Père, me reconnaitrez-vous ce jour là ?

• Chapitre 4, Perdre le contrôle

Plus le temps passée et moins je savais plus qui j'était, décembre est arrivée et avec lui la solitude. Comme si une coeur reposer sur mon coeur je me mise a détester, a me détester. Pourtant, c'est aussi a ce moment là qu'une personne fis irruption dans ma vie, une personne que je pensais ne jamais intéresser, au fil des jours nous nous somme lier d'amitié et avec lui mon coeur brisée, encore, visiblement il était amoureux, et je compris: je n'étais pas assez bien pour lui.

Il connais le monde moldu, je ne sais rien de ça. Il déteste les potions, je l'ai adore. Il aime déjà une fille, et moi alors ?

Pour finir je repartie m'engourdir l'esprit avec la magie noir, comme a mon habitude, a une seule différence. Ce garçons haï plus que tout la magie noir, me haïra t'il ? Déteste, je déteste mes pouvoir. Les domaines dans lequel je suis bon sont nulle, rien ne l'intéressera jamais chez moi, la magie noir est mauvaise et je ne suis bonne qu'a ça.

Le directeur de Serpentard a toujours préféré c'est élève même si il me semble parfois lointain avec certain, comme... moi. Seulement cela faisait quelque semaine que je le sentais me surveiller. Inquiète je ne laisser plus trainer mes livre interdit n'importe où, c'est après l'un de c'est cours qu'il me convoqua, toujours aussi distant et froid, le regard presque lasse.

- Miss Alicya, venez vous assoir. Demanda t'il d'un ton poli, la classe était vide, sans âme et j'avais peur. Peur de quoi ? je ne sais pas.

- Oui professeur ?

- J'ai remarquer que vos note ont chuté également en potion, pourtant vous avez toujours fait preuve de talent, alors je me demander...

- Tout va bien, professeur, juste des cauchemars.

Il haussa un sourcil interrogateur mais je me stoppa lui accordant un regard furtif avant d'avaler la boule de stress serrer dans ma gorge.

- Eh bien, si je pus me permettre, quelle genre de cauchemars ?

- Rien de bien intéressant, a vrai dire, je ne sais pas de quoi je cauchemarde, ce ne sont que des brides flous.

Il fronça les sourcils durement effacent le rester d'émotion de sont visage et regardant un document dans sa main.

- Vous êtes... orpheline ?

- A l'âge de mes cinq ans, je le suis devenue.

-Pourquoi si tard ?

- Je n'en sais rien, je n'ai aucun souvenir.

Réfléchissant pendant quelque seconde il pris des notes puis posa sa plume sans grâce, regardant profondément dans mes yeux, c'est alors... que j'ai réaliser qu'il tentais de pénétrer dans mon esprit, ayant une bonne base en Occlumantie je le fis sortir de mon esprit rapidement.

- L'occlumancie n'est pas quelque chose que vous devriez savoir Miss Alicya, puis-je savoir qui vous l'a enseigner ?

- Je l'ai apprise toute seule Mr.

- Vraiment ?

- Vraiment.

Sans rien dire il ouvra doucement la porte de la salle de classe avant de pousser un léger soupir d'irritation.

- Bien, vous pouvez partir.

Je partie, sans un au revoir ni un détour, le dos face a mon professeur, qui je sais, scruter mes moindre fait et geste. Une fois sorti mon esprit ce mise a vagabonder, a trop vagabonder, avant de le savoir la salle Sur Demande me faisais face.

Rejoignant mon jardin secret, une fois de plus, je me laisser aller a mes pensée trop tumultueuse, pour essayer d'échapper a tout ça je me mise a lire mais la chaleur ce mise a bouillonner en moi, les yeux remplie de larme et la gorge serre, je savais que c'était une crise de panique.

Je déchira une page accidentellement et mon souffle ce crispa, plus je m'enfoncer dans mes idée noir moins je voyais le chaos autour de moi.

De tout les humains, pourquoi moi ? satanée sorcière maudite, je les détestes tous. Cette magie qui ne m'apporte que des ennuies, je la haï tellement ! a causse d'elle, l'homme que j'aime ne m'aimera jamais, la seule personne a me trouver du talent me déstera. Moi une jeune fille curieuse voulant juste des amies, cessez cette amnésie, connaître.

Es-ce si mal de vouloir connaître ? Mon coeur était de peine, ma vision flou par les sanglots, je veux disparaitre.

Un livre me tapa soudainement l'arrière du crâne et je tomba sur mes jambe en regarda autour de moi c'est avec effroi que je découvris le carnage, des livres sont tombée et éparpillée avec des pages déchirés ce mettant a brûler subitement, des chaises suspendus dans les airs tombèrent avec un bruit sourd et lourd par terre, leur velours disparu dans les airs plus loins, la carafe d'eau chaud pour mon thé renverser partout et la cuillère distribuant du sucre sans s'arrêter, pour finir une lame a quelque mettre de mon bras, menaçant de me taillader... a l'ai-je me faire du mal ?

Je savais que faire des crises de paniques me plongeait dans des états incontrôlables mais jamais rien de t'elle, comment faire si cela ce produisais en cours, pire que ferais-je si mon intolérance pour la magie empirée et que je n'arriver plus du tout a les contrôler...