserrer sa prise par réflexe. J’en profite aussitôt pour sortir ma jambe droite et le repousser en arrière à l’aide de mon pied.
Je me relève d’un bond, et le regarde se remettre sur pied. On se regarde tout les deux le sourire au lèvres.
Le combat dura à peut près une dizaine de minutes. On s’était renvoyer mutuellement l’ascenseur, un coup c’était lui qui dominé, un coup c’était moi. Même si je dois bien avouer, que c’était lui qui me dominé les deux dernière minutes et qu’à l’heure actuellement il est bien meilleur que moi.
MO : Cela suffit, j’en ai assez vu merci.
On s’arrête tout les deux, à bout de souffle, car mine de rien on y est pas aller de main morte.
M : Woaw, t’es vachement douée !
J : J’te remercie du compliment. Ta technique est aussi excellente ! Et pour répondre à ta sournoise petite question de tout à l’heure non, je ne travaille pas ici.
M : Merci. Je tiens à m’excuser pour ce léger coup bas. Seulement, je n’te connaît pas et j’ai vu que tu avais de bon réflexe du coup, j’ai voulu te déstabilisé et te devancé par la vitesse, mais tu as été plus rapide. Bravo.
J : Smart. Une personne avec moins d’entraînement ce serai certainement faites avoir.
On se check rapidement les points et il s’en alla de son coté. J’attrape ma gourde d’eau posé sur le coté et en vide la moitié.
MO : Je dois vous avouez mademoiselle, que je ne pensais pas que vous réussiriez à tenir tête à Jarod. Je suis agréablement surpris.
M : Oh et bien j’en suis ravis.
MO : J’accepte donc de vous engager. Êtes-vous disponible actuellement afin de pouvoir parler de tout cela ?
M : Bien sûr.
MO : Dans ce cas, je vous laisse allez vous changer, rejoignez moi au comptoir de l’accueil quand vous aurez fini.
M : Entendu.
Je me dirige donc vers les douches, puis les vestiaires pour m’habiller. Je retourne à l’accueil et y retrouve monsieur Onizuka.
MO : Quand seriez vous disponible pour commencer ?
M : Alors justement, il faut que je vous précise que malgré mon âge j’ai repris mes études récemment, cursus SUAPS donc, il faudrait que mes horaires corresponde à mon emploi du temps.
MO : Intéressant, quelle sont vos disponibilités ?
M : Je suis libre le Mercredi tout là journée, et du Lundi au Vendredi je suis occupée de 09h à 16h. Je n’aurai peut être pas tout les samedi selon les cours à venir, mais je le saurais au fur et à mesure. Après ça je suis libre.
MO : Je peux vous proposé un temps partiels uniquement pour le soir si cela vous convient et remplacé le samedi par le mercredi ?
M : Ce serai parfait.
MO : Du Lundi au Vendredi de 17h00 à 21h00 et pour les Mercredi… pourriez vous vous libéré la journée ?
M : Oui, quel horaire vous irez ?
MO : 14h30 à 18h00.
M : Nickel !
MO : Bien, votre travail consistera à initié pour le moments les nouveaux adhérant qui découvre la Boxe et le Krav Maga, ainsi que les courts de self défense.
M : Génial ! Je vous remercie Maître.
MO : J’apprécie votre enthousiasme Maria. Au plaisir de travaillez avec vous. Vous pouvez commencé quand ?
M : Si cela ne vous dérange pas, puis-je commencé Lundi prochain ? J’aimerai d’abord me familiarisé avec tout cet emploi du temps et m’organiser.
MO : Dans ce cas, je vous dis à Lundi prochain Maria.
M : A Lundi prochain Maître Onizuka.
Je sors du dojo et suis surexcité ! YYYYYYEEEEEEEESSSSSS ! J’ai réussi à décrocher le job ! Je regarde l’heure, il est 15h30. Je pouvais pas rêvé mieux pour cette réelle première journée. Je retourne devant la fac et m’arrête à ma voiture. Je pose mon sac de sport, puis envoie un message à Tetsu.
SMS-Maria à Tetsuya :
[Ta boxeuse c’est une Warrior, elle à obtenue le job haut la main ! ]
Je souris toute seule en envoyant mon message, je reprend ma guitare, puis referme ma voiture. Je décide d’aller me balader afin d’avoir des repères.
