Les Choses d'un Autre Monde

      Je me réveille. J’essaie de me souvenir. Mes congénères érutiens m’ont exilé dans cet appareil de voyage spatial. Je n’ai ni vivres ni divertissements depuis des jours. Je meurs de faim. Je n’ai aucun contrôle sur mon véhicule car aucun instrument n’est apparent. C’est un vaisseau-condamnation.

           Des lumières artificielles s’allument. Elles clignotent si vite qu’on eu dit qu’elles paniquaient. Des sons stridents sortent des murs, du sol, même de mon lit de fer. C’est un avertissement. Tout commence à trembler. L’Extérieur gronde ! Il gronde fort ! C’est assourdissant ! Je suis secoué si fort que j’en tombe au sol. Je m’accroche de toutes mes forces aux barrettes métalliques qui composent le sol. Le vacarme dure encore. Encore. Encore. Encore. Il y a une dernière grosse secousse et un dernier grondement, plus fort encore. Puis plus rien.

           Je me relève. Plus rien ne bouge. Mais le feu a pris. Mon lit est déjà déformé. Et les murs sont noirs. Il faut que je sorte. Explosion ! Un des murs vient d’éclater. Parfait ! Je cours au travers, je sors… Froid. Il fait froid. Très froid. Il n’y a que de la neige et du vent autour de moi. Rien de vivant. J’ai si froid. Je marche. Je marche. Je marche. Je marche. Je marche. Je marche. Je marche. Je marche. Je n’en peu plus. Je crois que mes pieds sont plus lourds. Quelque chose à poussé. De la glace. La glace a bloquée mes pieds. Je suis littéralement gelé. Je suis si fatigué.  Je ne peu pas marcher plus longtemps. Je  vais  m’allonger  là  et  attendre   un   peu.   Juste   un   peu.   Je    devrais    peut-être    dormir    juste    un    peu… . .  .   .    .     .      .       .        .         .          .