Arrancar

Chapitre 12 : Le roi du Hueco Mundo

3313 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 12/05/2020 14:44

Auparavant, dans l'ancien Las Noches

Barragan Luisenbarn, le roi du Hueco Mundo, est assis sur son trône, la joue posée sur son poing gauche, accoudé sur son trône, et regarde un groupe de hollows à son service danser pendant qu'un autre donne le rythme avec des percussions. Le roi soupire.

- Ah, comme je m'ennuie...

C'est un squelette vêtu d'un grand manteau de fourrure noir. Il porte une somptueuse couronne sur la tête, une énorme chaîne avec un gros médaillon autour du cou et des bagues et des bracelets entourent ses doigts et ses poignets.

Un premier serviteur, un squelette nu, lui apporte quelque chose à boire.

- Non, non.

Un deuxième lui tend alors une corbeille de fruits.

- Préférez-vous manger quelque chose, sire ?

- Non, je n'ai pas faim.

Barragan contemple ses serviteurs squelettes.

- À quoi bon vous avoir créé, pantins sans âme servant à répondre à ma volonté, si vous ne faîtes rien lorsque je ne sais pas ce que je veux...

- Peut-être qu'un petit peu d'action vous ravirait. Souhaiteriez-vous assister à un combat ?

- Hm... Éventuellement.

C'est alors que Barragan vit ses sujets se retourner et s'écarter pour laisser passer un shinigami qui arrivait devant lui, escorté par la sentinelle qui gardait l'entrée du palais. Les hollows qui dansaient s'en allèrent avant que les musicien ne cessent de jouer. Barragan se redressa sur son siège.

- Garkamelle ! Toi, mon plus grand soldat, je t'ai chargé de surveiller l'entrée de mon palais et là, tu m'amènes un visiteur sans même me prévenir ?!

Le géant baissa la tête.

- Pardonnez-moi.

C'est tout ce qu'il put répondre.

- Ne lui jetez pas la pierre, ô grand roi, lui dit l'homme en faisant une révérence. La faute n'incombe pas à votre serviteur mais à moi. Je sais me montrer très persuasif.

Le monarque baissa la tête et s'adressa alors au shinigami qui se trouvait en bas des marches de son trône.

- Qui es-tu ?

- Je me nomme Sôsuke Aizen, seigneur, et je souhaiterai vous montrer quelque chose.

Il sortit son katana.

- Éclate, Kyôkasuigetsu !

Ensuite, il se produisit une lumière puis, plus rien.

- Qu'est-ce ?

- Une simple précaution, répondit-il en rangeant son arme.

- Hm...

Barragan recula dans son siège et porta ses doigts à sa joue.

- Et qu'es-tu donc, Sôsuke Aizen ?

- Je suis un shinigami.

-Ha ! Ha ha ha ! Un shinigami !

Puis tous les autres hollows se mirent à rire. Le roi s'esclaffa tellement que s'il avait eu des yeux, il aurait probablement pleuré.

- Je croyais que plus aucun de vos semblables n'avait remis les pieds au Hueco Mundo depuis la dissolution de votre bataillon établi ici.

- Il faut croire que les temps changent.

- Et que viens-tu donc faire dans mon palais, Sôsuke Aizen ?

Aizen regarda autour de lui.

- Tu appelles cela un palais ? Ta demeure n'a ni murs ni plafond.

- Je suis le roi ! Le roi non pas d'une nation mais d'un monde tout entier ! Ma dynastie a vécu un temps dans un palais de pierre mais je me suis depuis longtemps établi ici car j'estime qu'un monarque tel que moi ne devrait pas avoir de limites ! Mes murs sont l'horizon ! Le ciel est mon plafond ! Ce monde est ma demeure. Il n'y a nulle part au Hueco Mundo où je ne sois pas chez moi.

- Si tu le dis.

- Et dis-moi, Sôsuke Aizen, qu'est-ce qui t'amène ? Tu ne vas quand-même pas me dire que tu as fait tout ce trajet jusqu'ici uniquement pour goûter au plaisir de nager au milieu des requins, si ?

