Demain nous appartient, la LOVING FICTION

Chapitre 14 : Chapitre 14 de la Loving Fiction

1310 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 04/02/2020 15:07

Chapitre 14 :

[Dans le tête de Samuel]

*Il était déjà 9h ce matin quand je me suis levé, Leïla n'était plus dans le lit je me suis dit qu'elle avait préparé le petit déjeuner. Je me suis levé et j'ai enfilé un T-shirt pour ne pas être torse-nu. Quand je suis arrivé dans la cuisine elle n'avait pas l'air bien, elle était blanche et pliée en deux.*

Samuel : Ça va pas chérie ?

Leïla : (répondant avec bien du mal) Ouff... si... si... ça va.

Samuel : Leïla arrête tu m'as dit qu'on se disait tout.

Leïla : J'ai horriblement mal au bas du dos et au ventre, je sais pas ce que j'ai.

[Je savais bien que Leïla ne se plaignait jamais pour rien et qu'elle avait vraiment mal, je m'inquiétais.]

Samuel : Depuis quand ?

Leïla : Ce matin tôt, c'est pour ça que je suis déjà levée.

Samuel : On va à l'hôpital je veux vérifié des choses.

Leïla : Mais non... pas la peine ça... aller. Ah put*n !

Samuel : Tu discutes pas et tu viens ! Je vais m'habiller, je me dépêche.

Leïla : Je t'ai dis non Samuel, ça va passer.

Samuel : Arrête je vois bien que ça va ne vas pas et ça devrait déjà être passé depuis ce matin. C'est pas normal que tu es mal comme ça.

Leïla : Samuel, j'ai peur de faire une fosse couche, tu sais que ça pourrai être ça, ça sert à rien d'aller à l'hopital, personne n'es au courrant et je veux pas qu'il sache ça.

Samuel : Y a pas de raison apparente pour que tu en fasses une, il faut qu'on y aille, je previendrais mon père et ça restera entre mon père, Marriane, toi et moi.

Leïla : Tu sais bien que je suis plus toute jeune. Et je préfère pas que ton père soit au courrant, j'ai pas passé le cap des 3 mois, il ne faut pas qu'il se réjouisse pour rien.

Samuel : Tu le connais, il ne va pas se réjouir. Et je veux pas que tu restes comme ça. Ça me fait mal de te voir souffrir. Je vais m'habiller on verra après.

[Je savais bien que Leïla ne voudrait pas y aller mais je préfèrais être sur, je voulais savoir si quelque chose n'allait pas. Il fallait que je me dépêche de m'habiller]

(Samuel était sorti de la salle de bain, il s'était habiller en 10mn, même pas. Mais en sortant il vu Leïla allongée sur la canapé toujours plié en 2 et en larmes, elle avait tellement mal.)

Samuel : (Qui courru jusqu'à elle)

Leïla, il faut y aller je te laisse pas comme ça, on y va et tu ne dis pas non.

(Leïla avait tellement mal qu'elle commença à tourner de l'oeil, elle ne savait plus parler. Samuel s'asseya sur le canapé de façon à ce que Leïla mette sa tête sur son épaule, il était tellement inquiêt)

Samuel : Chérie et chérie, reste avec moi, on va y aller je vais te porter jusque là voiture ok ?

Leïla : (Qui commençais à reprendre connaissance) Oui... Je... veux pas que ... tu t'inquiètes...ça... ça...va aller.

(Samuel la porta dans la voiture, alla chercher ses papiers et ils partirent à toute vitesse pour l'hopital.)

[Je me demande bien comment je vais pouvoir lui annoncer que Leïla est enceinte, tant pis, ce n'était pas le principal, je voulais surtout que Leïla et le bébé se porte bien et qu'elle arrête de souffrir comme ça.

Une fois arrivé, Leïla m'assura qu'elle pouvait marcher, mais j'étais sûr que c'était pour éveiller le moins de soupçons possible.]

Leïla : Tu vas lui dire comment à ton père ?