Ma poche se met à vibrer, je sors mon tel et regarde qui c’est. Tetsu.
SMS - Tetsuya à Maria -
[ Louuuuuurd !! Félicitation, ça c'est ma Boxeuse ! On va fêter ça se soir au bar de Daiki ! ]
SMS - Maria à Tetsuya -
[ Plutôt deux fois qu’une mon pote ]
[…]
Je me retrouve devant l’entrée d’un parc, un immense espace vert avec des chemins pour les joggeurs, des coins d’eaux avec des petits canard qui pataugent dedans.
Le parc et tellement grand, qu’il y un grand panneau avec toute la légende afin de se retrouver. Des endroits pour pique-niquer se trouvent un peu partout dans le parc, plusieurs petits lacs par ci par là. Je marche en regardant partout autour de moi, subjugué par la beauté et sans avoir de parcourt précis.
En marchant, je vois un majestueux saule pleureur d’un beauté à en couper le souffle, je me dirige vers celui ci et me pose contre lui.
Je ferme les yeux, balance ma tête vers l’arrière pour la posé contre le tronc et inspire à plein poumons.
M : Aaaaaaah, ça fais du bien.
Poussais-je dans un soupir serein, j’attrape ma guitare, la sors de son étuis et commence à gratter quelques cordes doucement.
Je reste un moment comme ça, seule avec moi-même, ma gratte qui produit une douce mélodie, jouant plusieurs chanson, composant quand l’inspi venait.
Je la range ensuite dans son étuis, m’avance un peu à l’aide de ma main en étant toujours au sol, la pose derrière moi et m’allonge en posant ma tête dessus.
Cet endroit et tellement paisible, hors du temps. J’enfile mon casque audio beat, vais sur Spotify et écoute l’album du $-Crew – Destins liés. Je les adores c’est mes artistes préférés, surtout Nekfeu. Je me sens bercé par la voix de Framal et tombe lentement dans un état à demi-conscient.
[…]
Mais qu’est ce que ??? Je sens quelque chose d’humide se balader partout sur mon visage, j’ouvre péniblement les yeux et penché au dessus de moi, j’aperçois un magnifique beauceron d’un noir profond au yeux dorés ; ce chien à les yeux du Démon, ils sont hypnotisant. Toujours couché avec le casque sur mes oreilles, je lève mes mains pour lui faire renifler et quand je vois que c'est bon pour lui, je le caresser et il se met à me lécher de partout.
M : Hé hé hé, doucement mon gros !
Je sors cette phrase avec zéro volonté et remarque autour de son cou, un collier avec un petit médaillon, je le détaille et vois marqué dessus « Démon ». Je ricane à la simple pensée que ce nom lui va à la perfection.
Je continue de le caresser et remarque aucune laisse et pas de maître à l’horizon. Ce doit être un chien très obéissant pour qu’il soit laissé en liberté, aussi libre de ses mouvement dans un lieu comme celui ci, surtout que la plupart des gens on peur de cette race de chien, alors que moi, c’est l’inverse.
Les beaucerons, les staffs, les dogue argentin c’est carrément ma came.
Les gens ne comprennent pas que c’est l’éducation du maître qui va impacté les actions du chien.
Je vois subitement « démon » se figé les oreilles dresser, la tête tourné sur la gauche et je le sens d’un coup partir en vitesse. Bon, sûrement son maître qui l’a appeler. Je regarde ma montre et remarque qu’il est déjà 17h. Ah oui, j’ai quand même bien glander.
Je me lève, récupère mon étuis, mon sac et me dirige en direction de la fac pour aller à ma voiture et retourner à l’appartement.
J’arrive devant l’appartement, me gare sur sa place de parking et rentre dans ce qui sera maintenant chez moi. Tetsu n’est toujours pas rentré. Je sors ma guitare de son étuis et la pose sur son socle que j’ai placé à coté de la télé. Je me pose devant Netflix et réfléchis à ce que je pourrais faire demain avant la reprise.
Il me semble avoir aperçu un magasin de vêtements hier en venant à l’appart, j’irai sûrement y faire un tour. J’ai pris le strict minimum en venant ici car, c’est vraiment pas donné de faire transférer ses affaires sur un autre continent. Et puis, avec les économie que je me suis faites grâce au boulot que j’avais et le fait que j’habitais toujours chez parents, j’avais pas fait beaucoup de dépense. Je pouvais donc me faire plaisir et me faire une nouvelle garde robe.
