Autre monde

Il faisait nuit. Je pouvais voir 2 lunes dans le ciel. Je ne savais pas où je me trouvai. J’avais perdu le garçon de vu. J’étais trop troublée par ce paysage. J’ai alors voulu repasser par la porte du magasin, mais je ne la trouvais plus. Je n’y voyais pas grand chose, je cherchais autour de moi en espérant la retrouver... Au bout de quelques vingtaines de minutes, je me suis rendu compte qu’elle avait disparu. J’ai pris mon téléphone portable pour appeler mes amis, ma mère ou mon père, mais pas de réseau. 

• Non, s’il vous plait ! Que quelqu’un m’aide ! Maman… Papa… Lola.. Spen… Au secours… 

Je ne dois pas me décourager, c’est sans doute un rêve, tout de puis le début, oui c’est sur ! 

• Aïe ! Même en me pinçant ça ne me réveil pas.. Je dois trouver un moyen de rentrer..

Bon, ce n’en est pas un. Je vais me déplacer en espérant trouver des gens qui pourront m’aider. 

Je me suis enfoncée dans la forêt. Je me sers de mon téléphone comme lampe torche, au moins qu’il sert a quelque chose. Je marchais, toujours plus loin, mais rien de changeait. Je ne vois que des arbres immense tout autour de moi… J’aimerais temps rencontrer quelqu’un qui puisse m’aider. 

• Grrrrrr ! GRRRRR !!

Qu’est-ce que c’est que ça ? J’ai peur.. Si ça continu je vais finir broyer entre les dents d’un animal… Même un monstre ! Le grognement est de plus en plus fort ! Il se rapproche ! Maman… J’ai peur ! J’ai fermé les yeux et je ne pouvais plus bouger… J’aurais du éteindre mon portable… La chose est juste devant moi. Je l’entend me sentir.. je ne dois surtout pas bouger.

• Onyx ! Onyx ! Où es-tu ?! O-N-Y-X !!
• Je suis là ! J’ai trouvé quelque chose ! Viens voir ! 

Deux voix ..? Je les comprends..? Je ne crains rien ? La seconde voix était bizarre.. elle était un peu vague. J’ouvre doucement les yeux et je vois une créature gigantesque ! Elle regardait droit devant elle, elle attendait quelque chose. Une seconde plus tard, un homme courrait dans notre direction, il avait une lanterne a la main droite er un grand bâton dans celle de gauche. Il était habillé d’une veste marron qui lui arrivait jusqu’a la taille, un pantalon bleu et un tee-shirt noir. Ses cheveux étaient rose et ses yeux rouge. Une fois a notre niveau, il me dévisagea puis se tourna vers la créature. 

• Onyx, c’est une enfant que tu as trouvé, tu lui as fais peur ! Excuses toi. Dit l’homme.
• Ah bon ? Pardon ! Je suis désolé ! Je ne voulais pas ! Dit la créature en se couchant et posa sa tête au sol.

Un chat ! C’est un chat !! Mais il est géant ! Il parle en plus ! Il y a un quelque chose dans son dos.. je ne vois pas, c’est trop sombre.

• Eh bien, mademoiselle, vous vous êtes perdue ? Quelle est votre nom ?
• Heu.. Je.. Je ne sais pas où je suis.. Je ne connais pas cet endroit.. Je suis Aria Aubry… et vous ? Et lui ? 
• Je me nomme Akiba Gena et voici Onyx, ne t’inquiète pas, il est adorable, content de connaitre jeune fille. Viens avec nous, on va t’aider. Me dit il en me faisant signe de la mains de les suivre.

Je les ai suivis en silence, Akiba ouvrait la marche et Onyx la refermait. On a finit par sortir de la forêt pour entrer dans une grande vallée, on a continuer a marché jusqu’à une sorte de ferme ? 

• C’est Akiba et Onyx ! Et elle qui c’est ? Demandent des voix dès qu’on n’a passé le portail. 
• C’est une jeune fille qui c’est perdu, on va l’héberger pour ce soir. Répondit Akiba. Onyx, vas te coucher maintenant il est tard.
• Ouiii, j’y vais, Bonne nuit Aria.
• Bonne nuit…Onyx. 