Samuel : (tellement inquiète qu'il demanda pouruqoi) De quoi?

Leïla : Ba Samuel... (Elle baisse le ton de sa voix car ils arrivaient dans le hall de l'hopital) que je suis enceinte.

Samuel : Pense pas à ça, je me débrouillerai.

Leïla : Ok...

(Ils arrivèrent dans le bureau de Marriane, par chance Renaud était là, ils devraient pas se répéter sur le pourquoi de leur venu prématuré)

Marriane :(surpris de les voirs) Ba vous commencez à pas 12h aujourd'hui ?

Samuel : Papa il faut que je te dise...

Renaud: quoi Samuel, on bosse la ! (Remarquant que Leïla n'était pas bien Et qu'elle venait de prendre appuie sur Samuel)

Leïla ça ne vas pas ?

Samuel : Justement... Leïla, elle est enceinte !

(A ce moment là tête de Renaud se décomposa)

S'il te plait papa, je te demande pas de nous jugez ou de donnez ton avis pour l'instant mais juste de nous aider.

Marianne : Que ce passe-t-il ?

Samuel : Depuis ce matin leila est tordue de douleur, elle a même fais un petit malaise, elle ne voulait pas venir au début mais je l'ai obligé.

Renaud : Tu ... enfin... vous avez bien fais.

Samuel : Il faut absolument lui faire passer des examens.

Marriane : J'appelle le gynécologue qui est là, c'est le docteur Combles et je lui dit de venir tout de suite. Allongé vous leila.

(Samuel l'aida à s'allonger et à respirer normalement, il était là pour elle, il lui tenait la main et sa présence faisait du bien à la femme qu'il aimait.

Le gynécologue arriva rapidement pour faire passer toute sorte d'examens à l'infirmière. Samuel resta avec elle pour certains mais il ne pouvait pas toujours. Une fois les examens fini, ils attendaient dans le bureau de Renaud pour éviter de devoir dévoiler à tout le personnel la grossesse tardive de Leïla. Samuel était assis dans le canapé, Leïla allongée à côté de lui, la tête sur son torse une de ses mains recouvrait la main de Samuel posé sur le ventre quelque peu arrondie de la jeune femme. Avec son autre main Samuel faisait des caresses dans le cheveux de la femme qu'il aimait, c'est à ce moment que Renaud arriva.)

Renaud : Ça va mieu ?

Leïla : Un peu oui...

Renaud : Tu aurais pu me le dire avant Samuel. Même Marianne était au courrant et pas moi, je suis ton père.

Samuel : Mon père... tu parles, celui qui m'a laissé seul quand ça n'allait plus. Et si je te l'ai pas dit c'était pour éviter ce genre de réfléctions. Je suis heureux depuis que Leïla est enceinte, je ne voulais pas tout gâcher en te le disant.

Renaud : Arrête Samuel, je suis pas si horrible que ça.

Samuel : (Montant en préssion) Nan mais tu te fou de moi là ?

Leïla : (Reposant la main que Samuel venait de lever sur son ventre) Calme toi chéri. Stop, je suis crevée je veux pas vous entendre vous disputer vous 2, c'est pas le moment.

Samuel : (Tout en l'embrassant) Tu as raison chéri, je suis désolé.

(C'est ce moment que choisi le docteur Combles pour arriver)

Samuel : Tu as trouvé quelque chose?

Gynécologue : Non rien d'allarmant, mais j'ai déjà eu ce cas, la patiente était très stresser et ce stresse l'avait conduit à ces douleurs là, elle était stressée, travailler beaucoup, ne faisait jamais de pause, ne dormait plus beaucoup et tout ces facteurs avait déclenchés ces douleurs là.

Il faut que vous vous reposiez Leïla, je vous ai mis un arrêt de travail d'une semaine.

(A Samuel.) Je peux prendre ta garde jusque ce soir si tu veux, il ne vaut mieu pas la laisser seule aujourd'hui on ne sait jamais.

Samuel : Merci beaucoup, je te revaudrais ça promis. 

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