chasseurs de dragons

Chasseurs de dragons :

Chapitre 14 :

Le plan :

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Liang, Alistair et Hector continuèrent de marche, sans prononcer un mot. Hector n’arrêtait pas de se retourner dans l'espoir de voir Gwizdo courir vers eux, mais il du se rendre compte que Gwizdo ne reviendrait pas. Liang le regarder avec pitié, il était dans le même état que lui. Mais d'un autre coté, il était en colère, en colère contre lui même. Encore une fois, il ne l'avait pas assez protégé, et maintenant... Il venait à peine de le retrouver, de refaire des liens entre eux, et voilà que Granoff gâche tout à nouveau. Au bout de plusieurs minutes, ils s’arrêtèrent pour se reposer. Alistair était partit chercher du bois pour faire en feu, et Liang et Hector restèrent là, à ne pas prononcer un mot. Mais, l'un de brisa se silence interminable.

- Je suis désolé... dit Hector.

Liang le regarda, perplexe.

- Désolé... pour tout. Si je n'avais pas était là... si Mimy et moi, on était par venu dans la Saint George par improviste, Gwizdo serrait...

En prononcent son nom, Hector fondu en larmes. Liang ne supportait pas de le voir comme sa et s'approcha de lui. Il lui mit une main sur l'épaule d'un air rassurant :

- Tu ne doit pas t'en vouloir, Hector. Les choses ne se sont pas déroulé comme in l'avait prévu, mais on y peut rien. C'est sur Granoff qu'il faut rejeter la faute, pas sur toi.

- Mais... je...

- Arréte de pleurer. On le retrouvera, sain et sauf. Je te le promet.

- C'est... vrai ?

- Oui, bien sur.

- ... merci.

- Il n'y a pas de...

- Merci Lian-chu.

Sur ces mots, Liang s’arrêta presque de respirer. Il fixa Hector, l'air extrêmement choqué :

- Comment... tu...

- Comment je l'ai deviné ? C'était facile. Ce ton rassurant, cette silhouette, il n'y à que toi qui l'ai.

Au début, Hector paraissait heureux de le retrouver, mais son expression devint vite sombre :

- Qu'a tu fais pendant ces deux années ?

- Et bien, je...

- Tu te rend au moins compte de se que tu a fait ?! De se que tu NOUS a fait ?!

- Je suis désolé, je...

- Des excuses n'y changeront rien, Lian-chu ! Tu te rend compte de se que tu a fait à Gwizdo ?! Es que tu sais au moins se que LUI a endurer ? Il a souffert pendant DEUX ans après ta disparition !! Il n'a jamais accepté le deuil ! JAMAIS !!!

Lian-chu resta là, à le regarder d'un air triste, presque les larmes aux yeux :

- Enlève cette capuche ridicule, aussi. Sa ne sert plus à rien maintenant.

Lian-chu s’exécuta et enleva sa capuche. Son visage était pareil que la dernière fois mais maintenant, plusieurs cicatrices était présente. Hector en resta sans voix :

- Mais... que t'ai t'il arrivé ?

- Quand je suis tombé, j'ai atterrit dans un arbre et heurté toute les branches. J'était ouvert de partout. Je serait certainement mort si Mimy ne m'avait pas trouver.

- C'est... pour sa que tu n'est pas revenu ?

- Entre autre, oui. Mais aussi parce-que...

Il ne put terminer sa phrase, ils entendirent plusieurs morceaux de bois tombé à terre. Alistair avait tout entendu !

- Ali ! dit Hector.

- Alors mes doute ce confirme... tu est bien Lian-chu.

Celui-ci le regarda d'un air désolé, car il savait très bien se qu'il pensait.

- Si Hector ne t'avait pas fais la moral, je t'aurais très certainement fait passer un sale quart d'heure !

- Alistair, je suis navré ! Pour tout se qui c'est passer, et pour ne pas avoir était là pour vous soutenir ! Mais je ne pouvais pas... je ne pouvais pas revenir.

- Pourquoi ?

- Je... me sentait coupable... coupable de ne pas vous avoir protégé, toi et Gwizdo...

Quelque part, dans un ancien entrepôt :

Je me suis réveiller dans un endroit sombre, où j'était enchaîner. Je ne distinguer presque rien mais je pouvais bien voir que je me trouvé dans une prison. Je voulut bouger, mais une horrible douleur m'envahit. Je regardais ma jambe, et elle était encore en sang ! Ces ordures n'avaient même pas prit le temps de nettoyer la plaie quand je me suis évanoui. J'essayer de me détacher, mais rien à faire, les chaines était trop dur. Puis, alors que je resté là à rien faire, je repensait à Hector. Il avait eut l'air si triste quand je l'ai vu partir. J'avais bien vu qu'il retenait ses larmes. Je le connais bien... très bien même. Sans le vouloir, je me mit à pleurer. Je ne voulais pas le perdre ! Pas encore ! Javais déjà beaucoup trop souffert, alors hors de question que je le perde aussi ! Je repenser aussi à Roger, à Zaza, à Alistair, à Jeanlline, à Mimy... à Lian-chu.

- Je ne veux pas partir.

Je ne m'était même pas rendu compte que j'avais prononcer cette phrase. Voilà que je parle tout seul, maintenant ! Mais mes pensées disparurent presque aussitôt, quelqu'un venait d'ouvrir ma cellule :

- Alors, en forme ?

C'était Granoff. Je m'en douter. Je ne lui répondit pas mais je lui lancé en regard noir.

- Wahou, ce que j'ai peur ! Je ne t'avais jamais vu avec un regard aussi noir, tu t’entraîne ?

Aucune réponse :

- Tu ne veux pas parler, hein ? Tu pense à ton gringalet de frère ?

- La ferme...

- Ah ! Tu a retrouver ta langue ! Même si c'est pour me dire sa...

- Que se que tu me veux ?

- A toi ? Et bien... te tué serait une bonne idée.

- Alors pourquoi tu ne le fait pas ?

- Très bonne question ! J'attendais que tu me la pose. Alors, vois tu, si je te tue maintenant, tes amis risque d’être légèrement en colère. Se qui est très mauvais pour moi car sinon je vais les avoir dans mes pattes et je ne l'ai veux pas.

- Alors... comment tu compte faire ?

- ... tu le saura bientôt... dans ton passé !

Je suis resté un moment comme sa, sans bougé. Que voulu t'il dire par là ?

- Je vais te donner un indice.

Il s’approcha de moi et ce qu'il me chuchota à l'oreille me sidéra :

- Le voyage dans le temps, tu connais ?