- Non en effet. Je suis venu te rencontrer, majesté.

- Oh, tu es venu me rencontrer ?

Barragan joint ses mains, s'accoude sur ses genoux puis posent son menton sur ses doigts.

- Et pour quelle raison viens-tu me rendre visite ?

- Car j'aimerais te faire part d'un rêve, Barragan.

- Un rêve, dis-tu ? Et de quel rêve, dis-moi ?

- D'un rêve de grandeur !

Dans le nouveau palais, au cœur de l'arène

Le roi n'est pas aussi puissant qu'Hallibel mais il est vif. Mon sixième sens m'avertis et j'esquive toutes ses attaques. Il fait tournoyer sa hallebarde et l'abat sur le sol, tranchant ce qui est devant lui, ou il porte une estoque, auquel cas son arme est alors entouré d'une espèce de tourbillon qui poursuit sa trajectoire à la fin du coup et transperce ce qui est devant lui. J'esquive les coups et recule.

- Roi ! appelai-je, Je ne veux pas me battre contre toi. Ouvre les yeux et vois combien tout ceci est futile !

Il tournoie et abat son arme comme pour me décapiter. J'évite en me baissant.

- Comme tu veux.

Je fonce sur lui. Il recule en bondissant en arrière mais je réitère mon assaut. Il utilise son arme mais je traverse sa défense et le frappe en plein milieu de la poitrine avec ma paume. Il est projeté plusieurs mètres en arrière. Il glisse sur ses pieds, s'arrête puis caresse l'endroit où je l'ai atteins. C'est alors qu'un énorme ver de sable surgit à sa droite et fond sur lui.

Les desnudos ne s'attaqueront pas au roi. Ce dernier semble régner par droit divin, il exerce donc une autorité à laquelle les hollows semblent se soumettre naturellement. Par conséquent, il me sera plus difficile de les convaincre d'attaquer cette tête couronnée plutôt que Yammy et ce, aussi difficile à croire que cela puisse-t-être. C'est pour cela alors que je fais appel à un ver de sable. Ces saloperies ne sont pas de vrais hollows. Je peux encore les contrôler !

Le monstre plonge en ouvrant grand sa gueule.

- Régale-toi, mon grand !

Autrefois

- Un rêve de grandeur, tu dis ?

- Oui, une grandeur dont je peux te faire profiter.

Cette fois, le roi est surpris.

- Tu penses que je pourrais aspirer à une quelconque grandeur que tu pourrais m'apporter ?

Aizen ramasse une poignée de sable qu'il lève avant de la laisser lentement couler de son poing.

- N'as-tu pas l'impression de ne régner que sur un vulgaire bac à sable ?

- Pardon ?

- Ton monde est mort et stérile. Tu ne règnes sur rien qui ne soit pas vide, ou creux comme ce désert ! Et je peux y remédier !

Barragan se redresse.

- J'ai des projets et surtout, je nourris de grandes ambitions. J'ai l'intention de refaire cette réalité comme elle devrait être et pour cela, je vais avoir avoir besoin de ta collaboration. Laisse-moi te sauver de l'ennuie en t'emmenant avec moi dans ma croisade !

Le souverain est stupéfait.

- Joins-toi à moi, Barragan Luisenbarn, et je rendrais ton monde plus beau et plus glorieux qu'il ne l'a jamais été !

Dans l'arène

Le roi esquive l'attaque mais le ver le poursuit. Les bandages de son bras droit se détachent alors et révèlent un membre blanc comme de la porcelaine. Le monarque fait demi-tour, passe sous la gueule du monstre, lève le bras, pose sa main contre la peau de la créature et là, le ver se change progressivement en pierre en rugissant, puis il se brise en s'écroulant.

- « Qu'est-ce que ça veut dire ?! »

L'énergie de son bras droit est totalement différente de toutes celles que j'ai pu identifier jusqu'à présent. Si je devais la comparer à une autre, je dirais alors celle d'Ulquiorra, qui ressemble elle aussi à de l'anti-vie.

