Tout est une question de volonté ! [Castiel x Daiki]

Il est l’heure, de commencer à me préparer pour ce soir, je ne sais pas du tout quoi mettre. Ce soir j’ai envie me lâcher, de profiter de l’instant présent et célébré mon nouveau boulot avec mes amis, je vais donc mettre quelque chose qui me permettra d’être à l’aise.

J’opte pour un petit tee-shirt, un top court noir qui laisse apparaître mon ventre avec écrit au centre, « Rock’N Roll » écrit en graffiti, accompagnée d’un skinny troué partiellement sur les cuisses en jean et au pieds mes vans oldschool noire.

Je me dirige à la salle de bain et me fait un maquillage léger. Je fait un dégradé de marron sur mes paupières, un trait d’eye-liner fin pour souligné mon regard, pose mon mascara sur mes cils, une touche de rouge à lèvres mat de couleur nude et fini par un peu de blush pour illuminé mon teint.

Je décide de laissé mes cheveux détaché, ils ont cet effet ondulé que j’aime bien. Une touche subtile de parfum et le tour est bon, je suis prête. Je me dirige dans le salon et appelle Tetsu.

M : Tetsuya ! Je suis prête on peut y aller.

T : Ouais j’arrive !

Je le vois immerger de sa chambre et me rejoins dans le salon.

T : J’ai demander à 1 ou 2 potes de passer ce soir. J’me suis dis que ça te ferais de nouvelle rencontre. Il me dit ça en jaugeant ma réaction. Et puis tu risqué forcement de les rencontrer à un moment ou un autres vu que t’es avec nous maintenant.

M : Pas de soucis. Puis comme tu le dis, je les auraient rencontré à un moment ou un autre. Alors t’en fais pas je t’en veux pas.

T : Super, allez on y va. Ils nous rejoindrons là bas.

M : OK let’s go !

On sortant de l’appartement, je sors une cigarette de mon paquet l’apporte à mes lèvres et tire grosse taffe dessus, je la fume le long du trajet. Une fois arriver devant, j’écrase la fin de ma clope, la jette dans la poubelle à proximité et rentrons à l’intérieur. Il règne dans le pub une atmosphère Street&Rock que j’aime bien, les lumières sont tamisé et l’espace assez grand pour accueillir une petite scène avec des instruments posés dessus.

Je trouve du regard Daiki derrière le bar, je m’approche de lui avec mon plus grand sourire et m’installe sur un tabouret.

M : Bonsoir beau gosse. Dites moi, les verres sont gratuit pour les jolies demoiselles ? Dis-je de manière aguicheuse.

Il regarde autour de lui afin de savoir qui lui parle et je lit de la surprise quand il me voit, il rit légèrement avant de me sourire et de me répondre.

D : Bien sûr ! Tenez, celui ci est offert par la maison.

Il me tend, sans se séparer de son grand sourire charmeur plaqué sur ses lèvres qui me fais fondre, une tequila, avec du sel et une petite tranche de citron.

M : Sachez que vous me prenez par les sentiments là. Je vous remercie infiniment jeune homme.

On se regarde tout les deux complice et pouffons de rire, il fais claquer son chiffon, qu'il doit sûrement utilisé pour nettoyer le bar sur moi et secoue légèrement la tête de gauche à droite.

D : Grosse folle, qu’est ce que vous foutez là ?

Tetsuya qui vient de me rejoindre, passe un bras autour de mes épaules et lui répond.

T : On vient fêter le nouveau boulot de Maria avec notre pote.

D : T’a trouvé un boulot ?! Bien joué, tu va bosser où ?

M : Au dojo Onizuka derrière la fac.

D : Nickel ça, tu la mérité au final ton verre gratuit ! Dit il avec un sourire joueur.

Je me penche sur le bar pour lui donner un coup à l’épaule et rigole de sa connerie.

M : Crétin… attend tu crois quoi ? Chui pas une midinette moi !

D : J’vois ça.

