Père, me reconnaitrez-vous ce jour là ?

Chapitre 2 : Imperium

510 mots, Catégorie: T

Dernière mise à jour 14/11/2018 19:58


  • Chapitre 2, Imperium



Les mois ce sont écoulée a Poudlard, mon amour définitivement mort je me raccrochais a la seule chose qui exister dans ma vie a ce moment, la magie noir. 


Au début, ce n’était qu’un passe temps mais… j’y est trouvée une sorte de réconfort et suis devenue de plus en plus curieuse a ce sujet, comme si une force irrépressible m’attirée. 


Comme a mon habitude je me rendis a la salle sur demande où j’avais aménager un endroit tranquille où je suis a mon aise, une sorte de jardin secret. Où je peux lire mes livres de magie noir sans me faire jugée, le sortilège de L’imperium ma particulièrement fasciner. Contrôler l’esprit d’une personne…


J’ai finis par enfreindre les règles les plus importantes de Poudlard, mais je m’arrêter maintenant, que ferais-je ? expulser, seule, morte, encore… alors j’ai décider de continuer d’errer dans ma solitude qui ronge mon coeur de plus en plus, ce chemin noir que j’ai décider d’empreintes. 


M’exercent sans fin sur des sortilèges de protections et de patronus, enfin je sais bien que l’imperium n’est pas considère comme un sort normale mais je… ne tue personne, ne torture personne comme ils le font. 


Aujourd’hui, je suis dans cette même salle les larmes me piquants encore et toujours les yeux pour une raison inconnu, pointant ma baguette sur un petit oiseau et prononça distinctement « Impero », mes yeux ce mirent a brillé… de joie, pas de peur… depuis presque un mois je m’exerce pour avoir un contrôle totale, et enfin, ce petit oiseau m’obéit sans aucune retenue.


Il ne m’oppose pas de résistance sont esprit m’appartiens, je m’éclaircis la gorge alors que les larmes qui menaces de déborder coulée finalement sur ma joue, 

suis-je un monstre ? Je ne voulais… qu’un… ami. J’annula immédiatement mon sort d’envoutement pleurant a chaud de larme. 


L’oiseau ne s’éloigna pas, ce mis juste a chanter pour que je le nourrisse comme d’habitude, depuis quelque mois je le vois grandir, et si il me juge il ne dis rien, lui au moins.


Pourquoi ? 


Ma gorge est serrer alors que mon coeur ce tend d’une souffrance inexplicable, hurlant d’être seule, mon âme supportant juste… cette enfer. 

Après cela je repris mon souffle qui m’avais échapper, me remémorent ce visage, celui de mon père que je pensais reconnaitre, peut être es-ce le cas ? Un mal de tête m’empêcha d’y songer plus.


Ce n’est qu’un rêve après tout, rien de plus qu’un rêve. Ce sort je ne l’ai jamais utilisée, bien sûr que non, c’est lui qui la utilisé… te souviens tu de ça... papa ?

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