Le souverain fond ensuite sur moi. J'appelle un autre vers de sable qui sort de terre devant nous et plonge sur lui. Mon adversaire lui porte un coup de hallebarde verticale allant de bas en haut, ce qui le fait se redresser puis, d'un revers de la main, il brise mon ver en deux après avoir changé en pierre la zone entourant la partie du corps du ver qu'il avait touché. Je recule en tirant un celo que sa main droite fait disparaître.

J'esquive les coups suivants pendant que je commence à comprendre : tout ce que cette main blanche touche meurt, et cela s'applique aussi aux attaques constituées d'énergie spirituelle.

- « Il me faut donc quelque chose qui ne vieillisse pas, comme... »

Je repense au missile aqueux d'Hallibel.

- « Bordel de merde ! Si seulement j'avais pu l'économiser pour maintenant ! L'eau, ça ne meurt pas ! »

Quoique, je reconnaît finalement qu'avec ses pouvoirs, il aurait probablement put transformer ce missile aqueux en pétard mouillé.

Barragan me lance maintenant les bandelettes extensibles qui enroulaient son bras, qu'il se révèle contrôler comme une extension de lui-même, et je les arrête en les enroulant autour de mon bras gauche au lieu de les laisser m'attraper. C'est alors qu'il me tire d'un coup sec, me décollant du sol et me faisant plonger sur lui, la main droite tendu prête à m'attraper le visage.

Lors de l'entretien

Barragan se leva de son siège, furieux.

- Tu oses m'insulter ?!

Aizen eu un léger ricanement.

- JE suis le roi du Hueco Mundo ! Ici, je suis Dieu ! Il n'y a rien que je ne pourrais souhaiter avoir, parce que je suis déjà combler ! Il n'y a rien que je ne voudrais changer car mon monde est déjà parfait !

Pendant l'affrontement

Je projette de l'énergie spirituelle depuis la plante de mes pieds, ce qui me propulse par dessus l'arrancar qui referme alors sa main dans le vide, très surpris. Une fois plusieurs mètre derrière lui, je le projette aussi en le renversant par dessus mon épaule mais moi, je ne le tire pas vers moi mais l'écrase sur le sol !

Mon attaque est un succès. Sans lâcher les bandelettes, je m'en sers ensuite pour le faire tournoyer et le lance comme un marteau contre la paroi du dôme où il s'écrase, avant de tomber sur le sol. Le public est choqué.

Avant

Debout, Barragan serre les accoudoirs de son trône au point de les briser. Il s'avance d'un pas.

- Tu oses me parler de grandeur à moi, la grandeur incarnée ?! Tu ne distingues plus ton rêve de la réalité, mon pauvre garçon ! Jamais le souverain que je suis ne se mettra à la botte d'un autre, en particulier de son ennemi naturel !

Aizen cesse de sourire. Visiblement, le roi n'a pas la réaction qu'il recherchait.

- Tes projets de grandeur t'ont aveuglé ! Tu as voulu voler trop haut et tu t'es brûlé les ailes ! Jamais je ne te laisserai toucher à ce que j'aime et ce que j'incarne ! Jamais !

Au combat

Barragan se relève. Pendant que je viens à sa rencontre.

- Franchement : je viens de montrer à tous les arrancars que je suis le plus fort et toi, tu tentes quand-même ta chance ?

Il ne dit rien. Son masque en papier est déchiré.

- Tu devrais lâcher l'affaire tant que tu le peux encore, papy. Ces trucs-là ce n'est plus de ton âge.

L'élastique ne retient plus rien et le masque tombe, complètement déchiré en deux, me permettant enfin de voir le visage du souverain.

- Hein ?!

Au moment de la rencontre

Les hollows se tiennent prêt à attaquer. Barragan lève haut la main puis hurle...

- Je vous ordonne de le...

C'est alors qu'il fut interrompu par un jeune vasto lorde qui vint poser sa main sur son épaule.