Il rapproche sa tête pour me chuchoter à l’oreille.

D : Je vais trinquer avec vous.

Il me fait un clin d’œil, prépare furtivement deux autre tequila paf, regarde rapidement autour de lui, en donne un à Tetsu et après avoir entrechoqué les verres, nous les avalons aussi sec.

M : WOUH !

Je repose mon verre dans un bruit sec et suis ultra reconnaissante de partager ce moment avec eux.

M : Putain j’vous aime les gars !

Ils se tournent, surpris par ce que je viens de dire qui sors de nulle part, avant de se regarder tout les deux et rigoler de la situation.

D : C’est qu’elle en deviendrai sentimentale notre boxeuse

T : Un verre elle est péter ! Dit il en se moquant de moi

M : Rooh de suite ! Dis-je les yeux au ciel. Je vous aimes c’est tout, je voulais juste vous le dire… Leurs dis-je faisant semblant de bouder.

T : Moooooooh elle est trop mignonne !

Il remet son bras autour de mes épaules et me ramène contre son torse avant de m’embrasser le haut de mon crâne.

T : On t’aime nous aussi. Me rassure t’il de son sourire angélique.

Ce mec à la capacités de m’apaiser en une fraction de seconde, c’est complètement dingue. Le début de soirée ce passe nickel, leur bière artisanale sont une tuerie, surtout la pêcheresse ! Comment vous dire que j’en suis déjà à mon troisième verre et j’ai une subite envie de sortir fumer (à chaque fois que je bois de l’alcool l’envie de nicotine se renforce chez moi) et préviens donc Tetsu qui est en train de regarder les musiciens jouer.

M : Tetsu ! J’ai envie de fumer, je sors !

T : Ok, fais attention.

M : Pff à quoi ? Dis-je un sourire moqueur au lèvres.

T : Aux dalleux.

Je lève les yeux au ciel et me dirige vers la sortie. Arriver devant la porte, je vais pour l’ouvrir tout en ayant mes yeux fixer sur la petite sacoche que j’ai prise (afin de pouvoir prendre tout ce qui m’étais nécessaire tel que, mon paquet de clope, mes clés et mon porte monnaie, le reste étant dans les poches du jean), pour trouver mon paquet sauf que quelqu’un me devance, l’ouvre à la volé et me rentre dedans tel un bourrin.

Je peine à garder mon équilibre et peste à voix haute.

M : ‘Tain c’est pas vrai ?! Faites un peu attention quand vous rentrez quelque part !

???? : Ouais, s’cuse.

Il dit ça sans même un regard pour moi et repart sans rien ajouter d’autre.

(Non mais je rêve!)

M: Putain mais j’hallucine… Pauvre mec !

Il se fou d’ma gueule ?Je sors énervé en pestant sur une personne imaginaire, les gens me dévisage bizarrement, pensant que je suis complètement barge et allume rapidement ma clope afin de me calmer.

Sérieux, ça existe encore les gens comme ça ? C’est trop demander de regarder la personne et s’excuser normalement comme une personne civilisé… On dit souvent qu’il faut de tout pour faire un monde, peut être, mais s’il pouvait éviter de croisé ma route, ça m’arrangerai.

Je vois qu’ils avaient pas menti, beaucoup de personne déambule dans la rue, entre ou sorte du bar, traverse, ou ne font que passer, le plus souvent des étudiants. En tout cas il est beaucoup fréquenté, en plus on est samedi et les musiciens sont super bon, alors comment vous dire que ça pullule de monde ce soir.

Ma première clope se fini trop rapidement à mon goût, j’en rallume donc une, afin que la nicotine fasse l’effet que je réclame, encore énervé de se qu’il c’est passé. Une fois fini je retourne à l’intérieur du pub. Je vois Tetsu toujours au même endroit mais cette fois il discute avec deux personnes qui se tiennent à coté de lui, concentré sur leurs conversation ils ne me voient pas arriver.

