L'Histoire de Sirana King

Chapitre 1 : Enfance.

1462 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 10/11/2016 06:16

Je vivais avec ma mère, Eleanor King. Je n'ai jamais connu mon père mais ma mère m'a raconté que son nom était Edward Blood. J'ai préféré prendre le nom de famille de ma mère. Donc, je vivais dans un grand manoir. Ses murs étaient blanc et noir, fabriquée avec de la pierre polie. On pouvait voire de loin des magnifiques dessins représentants toutes la famille King dessinée en blanc sur les murs du manoir. Il avait quatre tours qui se trouvaient à chaque coin du château. Celui ci formait un grand caré, semblable à un château du Moyen Age. D'allieurs, si je me souviens bien, nous étions au Moyen Age. A cette époque, je n'étais pas une vampire. Je vais commencer par vous décrire le manoir. L'extérieur était immense mais l'intérieur l'était encore plus. Il avait 20 chambres, dont la mienne qui était la plus grande. A cette époque, j'avais 11 ans et je m'apprêtais à partir dans l'école de Sorcellerie de Poudlard. Je faisais ma valise tranquillement quand quelqu'un frappa à ma porte:

-Ma chérie ? Il est tant d'y aller ! Tu risques d'être en retard pour ton train ! dit une voix féminine et chaleureuse.

Cette voix était celle de ma mère, Eleanor King. Elle avait de longs cheveux blonds (dont j'avais hérité) et de beaux yeux vert gris, la peau blanche comme la neige mais avec les paumettes roses. Elle était grande et majestueuse. Chaleureuse et adorable, je l'aimais plus que tout. 

-J'arrive maman ! dis-je en bouclant ma grande valise.

Je pris ma valise et frappa dans mes mains puis des Serviteurs, Marc et Franck, surgir dans ma chambre et prirent ma valise. A cette époque, j'étais une vrai chochotte. Une enfant gâtée. Mais mes amis m'appellaient: "Heart". En anglais ça signifie "Coeur" car on disait que j'avais un grand coeur. J'étais, heureusement, rebelle et déterminée. Dès mon plus jeune âge, je possédais une bague en or ornée d'un rubis rouge sang. Grâce à elle, je contrôlais les éléments. Je parlai à la nature, elle me comprenais. Ma vie était paisible. 

Je sortis de ma chambre et je me retrouve alors dans une grande salle avec un gigantesque escalier au milieu. Les murs étaient en soi rouge vif ornée de fil d'or faisant des dessins magnifiques qui bougeaient de partout. Je ris en les voyant, comme à mon habitude. Les escaliers étaient en pierre beige et bien taillée, lisse comme un parquet d'aujourd'hui. Je les descendis, le bruit de mes petits talons noir de 2cm résonnant dans la salle. Ah, j'avais oublié de vous dire: Dès mon plus jeune âge, j'adorais le noir. Mais aussi le blanc. D'ailleurs, ma chambre était noire et blanche, mon lit était blanc avec une couverture noir, ma comode était forgée en métale noir et mon bureau en bois blanc. 

Donc je disais que je descendais les escaliers, c'est ça ? Oui oui oui... Donc voilà, je descendis les escaliers et me retrouva dans une grande mais alors là TRES grande salle. Les murs étaient vert et argent, comme la couleur de la maison où étaient mes parents. Le plafond étaient en pierre blanche et grise et des dessins en pierres y étaient sculptés. Il y avait plusieurs comodes un peu partout dans la salle, en bois marron. Au milieu se dressait une table blanche très longue et en rectangle. Je vis ma mère, installée sur la chaise du fond en train de boire une boisson du Moyen Age appellée "Divino". Comme son nom l'indique, cette boisson est DIVINE. Elle est composée de chocolat, de pomme et d'une légère touche de chantillis juste au dessus. Cette boisson était, à l'époque, inventée par la famille Kinertivina.

-Ah ! Ce n'est pas trop tôt Sirana ! dit ma mère en finissant sa boisson et en me regardant.

-Euh... Maman ? Tu as de la chantillie sur le menton ! m'exclamais-je en riant de ma voix mélodieuse qui faisait sourire ma mère.

-Oups ! 

-Bon on y va ? dis-je en sautillant doucement sur place.

-On y va ! dit ma mère, tout sourire en se levant de sa chaise et en marchant avec grâce vers la porte. 

Je la suivis sans protester comme le font certains enfants de cette âge. Marc et Franck, les serviteurs nous attendaient dans le carosse dehors, mes valises sur le porte-bagages. Je mis mon grand chapeau sur la tête pour me protéger du soleil et montais sur le siège arrière du carosse. Le carosse était tiré par des chevaux blancs de neiges. Il y en avait au moins 6. Ma mère s'installa près de moi, de l'autre côté du carosse beige. Nous prîmes alors notre route vers la gare de King's Cross. 

Quand nous arrivâmes, nous descendîmes de notre carosse après que Marc et Franck nous ouvrirent la portière en bois qui grinssa. Je descendis. Ma mère se mit devant moi et avança. 

Nous arrivâmes à la voix 9 et 10. Je regardais ma mère, curieuse. Elle me fit un signe d'avancer en souriant. 

-Mais, maman, il n'y a pas de voix 9/3 ! m'exlamais-je en fronçant les sourcils.

-Tu vois le mur, là bas ? Fonce sur lui ! Et si tu as peur, ferme les yeux et court de toutes tes forces. Attends cinq secondes avant de les re ouvrirent, tu m'as bien compris Sirana ? dis ma mère en designant un mur beige.

A cette époque, il n'y avait pas de train. Alors, chaque élèves montaient sur un cheval ailé. Ensuite, nous pouvions le garder pour nos années scolaires à venir. Mais il fallait que ce soit le cheval qui nous choisissent. 

-Oui maman, j'ai bien compris. dis-je en hôchant la tête, signe d'affirmation.

Ma mère m'embrassa le front et sourit.

-A partir d'ici, on se quitte. On se reverra pendant les vacances. Prends bien soin de toi et envoie moi des lettres par hiboux quand tu le pourras.

Je souris, ferma mes yeux bleu univers et courut de toutes mes forces jusqu'au mur. J'attendis 5 secondes en courant puis j'ouvris les yeux. Je me retrouve alors dans un grand balcon en pierre grise avec une barrière au bord du balcon, empêchant les personnes présentes de tomber du haut du balcon. Derrière le balcon se trouvait une grande lignée de 500 chevaux ailés. Comment vais-je faire pour trouver le mien ? J'avança, prudente et soudain je me retrouve face à une grande jument blanche comme la neige aux yeux bleus saphir. Une marque blanche en forme de cheval se dessina sur mon poignet gauche et sur la jambe gauche de la jument. Je plongeais mes yeux dans les siens et ressentit un lien qui se crée entre cette jument et moi. J'eu une vision, je vis l'univers entier défiler dans ses yeux et je me voyait en train de lui sourire. Je venais de comprendre: C'était ma jument. Je m'approchais d'elle et lui caressait le museau, elle me le poussa affectieusement. Je montais sur elle puis je vis ma valise volant près de nous avec des ailes blanches. Ma jument me fit un clin d'oeil. Puis, nous nous envolâmes dans les airs, suivant l'étoile surnommée: POUDLARD.

Les commentaires anonymes ont été désactivés pour cette fanfiction

Laisser un commentaire ?