Il partit dans un sorte de hangar avec les voix qui lui posaient beaucoup de question. 

• Eh ! Petite ! Viens entre.

Je tournais la tête, qui jusque là ne regardait que le chat. Je suivi Akiba dans sa maison, il referma la porte derrière moi et me proposa de m’assoir. 

• Tu as faim ? Me demanda t’il.
• Oui un peu..
• Bien, c’est pas grand chose, mais il reste un peu du poisson de ce soir, ne bouge pas je vais te le chercher. 

Puis il disparu dans la cuisine. La pièce était éclairée seulement par des bougies et des lanternes. Il y a une petite cheminée avec posé au dessus des cadres photos, sur l’une d’entre elle, Akiba y était avec une femme pas très âgé et un enfant. Je m’approche des cadres quand Akiba reviens de la cuisine avec une assiette et un verre d’eau.

• Viens t’asseoir, c’est tiède mais ça devrait te plaire.
• Me...Merci beaucoup.
• De rien de t’inquiète pas pour ça.

Tout en mangeant, je regarde le reste de la pièce. Elle est assez petite, deux fauteuils sont tournés vers la cheminée, entre eux, une petite table basse en bois où d’étranges fleurs bleu sont posé dans un vase blanc et une grande table prend le reste de la pièce. 

• Les cadres t’intrigues ? 

Sa question brisa le silence et me fit sursauter.

• Oui.. Qui sont ces 2 personnes..? 
• Ah.. C’est ma femme et mon fils. Hila et Jack, ils sont mort y il a 2 mois dans une agression à Lucamstel...
• Je... Je suis désolée.. Je n’aurais pas dû poser la question.. excusez-moi..
• C’est pas grave petite.. Mais parlons plutôt de toi, d’où tu viens ? Comment tu t’es retrouvé dans la forêt à cette heure ?
• J’étais avec des amis dans un restaurant et j’ai vu quelqu’un que j’ai suivi jusqu’à une porte d’une boutique, je l’ai traversé et je me suis retrouvée dans la forêt. J’ai pourtant cherché la porte, mais je ne l’ai pas trouvé, elle avait disparu et j’ai perdu l’homme de vue... Puis j’ai essayé d’appeler mes parents ou mes amis avec mon portable, ils n’ont pas répondu. J’ai marché dans la forêt jusqu’à que je tombe sur vous.

Il me regarda d’un air sombre pendant un moment. puis finalement il me dit :

• Tu es une jeune fille de l’autre monde n’est-ce pas ? Me demanda t’il d’un aire sévère.
• De l’autre monde ? Je suppose oui..
• Je vois... Comment tu as pu traverser le portail ! Seul les sorciers de notre monde le peuvent ! 
• Je ne sais pas .. c’est arrivé d’en coup.
• Tu es la première personne venant de Gaïa à pouvoir le traverser.
• Gaïa ?
• Oui la d’où tu viens.
• Comment je peux rentrer chez moi ?
• C’est.. très compliqué.. moi je ne peux pas t’aider. Tu dois aller à Lucamstel, la capitale de la magie et devenir assez forte pour l’utiliser et rentrer chez toi. Mais surtout, surtout ne dis pas que tu viens de Gaïa , sinon tu seras emprisonnée à vie.
• D’accord...
• Rappel moi ton nom déjà ? 
• Aria Aubry monsieur..
• Bien, ne m’appelle pas monsieur, appel moi Akiba ça ira.

J’acquiesce doucement de la tête.

• Tu dois être fatiguée, je te montre ta chambre.

Je le suis à l’étage, un couloir petit menant à plusieurs pièces. Il me fait entrer dans la dernière, la chambre est grande, il y a un lit une place, une armoire, un bureau tout en bois et une salle de bain a coté séparé de la chambre part un rideau rouge.

