L'enquête.

Chapitre 2 : Réflexion et intervention.

682 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 26/08/2015 14:53

L se mit à réfléchir:            -Voyons... 5 lettres... des initiales ?Le chauffeur apporta un macaron à L.Ce dernier le remercia.Mello proposa :             - On ne peut tous simplement pas ouvrir chaque porte ?Near lui répondit immédiatement:             -Cela serait beaucoup trop long.Soudain L dit son hypothèse :             - Je pense que ces lettres sont des initiales de mots dans une langue étrangère.              A pour : Attention.              V pour : Victoire.              R pour : Retour.              P pour : Perdre.              Et S pour : Sortie.Soichiro Yagami reconnut immédiatement la langue.             - Du français ? Mais Ryuzaki, qu'est-ce qui te fais dire ça ?             - La marque de la voiture du criminel. C'est une marque française. Répondit L.             - D'accord, mais pour les mots, comment peut-tu être sur que ce sont cela ? Demanda Soichiro.            - Je ne suis pas sûr. Répondit L.

Matsuda lui demanda étonné :            -Hein ? Tu as dit ces mots au hasard ?            - Non pas par hasard. Disons que je suis sur que ce soit ces mots à 5 %. Soupira L.

- Et toi Near ? demanda Matsuda.

- Je dirais 4 %. Dit Near.

- Et moi 3%. Lança Mello.

- Vous allez arrêter vos ânerie, c’est celui qui sera le moins sur de ce qu’il dit qui gagnera ? hurla Aizawa

-  Allons, allons, du calme. Cherchons plutôt derrière quelle porte il faut aller. Répliqua M. Soichiro.

L et Near regardèrent chacune des portes suivit d'une interminable moment de silence avant de dire en même temps :

- C’est la porte P !Soichiro demanda L de lui expliquer sa réponse.

Light expliqua à la place de L :

- Car la marque de la voiture du criminel était une Peugeot.

-Hein ? S'exclama AIzawa.

- Bien, maintenant ouvrons cette porte ! S'enjoua M.Soichiro

-Attendez je suis le seul à trouver cette réponse complétement hasardeuse ? Dit Aizawa.

Personnes ne préta attention à la remarque d'Aizawa et Ils s’approchèrent tous de la porte du garage et tentèrent de l’ouvrir. Elle s’ouvra sans résistance.

Soichiro, Aizawa, Matsuda et Mello sortirent leurs armes.

En entrant, ils virent un homme, entrain de viser avec son pistolet une porte et de crier :

      - Sort de là !

Matsuda pointa son arme sur lui et hurla :

            - Pose cette arme !

L’homme se tourna vers la police et leur dit :

            - Attendez, vous ne comprenez pas, j’essaie d’arrêter un criminel. 

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