Le premier que je vois est de taille moyenne, assez fin pour un garçon, entre 1m75-80, habillé de manière assez particulière, dans un style victorien qui sors du lot mais qui, de dos, à quand même l’air de lui allez. Il as des cheveux mi-long blond platine attaché en queue de cheval rabattue sur son l’épaule droite. Il à un certain charme, une élégance dans la manière dont il se tient. On à l’impression qu’il fait parti de la noblesse et qu’il sort d’une autre époque.

Plus j’avance et plus je remarque que le deuxième qui se tient avec eux, est le gars qui m’est rentré dedans tout à l’heure. Mon sang ne fais qu’un tour.

Des cheveux rouge sang lisse, mi-long, attaché en chignon, avec quelque cheveux libre qui recouvre sa nuque et retombe sur les épaules. Il fait la même taille que Tetsuya, habillé dans un style assez rock qui lui va à la perfection et qui lui donne un air bad boy qui ne me laisse pas indifférente, des bras puissant qui épouse à merveille sont tee-shirt et qui laisse deviné que sont torse doit être tout aussi bien développé ; pas autant que Tetsuya ou Daiki, mais très bien foutu quand même. Par contre il à beau être canon, mon énervement redouble d’intensité à chaque pas que je fais en leurs direction, ptn j’vais m’le faire.

Arriver à quelque centimètre d’eux, j’aperçois sur le comptoir (Et merci univers d’être avec moi), un verre d’eau. Ni une ni deux, je l’attrape et lui balance le contenue à la gueule.

M : Tu me remet espèce de tocard ?!

Daiki, qui n’a pas raté la scène de derrière son bar, me regarde choqué, suivi des deux autres. Le concerné par contre je vois un mélange d’incompréhension, de surprise et d’énervement. Encore sous le choc car il n’a pas bouger d’un pouce, je lui lance.

M : Allô, j’te parle ! Tu me remet ?

???? : Putain mais ta craquer ?! T’es qui toi ?! C’est quoi ton problème ?!

M : Ok, donc en plus d’être un connard, t’a aussi l’Alzheimer ? Ben on est pas sortie.

???? : Excuse moi ?

M : Non j’t’excuse pas.

Je vois le blond platine se retenir à l’épaule de Tetsu complètement mort de rire tandis que Tetsu essaye vraiment de se retenir, mais avec difficulté, une main devant la bouche pour l’étouffer.

???? : Putain j’vais serrer, barre toi vite de là avant que j’t’explose.

M : Sérieusement Tetsuya, c’est ça t’es fréquentation ? Lui dis-je d’un air dégoûté. Ça me déçois un peu…

Il lève ses mains en l’air d’un air innocent en rejetant toute responsabilité.

T : Hé ! j’ai rien à voir dans cette histoire moi, je sais même pas ce qui s’passe !

???? : Quoi ? Tu la connaît c’te folle ?

Il s’était retourné face à Tetsuya, me pointant du doigt en posant cette question.

T : Évidemment que je la connais, c’est Maria. Dit-il comme si c’était logique.

???? : Super, ça promet ! Il est où ton problème princesse ?

M : OK, donc toi, t’es vraiment « LE » packaging du pauvre mec de base quoi ?

???? : Tetsu, fais quelque chose je vais vraiment serrer la. Dit il en passant sa main sur son visage essayant de se contenir.

M : Hé Oh, tu va arrêter de lui parler à lui, tu sera gentil, c’est moi qui te cause là OK ? J’ai pas besoin de lui pour me défendre.

???? : Pour la troisième fois, c’est quoi ton putain de problème ?

M : Mon « putain de problème » comme tu dis, c’est que la personne à qui t’es rentré dedans tout à l’heure, sans vraiment t’excuser, ni même un regard au passage tel un chien d’la casse, c’est moi et ça ma pas plût comme tu peux le voir et le sentir.

???? : T’es sérieuse là ?! Tout ça pour ça ?!