- Père ! s'écria-t-il avant de porter à Aizen un regard souriant et empli d'intérêt, Écoutons ce qu'il a à nous dire.

Dans l'arène

- « Un gamin ?! »

Le jeune homme semble avoir à peine terminé l'adolescence. Ses traits son fins, il a l'air arrogant et sous la couronne, ses cheveux sont noirs, mi-longs et parsemés de mèches blanches.

- Eh bien quoi ? Je ne suis pas celui auquel tu t'attendais ? me demande-t-il en me narguant.

Moghur éclate de rire.

- Tu t'es bien fait avoir, vasto lorde ! Barragan est l'ancien roi, aujourd'hui décédé ! Tu as devant toi son successeur ! Je te présente le nouveau souverain du Hueco Mundo, j'ai nommé... Apotéias Tofem Luisenbarn !!!

Lors de la rencontre

Barragan dégagea son épaule de sous la main de son jeune fils.

- Que fais-tu, Tofem ?!

- Je t'empêche d'agir trop vite. Tu pourrais faire une erreur.

Le roi attrape le poignet de son fils et le lève. Aizen sourit.

- Je t'interdis d'intervenir !

Puis il se retourne vers le shinigami.

- Quant à toi, Aizen, tu...

Disparu.

- Retrouvez-le ! ordonna Barragan aux hollows, Et réglez-lui son compte !

Puis, il se tourna vers le prince.

- Je suis ton roi et ton père. Tu me dois le respect !

Apotéias dégagea sa main.

- Veuillez m'excuser, mon cher père. Je ne faisais qu'agir dans votre intérêt.

- Eh bien ce n'est pas ce que j'attends de toi !

- Dans ce cas, pourquoi suis-je ici ?

- Je vais plutôt te dire pourquoi tu n'es pas là : pour contester mon autorité devant mes serviteurs et toute mon armée !

- Une armée, dites-vous ? Cette racaille complètement inutile ?

Barragan se calma.

- Je n'ai que faire de tes opinions, jeune prince. Être mon fils ne te dispense pas de sanctions disciplinaires ! Défi-moi encore une seule fois comme tu l'as fait et je t'exclus de ma cour !

Le jeune vasto lorde soupira puis salua le vieux monarque avant de se retirer.

Dans l'arène

- Comment se fait-il que tu...

- J'ai su saisir une opportunité.

Auparavant, ailleurs dans le Hueco Mundo

Aizen attendait près d'un rocher lorsqu'il vit Apotéias arriver, escorter par deux énormes adjuchas pur-sang.

- Tu es venu.

- Tu voulais me voir, alors me voilà.

- Sous bonne garde, à ce que je vois.

- Simple précaution.

Après cet échange de politesses, les deux interlocuteurs se dévisagèrent. Aizen repris la parole.

- Tu n'as pas été du même avis que ton père lors de la rencontre. Puis-je savoir pourquoi ?

- Eh bien vois-tu Aizen, je t'ai trouvé très pertinent et moi aussi, je n'ai que du mépris pour ce tas de sable qui me sert de monde stérile...

- Ah oui ?

- J'ai moi aussi des projets de gloire et de grandeur. Je veux bâtir et gouverner, cependant, mon père est passéiste et faible ! C'est un fossile ! Un vieillard fatigué et dépassé. J'ai de plus grandes ambitions qu'il n'en a jamais eu et je ne pourrai jamais les mener à bien tant que je demeurerais dans l'ombre de cette antiquité !

- Intéressant. C'est donc là que j'interviens ?

- Exactement ! Tu sembles être l'opportunité que j'attendais. Alors maintenant, dis-moi : quelles sont tes projets ?

- J'ai l'intention de détruire Soul Society pour atteindre la chambre du roi des esprits, le tuer, prendre sa place et refaire le monde comme il se doit.

- Pas mal. Et pourquoi as-tu besoin de moi ?

- Il me faut une armée.

- Et j'en ai une.