• Tu peux rester ici jusqu’à que tu te sente prête à partir pour ton voyage.
• Merci beaucoup, je ne sais pas comment vous remercier..
• Ne t’inquiète pas, bonne nuit petite à demain.
• Bonne nuit, merci encore !

Il a refermé la porte derrière lui. Je dépose mon sac sur le bureau, je prends la boîte d’allumette et allume la bougie accroché aux murs. Je regarde ce que j’ai amené, mes cours, mon portefeuille, mon vêtement de sport et mon téléphone. Je m’allonge sur le lit, je ne peux rien faire avec ce que j’ai.. La monnaie doit être différente, je vais devoir travailler...

Je me suis endormie sans m’en rendre compte.

C’est encore flou.. Mais je reconnais les formes.. La même forêt, il pleut ? Le garçon est toujours là, debout sous la pluie, il ne bouge pas. Ah si il tremble… Att… Il pleure ? 

La lumière du jour me réveille, j’ouvre doucement les yeux et je me redresse. Je me traîne jusqu’à la salle de bain, je cherche ma brosse à cheveux... je ne la trouve pas... Bon, tant pis, je ferai avec mes doigts, ma brosse à dent... Je ne la trouve pas non plus. 

Je me redresse d’un coup, je me souviens ! Je ne suis pas à la maison.. Je me lave le visage à l’eau froide dans le lavabo, me sèche avec la serviette blanche d’à côté. Je jette un coup d’œil dans le miroir et JE SUIS ROUSSE ?! 

Je panique, comment ça se fait ! Je les touche, je me gifle au cas où si c’est bien réel, mais oui.. ma teinture est partie. Mes yeux aussi ont changé, ils sont vert et bleu ! Je me rapproche du miroir pour mieux les voir. Le gauche, le bleu, il a des taches marron et le droit est tout vert en dégradé, de foncé a claire… Comment c’est possible ? Ils étaient marron ! Je ne comprends plus rien. Je me déshabille pour prendre une douche et je reste quelques minutes a regarder si il y avait d’autres changement imprévu sur mon corps. Rien n’a changé a part mes cheveux et mes yeux. 

En sortant, je me suis séchée et rhabillé avec mes vêtements de la veille, mon débardeur noir, une veste bleu, un jean bleu et mes grosses chaussures jaune en cuir. Je me coiffe tant bien que mal en reliant mes cheveux en une simple queue de cheval. Des mèches se baladent devant mes yeux, je les ramène derrière mes oreilles. Une fois prête, je descendis voir Akiba dans le salon, il est assit confortablement devant la cheminé en lisant le ‘’journal ‘’, j’imagine, en buvant du thé, je crois.

• Bonjour !
• Ah ! Mais, tu es déjà debout ? Il est encore tôt tu sais. Me dit il en pliant sa lecture.
• Ah bon ? Je n’ai pas vu l’heure.
• Ahah, Il est 7h30, tu veux boire et manger quelque chose ? Tu as réussi a faire marcher la douche ?
• Ah ! Heu oui, merci. Oui, j’ai réussi.

Akiba revient avec une tasse et une assiette de quelque chose qui ressemble a du pain, il me le pose sur la table. Je m’assois là où il me la posé, puis je bois une gorgé. Je m’étouffe a moitié avec, c’est amer ! J’en ai les larmes aux yeux ! Akiba éclate de rire en me voyant ainsi. 

• C’est du lœve, c’est une graine noir qu’on cultive près d’ici, tout le monde en raffole. Et en plus, c’est bon pour la fatigue. Ça c’est du bruyn, c’est fait a base de blé, chez vous vous avez la même chose non ?
• Heu oui, juste qu’on appel ça du café et du pain.

Je dois être toute rouge… C’est chaud, mais ça fait du bien.

• Bon, assez plaisanté, aujourd’hui, tu vas m’aider.
• D’accord.. je dois faire quoi ?
• Fini de manger, tu verras en temps voulu, on va bien rigoler. Dit-il avec le sourire.

