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Chapitre 2 : Le mythe de la caverne

Chapitre final

543 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 20/11/2025 19:37

Le mythe de la caverne


La chute lui coupa le souffle comme un poing invisible. Bruce glissa sur les pierres humides, heurta un rebord, puis bascula dans le vide. Son corps trop léger pour résister au choc rebondit sur une saillie et s’écrasa enfin dans une obscurité compacte, qui semblait coller à la peau. D'un craquement sec, un choc brutal au genou lui fit jaillir des larmes malgré lui. Son cri resta suspendu, avalé par l’écho qui se répercutait dans la caverne… maigre consolation que de s’entendre soi-même exister.

La douleur pulsa aussitôt, épaisse et sourde, comme si un marteau battait sous sa peau. Il essaya de se relever : son genou céda et il retomba, les paumes griffées par le gravier humide.

L’air sentait la terre trempée, une odeur froide de racines écrasées. La poussière en suspension lui emplissait la gorge et chaque inspiration ramenait dans sa bouche un goût de métal, comme si la grotte respirait par elle-même un souffle ferrugineux et hostile. Ses doigts cherchèrent un autre appui et ne rencontrèrent qu’une roche glaciale, striée comme une écorce.

La caverne le dominait, immense, étrangère, et lui n’était qu’un enfant pris au piège.

Un battement d’ailes fendit soudain l’air — sec, tranchant comme une feuille de papier qu’on déchire. Puis un autre, puis dix, jusqu’à ce que l’espace se mette à bruire d’un tourbillon furieux. Le plafond se détacha de l’ombre, explosant en un nuage noir. Des corps, minuscules mais innombrables, tournoyaient au-dessus de lui et descendirent en piqué. Des chauves-souris hurlantes effleurant ses cheveux, frappant ses épaules comme des coups de corde. L'une lui heurta la tempe, un caillou lancé en plein vol. Une autre lui griffa la joue et le sang chaud coula le long de sa peau déjà glacée.

Bruce voulut se recroqueviller mais une jambe refusait de répondre. Les cris stridents des bêtes vrillaient ses oreilles, comme si des centaines de fenêtres se brisaient à la fois. Il ouvrit la bouche pour hurler. Aucun son ne sortit. À la place, il sentit une patte griffue sur ses lèvres, comme si l’une des créatures cherchait à entrer.

Alors, derrière le vacarme ailé, monta un autre son. Un froissement plus lourd et plus mesuré qui n’appartenait ni à l’air, ni à la pierre.

Un pas.

Quelqu’un approchait.




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Note de l'auteur


Je n'ai pas écrit ce texte et celles et ceux qui ont un peu l'habitude de me lire le sauront tout de suite.


C'est ChatGPT qui l'a produit.

Sur ce texte 99.8% artificiel, je n'ai fait qu'affiner la ponctuation. Il a été réécrit une fois (toujours pas par moi) et j'ai au final mixé les deux versions dont certains paragraphes étaient plus réussis.

En ces temps où j'entends dire beaucoup de choses sur les IA (il y a une discussion sur le Forum à ce sujet intitulée "L'IA va-t-elle remplacer les écrivains), j'ai décidé que ma voie serait celle de l'expérimentation concrète -- que je préfère au brassage d'opinions semées au vent par les réseaux sociaux.

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