- Exactement. Qui de mieux que le roi du Hueco Mundo pour fournir une armée ?

- Mais dis-moi : maintenant que je connais ton plan et qu'il m'intéresse, en quoi es-tu indispensable ? Après tout, j'ai tout ce qu'il faut pour mener ce projet à bien à ta place.

- Non, car tu échoueras comme Black avant toi ?

- Qui ça ?

- Un habitant du Hueco Mundo qui a pris d'assaut Soul Society avec une armée de hollows et qui a échoué. Ce qui me rend indispensable, ce sont mes connaissances : je sais tout de Soul Society, que ce soit les lieux importants, les stratégies ou les protocoles militaires. Moi seul peux faire pencher la balance.

- Pourquoi pas. Mais je ne comprends pas vraiment comment cela fonctionne : j'ai l'impression de tout fournir et de te laisser tout récolter.

- Je vais t'expliquer avec une métaphore : lorsque quelqu'un a besoin d'argent pour mener un projet à bien, il va voir une banque pour qu'elle lui prête les fonds, en échange d'une part du butin.

- Je suis donc la banque et mes guerriers sont alors l'argent dont tu as besoin ?

- C'est ça.

- Et pourquoi est-ce que la banque accepte d'effectuer le prêt ?

- Parce que celui qui vient la voir a un plan d'action solide et de quoi rendre tout cela concret, dit Aizen en faisant apparaître une perle noire.

- Ah, répondit le prince avec beaucoup d'intérêt.

Le shinigami désigna ensuite les adjuchas.

- Puis-je ?

- Je t'en prie, ils sont là pour ça.

Aizen s'avança en levant la tête, regarda le premier hollow, puis le deuxième, recommença, puis tendis son doigt vers celui qu'il avait choisis et lui fit signe d'approcher.

- Tu permets ?

Le monstre regarda son prince avec hésitation. Apotéias lui fit signe d'accéder à la requête du shinigami. Le hollow se baissa alors jusqu'à la hauteur d'Aizen qui tendit la main. L'adjuchas sentit son masque se figer et lui faire mal. L'homme poussa un cri, tira son bras vers lui, arrachant son masque au hollow ce qui le fit éclater.

- Tu as tué mon garde du corps ? s'étonna le prince.

- Non, je l'ai amélioré !

C'est alors qu'au milieu de la masse rouge et gluante qui commençait déjà à disparaître, un homme se redressa et constata sa nouvelle apparence.

- Vois, mon ami. Contemple l'avenir.

- Qu'est-ce que c'est ?

- Quand on arrache son masque à un hollow, il évolue de sorte à ce qu'il obtienne les même pouvoirs que les shinigamis tout en gagnant en puissance et cet être parfait est appelé arrancar.

- C'est... C'est magnifique !

- Je savais que cela te plairait.

Apotéias s'approcha de son guerrier fraîchement évolué.

- Majesté...

- Comment te sens-tu ?

- Je me sens... Puissant ! Une énergie nouvelle coule dans mes veines et c'est de plus en plus intense !

L'héritier au trône se tourne vers Aizen.

- Comment savoir si ce gain de puissance est significatif ?

- Étaient-ils de force égale ?

Le prince sourit.

- Mon cher soldat, tu vas avoir l'opportunité de tester tes nouveaux pouvoirs.

Il se tourna ensuite vers l'adjuchas.

- Merci pour tes bons et loyaux services.

- Tout le plaisir est pour moi, majesté. C'est un honneur de vous...

- Arrancar ! Tue-le !

- Quoi ?! s'exclama le hollow.

- Avec plaisir, sire ! répondis le guerrier avant de bondir

Plus tard, l'arrancar reprit forme humaine.

- Cette transformation avec l'arme est vraiment formidable ! dit-il.

Apotéias était comblé.

- Parfait... Parfait !

Aizen se tourna vers lui.

- Faisons-nous affaire, maintenant ?

Le prince lui serra la main.

- Ravi de l'apprendre, partenaire.

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