En avalant ma dernière bouché de ‘’bruyn ‘’ je commence a débarrasser ma vaisselle, Akiba me montre gentiment où se trouve la cuisine. Puis il me fait mine de le suivre dehors. Le soleil est entrain de ce lever, le ciel est un peu nuageux, il a prit une teinte rosé au levé du jour. J’observe les alentours de la ferme, elle est vraiment dans une vallée entourée de forêt. Nous marchons vers le hangar où Onyx est rentré hier, il est vraiment grand, tout fait en bois et en terre, il doit bien faire la taille des Champs Élysée a Paris. La cours de la ferme est assez petite, il y a un puit où il a deux seaux posé sur le sol. Il y a une cabane assez large a coté du hangar, d’ailleurs, Akiba s’arrête devant et rentre a l’intérieure. J’entends sa voix de l’extérieur,

• Bien, on va devoir sortir le troupeau. Tien, tu auras besoin de ça.

Il me lance une selle immense a travers la porte mais étrangement légère. J’arrive a la rattraper des deux mains sans la faire tomber.

• Le troupeau ?
• Bien rattrapé ! Oui, tu te souviens de Onyx ?
• Oui, bien sur.
• C’est un Moira bleuté, j’élève des Moira jusqu’a qu’ils choisissent leurs maitre, seul les sorciers et mi-sorciers peuvent les comprendre. Comme tu peux les entendre, tu dois bien être l’un ou l’autre.  

Ill poussa la porte coulissante du hangar et en entrant, une centaine de têtes de chats, enfin de moiras, certaines avaient des cornes et d’autre non. Elles se sont tourné vers nous. L’un deux qui était allongé sur une poutre sauta et atterrit juste en face de nous.

• Onyx ! Tu es bien pressé ce matin dis moi.
• Oui, je voulais voir ma maitresse le plus vitre possible.
• Ta maitresse ? Ah.. tu t’es décidé. Tu veux vraiment être le compagnon de Aria ?
• Oui ! Je ne sais pas pourquoi, mais elle m’attire beaucoup ! 
• Petite ? Qu’en penses tu ?  

J’étais resté bloqué sur ce que je viens de voir, Il a des ailes.. Ce que je ne voyais pas hier, c’était ça ?

• Onyx a des ailes !?
• Tu n’avais pas remarqué ? Ahahah ! C’est vrai que hier il faisait nuit. Il reprit son air sérieux, donc, Onyx veut devenir ton compagnon, ça veut dire qu’il t’accompagnera partout, il te sera fidèle et rien ne pourra changer ça. Une fois la cérémonie faite, tu ne peux plus faire marche arrière.
• D’accord. Mais ça va être compliqué pour lui de me suivre en ville..
• Ne t’inquiète pas, ici, c’est tout a fait normal. Place ta main sur sont museau, doucement.

Onyx baissa la tête jusqu’a que je puisse l’atteindre, tiens, il ne possède pas de cornes. Je fais comme ce que m’a dit de faire Akiba, je pose délicatement ma main sur son museau bleu-gris et une lumière jailli au contact de ma main. Puis elle disparu.. Je retire lentement ma main et je la regarde, il y a un cercle coupé par quatre petits rond a distance égale des uns des autres et un point noir au centre, tout en noir bleuté. Akiba s’approcha en même temps que je regardais la marque en bas a droite de ma main gauche.

• C’est la marque de Onyx, celle des compagnons, elle est unique, chaque compagnon a sa propre marque, regardes sous sa patte gauche. La votre est très belle.

Onyx la leva, il possède la même marque de moi sur son coussinet. Puis il la reposa par terre.

• Vous en avez une vous aussi ?
• Bien sur, regarde.

Il me montra la sienne, elle est marron, en forme d’étoile avec un point dans chaque branche.

• Mars, tu viens ?
• J’arrive !

Un grand Chat blanc avec des taches marron atterri a coté de Onyx, comparé a lui, il possédait deux immense cornes violette qui l’entre-croisent. Mars est bien plus grand que Onyx, mais il ne possède pas de cornes.