J’aime pas vraiment faire les boutiques mais bon, faut bien s’habiller ; j’vais pas débarquer à la fac à poil.
[ PDV Tetsuya :
J’ai laissé Maria au dojo et pars à l’opposé tout en sortant mon téléphone pour appeler un pote.
Après trois tonalités il décroche.
???? : Yo mec, Ça roule ?
T : Yo Castiel ! Normal et toi ?
C : J’vais pas t’mentir c’est pas la forme.
T : Ça sent la nuit blanche pour composer ça.
C : T’a tout capté. Tu veux un truc ?
T : J’peux passé ?
C : Vas-y à de suite.
T : Azy j’arrive.
Je raccroche et me dirige vers son appart. J’arrive devant, sonne à l’interphone et monte une fois qu’il ma ouvert. Je toque à sa porte en faisant le code pour signifié que c’est moi (3 coup rapide, 1 coup lent) et rentre sans attendre sa réponse. On fait toujours comme ça ici entre nous.
Je le vois assis sur canapé caler dans le fond, sa cheville calé sur son genou droit, un cahier posé entre ses jambes, un crayon dans les mains, une bière posé sur la petite table face à lui.
C : Salut mec.
T : Salut.
On se check et je m’assoie sur le fauteuil en face de lui et cale mes coudes sur mes jambes.
T : Alors ça bosse dur ?
Il souffle légèrement agacé, se frotte le visage avec ses mains et fronce les sourcils.
C : Nan, j’galère. J’ai des tonnes d’idées mais… ça s’embrouille dans ma tête et me donne mal au crâne. J’arrive pas à mettre de l’ordre dans tout ça.
T : Te prend pas la tête, plus tu vas bloqué dessus et plus ça va te rendre fou, t’a besoin de t’aérer l’esprit. Ce soir, j’te réquisitionne. On va aller boire un coup à "l’antre" (l'endroit où travaille Daiki) on à un truc à fêter en plus.
Il me regarde avec incompréhension, attendant que je poursuive.
T : Tu t’rappelle de ma pote Maria dont je t’ai parlé ?
Il réfléchit deux seconde avant d’ouvrir la bouche.
C : Ouais j’crois… Celle qui revient des States c’est ça ?
T : Ouais, ben elle est arrivé hier et ce soir, on va fêter l’obtention de son job.
C : Elle va bosser où ?
T : Au dojo derrière la fac.
T : Encore une nana qui va bosser là bas juste pour baver sur les mecs, pathétique.
J’lui claque la tête et fronce mes sourcils.
T : Ta beau être mon meilleur pote, j’t’interdit de lui manquer d’respect c’est clair ? Tu la connais pas ! Tu sais même pas d’quoi tu parle en plus.
C : Wow tout doux rambo, j’savais pas qu’c’était un sujet sensible ta go.
T : Rien à voir mec, c’est ma meilleure amie, rien d’autre.
C : Ouais ben, vu comment tu la défend, on dirait pas.
T : Si tu racontais pas d’la merde aussi, j’aurai pas besoin d’la défendre. D’ailleurs t’apprendra très vite par toi même à qui t’a affaire. J’te laisse la surprise.
Il me regarde interloqué mais ne dis rien de plus.
T : D’ailleurs, j’voulais te demander si ça te dérangé pas que je débarque avec elle les prochaines fois ?
C : Ça, ça dépendra de se soir mon pote. Mais bon j’te signale que chez moi on y vient surtout pour y répété et jouer, alors ta princesse, elle va se faire chier si elle fait que nous regarder. C’est chez Daiki les soirées j’te rappelle.
Princesse… Elle va en faire qu’une bouchée s’il l’appelle comme ça devant elle.
T : T’en fais pas pour ça va, tu comprendra ce soir.
C : Si tu l’dit
On papote le reste de l’aprèm de musique et de basket.
Fin PDV Tetsuya ]
------------------------------------------------------------------------------
Voilà pour ce 3ème chapitre, j'espère qu'il va vous plaire. N'hésitez pas à me dire si vous aimez, les personnages, les dialogues comment c'est écrit etc... J'vais essayer de publié le plus rapidement possible. Bisous à tous.