M : Oh, dis-je faussement peiné je suis désolé, ça t’as pas plût… ? Je change d’un coup mon expression en un regard noir. Rien à foutre. Et je te conseille de redescendre en pression, car si tu me chauffe trop, je te couche devant tout le monde sans pitié.

Je le voit serrer ses poings et faire un mouvement vers moi, je ne me démonte et fait de même.

D : OK… On se calme les gars, vous déranger tout le monde.

Soudainement, je prend conscience qu'on est dans le bar où Daiki bosse et je sens son regard furieux se poser sur nous deux, ainsi que certains clients qui c’était retourné vers nous. Certains avec un visage montrant leurs incompréhension d’autres, se moquer de celui que j’avais arrosé. Merde, malgré le bruit on nous entend quand même, j'avais pas prévu de faire une scène dans un lieu public. Je m'excuse immédiatement auprès de mon ami.

M : Je suis désolé Daiki, j’vais me calmer j’te l’promet, mais tu m’connais, j’aime pas le manque de respect.

Je lance un regard noir au concerné qui me le rend également. On se regarde en chien de faïence pendant quelque seconde avant que Tetsu ne prennent la parole.

T : Bon on va dire que vous êtes quitte et on passe à autre choses, ok ?

Aucun de nous deux ne répond.

T : OK ?!

On sursaute tout les deux au haussement de voix et au regard furieux de notre ami respectif, ce n’est pas dans ses habitude d’être comme ça. Il nous regarde les sourcils froncés, comme on regarde deux enfant qu’on gronde et je répond dans un grognement, pas vraiment contente de laisser couler.

M : Ok… Dis-je pas du tout convaincue.

???? : Elle promet cette soirée… rajoute-t-il en soufflant

T : Castiel ! Commence pas, tout est ta faute à la base.

M : Attendez... c’est toi Castiel ? Génial ! Comme tu dis ça promet…

T : Ouais… bon, c’est pas vraiment comme ça que je voulais que vous vous rencontriez… Dit-il en se grattant l’arrière de la tête dans d’autre circonstance je suis sûr que vous vous entendriez. A coté de lui c’est Lysandre, un ami qui fait aussi parti du groupe dont on t’a parlé.

M : Salut Lysandre, je suis désolé des circonstances mais je suis ravi de te rencontrer.

Je lui offre un sourire contrit qu’il me rend chaleureusement.

L : Aucun soucis, tu m’a même impressionné je t’avoue. Jamais personne n’avait osé faire ce que t’as fait à Castiel. C’était magique à voir.

C : Ferme la Lys’. Grogne t’il entre les dents

M : Écoute, je suis désolé d’avoir agi comme ça. J’ai pas réfléchit, j’ai vu rouge. Je te propose qu’on oublie, et qu'on reparte à zéro. En plus comme la dit Tetsu, on est quitte. Deal ?

Il soude son regard au miens un instant et accepte finalement de me serrer la main que je venais de lui tendre.

C : Deal…

D : A la bonne heure !

Il tape dans ses mains afin de clore la discussion et nous commandons tous à boire, puis trinquons à mon nouveau taff. Daiki alterne entre son boulot et nos discussions pendant que nous parlons de tout est de rien, enfin à part ce cher Castiel qui tiré un peu la gueule, avec moi, il se contente de regarder les musiciens en hochant lentement la tête en rythme.

M : Du coup c’est qui qui à crée le groupe à la base ?

L : Castiel, il nous à entraîné la dedans avec Tetsu et c’est après que Daiki nous as rejoins, au début pour le fun et ensuite parce qu’il kiffer ça et qu’il s’y est mit sérieusement.

M: Du Daiki tout craché, à partir du moment ou il se motive pour quelque chose, rien l’arrête. N’est ce pas beau gosse ? Dit-je en me tournant vers lui

Il venait à peine d’arriver et donc ne comprenait pas de quoi je parlais.

D : De quoi ? Dit il les sourcils froncé d’incompréhension

M : Je disais que t’étais un dieu vivant et que personne ne t’arrivais à la cheville.