• Petite, je te présente Mars, mon compagnon. Mars, je te présente Aria, la maîtresse que Onyx a choisi.
• Enchanté Aria.
• De même Mars.

Mars avait une voix embrumé et grave comparé a Onyx, il possède une voix bien plus douce.

• Aller, tu vas apprendre a monter en selle ! 
• Comment ça…? Monter en selle ?
• Tu as bien entendu ! Demandes a Onyx de se coucher.
• D’accord.. Onyx, tu veux bien te coucher ? 
• Ouiii ! Dit-il tout enjoué.
• Maintenant, place la selle sur sont dos.
• Comme ça ?
• Bien. Règle la sangle a sa taille, le 3 eme trou en partant de la fin, il est plutôt fin.
• Voila, je ne t’ai pas fais mal ? 
• Non tout va bien, continu. Me dit Onyx d’une voix douce.
• Ensuite, poursuit Akiba, tu règle les étriers a ta taille, ils doivent faire la longueur de ton bras. Voilà, et tu montes sur sont dos. Tu veux que je t’aides ?
• Non c’est bon, j’y arrives.. J’y… J’y suis.

Une fois sur sont dos, Onyx me regarde du coin de l’oeil. Akiba prépare Mars et monte sur son dos. Il lui demande de se mettre a la même hauteur que moi.

• Onyx va se lever, ne panique pas, il ne t’arrivera rien. Accroches toi bien a la poignée de la selle et dis lui où tu veux aller et a quel vitesse. Prends ton temps, juste, ne me perds pas de vue.
• D’accord, je vais essayer.

Sur ses mots, il se retourna et cria :

• VOUS ETES PRES ? ON Y VA !

Tout les moiras sortent en courant vers le centre de la vallée. Akiba les suivis et nous nous de même. 

• Ici, c’est ‘’la piste de décollage’’, il faut de l’élan pour qu’un moira puisse s’envoler.
• Heu.. Ok..

Je suis déjà pas mal secoué par la courses de Onyx, puis la on va décoller… J’ai intérêt a m’accrocher.

• Tu es prête ? Go !

Tout les compagnons ont commencé leurs courses en dépliant leurs ailes, Onyx comprit. J’ai peur.. Je fini par fermer les yeux tout en serrant la poignée dés que je le sens accélérer, ça se calme, je fini par entendre seulement ses battement d’ailes, je rouvre les yeux sans lâcher la poignée. 

• Petite ça va ?
• Akiba ! Arrête de l’appeler petite ! Elle a un nom ! Aria ! Râla Onyx.
• Oui, tu as raison, pardonnes moi. Aria ça va ?

Je suis bluffée par ce paysage. Des morceaux de terre qui flottent dans les aires ! Cette vue est superbe, les compagnons, qui volent dans le levé de soleil, c’est comme dans un rêve…

• C’est.. C’est magnifique.. Dis je dans un murmure.
• COMMENT ?! Cria Akiba.
• JE DIS ! C’EST MAGNIFIQUE !!

Il me regarda étonné puis il éclate de rire,

• C’est vrai que tu n’avais pas eu le temps de voir notre monde ! Tu as raison ! Il prit quelques secondes pour contempler a sont tour. Je vais surveillé de troupeau, fais attention et ne nous perd pas de vu ! Aller Mars, rattrapes le groupe de tête !
• C’est parti !

Et ils sont parti. Je n’avais pas remarqué, Onyx a une robe magnifique.. Il est tout noir avec des reflets bleu, sauf au niveau de la poitrine, ses poiles sont plus long et gris foncé. Il a un trait sur le nez gris, des chaussettes blanches et ses ailes sont de la même couleur que sa robe, noir aux reflet bleu. Il me regarde avec ses yeux vert d’un aire inquiet,

• Aria, ça va ? Tu n’as pas le mal de l’aire ?
• Non, je vais bien, merci.
• Tu es sure ? Alors accroche toi bien, on va s’amuser !
• Quoi ? Heu.. AttEND ONYX !!!!

Il a plongé droit, on est parti pour mon baptême de l’aire.