Eragon 4 alternatif

Chapitre 1 : doutes à Dras-Leona

1297 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 30/12/2016 13:04

Les Vardens venaient de prendre Dras-Leona mais Eragon ne semblait pas joyeux, il était allé de l’autre coté du lac Leona pour réfléchir et être seul, même Saphira n’était pas avec lui, bien qu’Eragon ai maintenu le lien entre leurs pensées, elle était partie chassé le daim. Le jeune dragonnier s’assit sur une souche d’arbre et observa le lac. Ses pensées se perdaient et il pensait encore à Arya, l’elfe qu’il aimait depuis qu’il l’avait vu dans ses pensées puis sauvé à Gil’ead. Elle était magnifique et il ne pouvait s’empêcher de la courtiser sans cesse, mais elle ne faisait que le repousser, disant qu’il état trop jeune. La dernière fois qu’il avait osé, elle l’avait obligé à jurer de ne plus jamais la courtiser en ancien langage. Ses pensées se tournèrent ensuite vers Galbatorix et son devoir de dragonnier. Il devrait tuer le traitre briseur d’œuf, c’était sa tache et il en comprenait l’importance, mais il avait peur. Peur de ne pas réussir, peur que ceux qu’il aimait ne meurent durant la bataille d’Uru^baen. Il était tellement perdus dans ses pensées qui étaient revenus à Arya qu’il ne sentis même pas l’elfe s’approcher dans son dos. Il sursauta et se retourna immédiatement quand elle parla.

-         Eragon, nous avons remporté la bataille, Roran à remporté celle d’Aroughs et tu as trouvé une centaine d’eldunari, pourquoi ne fait tu pas la fête comme tous les Vardens ?

-         Je n’ai pas envie de faire la fête… tu n’y es pas, toi.

-         Je me demandai où tu étais. Eragon, qu’est ce qui ne va pas ?

-         Qu’allons-nous devenir Arya ?

-         Et bien, toi, je ne sais pas, mais moi je vais reprendre pas tache d’ambassadrice des elfes…

-         Arya, je ne parlais pas de ca, nous, qu’allons nous devenir ? tu vois de quoi je parle.

-         Eragon… murmura Arya en comprenant de quoi il voulait parler.

-         Je sais, j’ai fais le serment de ne pas te courtiser, mais la, je ne te courtise pas, je veux seulement des réponses.

-         Il fut un temps ou j’aurais répondu « rien » mais la, je ne sais pas. Nos titres nous empêchent et nous obligent des choses.

-         Arya, je ne veux pas être avec toi si tu y es obligée et que tu ne m’aime pas, mais je veux savoir. Je veux savoir, et même si ton peuple ne te le permet pas, même si c’est impossible, je veux savoir. Dis-moi la vérité, Arya, est-ce que tu m’aime ? Répond-moi avec ton cœur et pour une fois ignore ton titre. Je me souviens de toutes les fois ou tu m’as repoussé, c’est pourquoi je pense que tu ne m’aime pas, mais je veux la vérité, Arya, je veux être sur. Et ne t’inquiète pas, rien de ce que tu me diras ne m’empêchera de me battre contre Galbatorix et de servir les Vardens. A chaque fois que je combats, quand je dors, quand je mange, quand je m’entraine te quand je parle, je me pose des questions qui sont si simple mais dont les réponses me sont inconnus. Allons-nous gagner cette guerre ? qui de ceux que j’aime vont mourir ? et qui vas survivre ? arriverais-je à tuer Galbatorix ? et m’aimes-tu ? ta réponse me rendra soit triste, soit heureux, mais ne m’empêchera pas de remplir mon devoir. Je t’en prix, Arya, dis moi si tu m’aime. Peut-être demain allons-nous mourir, je veux savoir la vérité avant de passer dans le néant.

-         Eragon… même si c’était vrai, mon titre m’empêcherait de te le dire… murmura Arya

-         « même si c’était vrai » alors, tu ne m’aime pas. Conclua l’espoir des Vardens d‘un ton sec.

-         Eragon…

-         Je ne te forcerais jamais à m’aimer, Arya. Souffla Eragon alors que les larmes commençaient à couler sur son visage.

-         Eragon, ne pleure pas. Chuchota Arya tandis que le demi-elfe reculait vers les montagnes en pleurant.

-         Bien que tu t’exprime avec douceur, tes paroles sont plus dures que les poignards de nos ennemis. dit-il en se retournant et en courant vers les montagnes.

Des larmes apparurent aussi des les yeux de la princesse et coulèrent le long de ses joues. Elle entendit un bruissement d’aile et Saphira se posa à ses cotés.

-         Pourquoi avoir fait du mal à mon petit homme, Arya ?

-         Je ne veux pas lui faire du mal ! Tous ce que je connais m’interdit de répondre à ces questions ! Mon devoir m’oblige à ne pas le déranger, ma mère méprise les unions entre les Hommes et les elfes. Je suis obligée de mentir et de lui faire du mal, mais je ne veux pas, Saphira.

-         Tu l’aimes. S’étonna la dragonne.

Arya acquiesça en silence, les larmes continuaient de couler sur son beau visage.

-         Alors dis lui, sinon, il mourra à Uru^baen.

-         Pourquoi ? s’écria l’elfe.

-         Eragon était un fermier, puis il m’a trouvé, et ça à changer sa vie, il à du se rendre chez les Vardens, puis combattre le roi. Et maintenant, tous le monde vas gagner de la mort de Galbatorix, les Vardens, les elfes, les nains et les Urgals, tous ces peuplent seront libres et heureux. Mais Eragon n’a rien demandé de tous ça, il était heureux en tant que fermier. Cette guerre et la victoire ne lui apporte rien de personnel maintenant que les Raz’acs sont morts. Avant, il voulait survivre après le combat contre le roi félon pour espérer encore qu’il aurait une vie avec toi après la victoire, mais maintenant, plus rien ne le retiens. Il tuera le roi, pour les Vardens, mais en se sacrifiant.

-         Je ne veux pas ca ! je l’accompagnerais. Décida Arya, horrifiée.

Saphira hocha doucement la tête et s’envola pour rejoindre son dragonnier tandis qu’Arya se rendais à sa tête, bouleversée.

 

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