Il lève les yeux au ciel sachant pertinemment que je me fou totalement de sa gueule, mais rentre quand même dans mon jeu.

D : Que veux tu ? Je suis parfait j’y peux rien. Dit-il suivi d’un clin d’œil. 

M : Sinon tu fais quoi dans la vie ?

L : Je travaille dans une boutique de vêtement pas très loin de l’université.

M : Ah bon lequel ?

L : Le nom c’est « Authentic » .

M : Noooooon ! Tu rigole ? J’ai vu ce magasin hier en rentrant avec Tetsu, je comptais y passé demain.

L : Vraiment ? Bonne nouvelle pour nous alors.

M : Nous ?

Je le regarde intrigués par ce qu’il vient de dire et attends qu’il m’en dise plus.

L : Oui, je travaille avec mon frère aîné. Il gère la créations des vêtements, tandis que moi je gère la boutique. Une affaire familiale.

M : Mes félicitations ! C’est pas donné à tout le monde surtout aussi jeune.

L : C’est vrai que c’est assez rare de voir deux frère de 26 et 30 ans déjà patron. C’est ma petite fierté.

M : Et je te comprend. Ma fierté ce serai de pouvoir crée mon propre Dojo. Crée un lieux où les gamins pourront trouver un endroit ou se défouler, plutôt que faire leur connerie, Un endroit où les femmes auront des leçon de self défense, afin d’apprendre comment se défendre en cas de… Je peine à finir ma phrase au souvenir de cette soirée, de problème quelconque…

T : Et c’est tout à ton honneur ma boxeuse. Intervient t’il me sauvant la mise

Je regarde mon ami un sourire aux lèvres, Castiel concentré sur les musiciens ne nous écoutait pas, sûrement pas intéressait par la conversation.

L : T’as de l’expérience dans les sports de combat ? Demande t’il d’un ton que je perçois comme macho ( même si je ne pense pas que c’était son intention )

M : Et bien avec mes 12 années de pratique, j’espère que ça ira. Je ne pus m’empêcher de sourire de manière arrogante.

Castiel qui n’avait pas daigné sociabilisé avec nous depuis le début de la soirée, se tourne pour le coup vers nous et me regarde avec de la surprise dans son regard et peut être même de l’admiration ? Je ne sais pas, mais en tout cas il ma regarder bizarrement.

C : Ok, j’ai compris mec. Dit il en regardant Tetsuya

T : J’te l’avais dit, tu sais pas de quoi tu parle.

Je suis complètement perdu, ne comprenant pas du tout de quoi ils parlent, mais je ne m’en formalise pas vraiment. Les musiciens viennent de monter d’un cran et me donne envie de danser. Je décide donc de me lever pour aller au milieu de la foule mais avant ça je demande à Tetsu s’il veut m’accompagner, ce qu’il refusa.

T : Nan c’est mort ! J’sais pas danser.

M : Pff t’a pas trouver plus claqué comme excuse ? Ça marche pas avec moi ça. T'as deux jambes, deux pieds, un équilibre donc tu peux danser, allez rapplique.

Je le tire de force et m’avance vers la piste de danse en me déhanchant, Tetsuya sur mes talons, mal à l’aise. Je lui lâche la main une fois qu’on est au milieu de la foule et commence à me laisser entraîné par la musique, lui essaie tant bien que mal de faire ce qu’il peut et m’abandonne en peut de temps qu’il n’en faut pour le dire, sans avoir fait beaucoup d’effort, j’explose de rire en le regardant repartir vers le comptoir du bar. J’ondule du bassin au rythme de la musique en balançant mes bras au dessus de ma tête, les yeux fermer. J’adore danser, je pourrais le faire des heures et des heures sans en avoir marre. Si je n’avais pas était victime de ce qui c’est passer quand j’avais 12 ans, je me serrai sûrement tourner vers la danse, plutôt que les SDC. Mais voilà la vie te réserve toujours des surprises, bonne ou mauvaise.

Je jette un œil à la table où nous somme et mon regard rencontre celui de Castiel qui était déjà en train de me mater. Il me fixe intensément les yeux profondément ancrés aux miens, il me détaille de haut en bas pendant que mon bassin se balance sur la musique. Son regard m’électrise, ça à beau être un pauvre mec, il n’en reste pas moins sexy et totalement mon types, sous les néons tamisé, ça le rend encore plus attirant, lui donnant un air mystérieux. Je mords ma lèvre inférieure, commençant à ressentir une chaleur envahir tout mon corps (et c’est pas à cause de la danse) embarrassé de son regard qui me déshabille tout à coup, alors que quelque instant auparavant, il m’ignorait complètement. Que je sois là ou pas, c’était pareil. J’ai l’impression que son attitude à changer après avoir compris que j’étais pas une petite princesse fragile. C’est déjà ça, je dis pas que je vais lui pardonner son comportement minable, mais je vais faire un effort pour Tetsuya et Daiki. Si on doit se côtoyer, autant que ça se passe bien.

Je reviens m’asseoir au bar et fini mon verre cul sec.

L : Hé ben ! Sacré descente. Tu m’étonne de plus en plus.

C : Moi aussi… Dit il sur un ton amusé

Tiens, tiens, s’y je m’attendais à un compliment de sa part, enfin… s’en était un ? Je sais pas vraiment. J’essaie de lancer une conversation avec lui afin de faire descendre la pression qu’il y a entre nous.

M : Et sinon, les garçons m’ont dit que tu étudier dans notre fac ?

C : Ouais.

Ok… plus court que ça tu meurt.

M : Quel cursus ?

C : Musique.

Ok, il ne veut définitivement pas faire d’effort. Je souffle de mécontentement et décide de laisser tomber mais c’est à ce moment la qu’il poursuit la discussion.

C : Et toi ?

M : Cursus SUAPS. Répondis-je sur le même ton

Je vois de l’étonnement passer sur son visage avant de le voir hoché lentement la tête un rictus au coin des lèvres.

C : Hm, j’comprend mieux.

M : Tu comprend mieux quoi ?

C : Avec t’es douze ans d’expérience, et ton cursus, je comprend mieux ta décision d’ouvrir toi même ton dojo. Je suis… impressionné ? Il balance ça, la tête légèrement penché sur le coté, se demandant lui même si c’est le cas, avec un petit rictus provocateur. Connard.

M : Ah mais tu nous écoutait en fait. Lui dis-je avec un sourire narquois

C : Je sais faire deux choses à la fois miss. Il m’a sorti ça avec un regard en coin et un sourire suffisant.

Miss… Arrogant sur tout la ligne, j’avais jamais rencontré un type pareil, qui pouvais me mettre, autant, dans tout ces états contradictoire. Un instant, j’ai envie de le gifler, ensuite je le trouve sexy et possiblement sympa, puis ré-envie de le gifler et ainsi de suite, alors que je le connais que depuis quelques heures, c’est dingue !

M : Et toi Lysandre, c’est quoi ton rôle dans ton groupe ? T’es le guitariste ? Où le chanteur ? Ou peut être les deux ?

C : Non miss, le guitariste c’est moi.

Bon ben je crois que c’est le surnom qu’il à décidé de me donner. J’aime pas vraiment ce surnom quand sa sort de sa bouche, ça me donner l’impression que c’est du foutage de gueule, mais bon j’aurai pu avoir pire, je vais m’en contenter.

L : Appelle moi Lys’ si tu veux. Je suis le chanteur et j’écris la plupart des chansons et parfois avec Castiel.

M : Vous faites que du rock ?

T : Ça dépends, on joue surtout ce qui nous fait vibré, mais c’est principalement ça.

M : J’ai hâte de vous attendre jouer. Qui sais… vous m’inspirerez peut être.

C : T’inspirer ? Il arque un sourcil en ma direction.

M : Je compose moi même avec guitare.

C : De plus en plus intéressant… il sorti sa phrase dans un murmure imperceptible.

L : D’autres talents cachés ? Attend ! Nous déballe pas tout maintenant, garde en pour la suite ! Dit il en rigolant.

Je ris à sa remarque et baisse la tête légèrement gêné. Ça me fait toujours bizarre de recevoir un compliment d’une personne que je connais pas beaucoup. Je suis pas du genre timide quand je connais mais, si je connais pas, je suis un peu plus réservé, jusqu’à que j’en apprenne plus et si le courant passe, je me détend très rapidement.

Ma rencontre avec Matt à était l’enfer au début à cause de ça, enfin, j’abuse un peu en vrai quand je parle d’enfer car, c’est un amour, qu’on s’le dise et il ma tout de suite accueilli comme si on se connaissez depuis toujours. C’est surtout sont coté dragueur très présent dont j’avais du mal à m’habituer ; mais une fois que c’était le cas et qu’on s’est tout les deux éclaircit sur le fait qu’on pensait tout les deux, qu’il n’y aurait jamais rien entre lui est moi, c’est à ce moment là, que notre relation à évoluer. Je le considère comme un frère que je n’ai jamais eu, avec qui j’aurai pu faire les 400 coups. Je me vois comme ça grande sœur, toujours là pour lui remonter les bretelles quand lui et Daryl déconne grave alors qu’on à le même âge.

[ PDV Castiel :

Au début de la soirée, je m’étais vraiment tâté à partir après mettre reçu le verre pleine face, venu de nulle part, sans parler de notre échange qui à était pour le moins houleux. Cette meuf m’as monter en pression en deux temps trois mouvement. Mais plus la soirée passe et plus j’apprends qu’en réalité, elle est pas si pathétique que je le pensais, elle est même intéressante. J’ai donc décidé de rester. En plus les mecs assures ce soir, ils méritent d’avoir un public qui les écoutes. Si c’était moi sur scène c’est ce que j’aimerai.

Cette meuf faisais de la boxe et du Krav Maga depuis c’est 12 ans et elle avait réussi a trouver un job dans ce milieu pro, ce qui n’était pas donné à tout le monde, d’avoir la capacité de faire ce qu’on aime. Elle se bouge et se bat pour obtenir ce qu’elle veut. C’est impressionnant. En fait, elle est comme nous, on à tous ici à part Lys’, repris nos études afin de pouvoir vivre de ce qu’on aime faire.

Après, quand tu vois son corps, tu peux pas vraiment être étonnée d’apprendre qu’elle pratique. Une taille de guêpe sculpté à la perfection à mon goût, pas trop musclé, juste dessinée comme il faut. Je m’en suis rendu compte quand elle est parti ce défouler sur la piste de danse, mes yeux suivaient chacun de ses mouvement, détaillant son corps.

Elle possédée un visage fin, avec de petite fossette à tombé qui se creuse lorsque qu’elle sourit, un visage très mature qui lui donne parfois cet air de femme fatale mais qui est vite remplacer par son charme naturel qu’elle dégage. Elle est pas maquiller de fou et pourtant elle est rayonnante.

Par contre elle à un caractère… bon je peux pas vraiment parler, je suis pareil. En y repensant, elle avait raison (Rah putain qu’est ce que ça m’arrache la gueule de devoir dire ça) mais j’avoue que j’aurai pu m’excuser. J’aurai était à sa place, j’aurai sûrement réagit pareil. Comme la dit mon pote, maintenant on est quitte. Autant faire en sorte que tout se passe bien.

Fin PDV Castiel ]

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Voilà, je suis désolé pour le titre pour ce qui me suivent déjà mais j'ai eu une grosse inspi, du coup ce sera sur Castiel et Daiki, j’espère que vous allez aimez le passage de Castiel et leurs rencontre.

Alors oui, j'ai complètement changer les dialogues je trouver ça plus simple et ça me permettais d'avoir beaucoup de possibilité dans les interactions, du coup je vais continuez comme ça. Mais tenez moi au courant ! La biiiiise.